RadioSouvenirsFM

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jeudi 29 novembre 2007

Affichage Numérique_4.5 semble un chiffre rond pour Broadsign



Après avoir récemment annoncé un investissement de 4.5M$ pour Montréal, c’est en Asie que le leader des logiciels pour ADN investit maintenant 4.5M$. Ils ont récemment gagné une soumission pour un réseau de 300 écrans en Inde, devançant une vingtaine de compétiteurs, qui devrait croître rapidement.

Selon Rick Engels, CEO de Broadsign, beaucoup de magasins au détail ouvrent leurs portes en Inde et incluent l’ADN dans le plan de départ, facilitant ainsi le processus d’installation. La classe moyenne de l’Inde inclut 250 M de personnes et est en pleine expansion.

Le centre de support de Broadsign à Montréal offre du soutien technique jour et nuit en 10 langues et dans plus de 25 pays. La Chine et l’Inde sont ainsi de “petits” ajouts pour l’entreprise ;-)

Tiré du blog de l'affichage numérique a montréal

Source TMC.net

mercredi 28 novembre 2007

Web_Bienvenue dans le World Life Web



Après le World "Wide" Web, après le World "Live" Web, voici venu le temps du World "Life" Web.

En 1994, suite aux travaux de Tim Berners Lee est officiellement né le World Wide Web. Une toile, mondiale, « large » dans sa dimension au moins autant que dans ses contenus. Avec le temps, ces derniers ont littéralement explosés, imposant à tous l’usage des moteurs de recherche pour mettre un semblant d’ordre dans ce chaos fertile et fécond, sur la base d’un principe de classement « par pertinence ». Le principal problème qu’eut à gérer le web dans sa phase initiale de déploiement fut celui de l’adressage des documents. Pour les trouver, pour les retrouver, il fallait que ceux-ci disposent d’une adresse physique sur le réseau. La réponse fut apportée grâce notamment au protocole « http » (hypertext transfer protocol) ainsi que via le système de nommage qui permet d’identifier et de classer les sites sur la base du nom de domaine qu’ils ont choisi. Ce processus d’adressage pose encore aujourd’hui quelques problèmes et doit notamment faire face à l’explosion constante des contenus, d’où l’apparition de nouvelles extensions (« .mobi » pour les sites dédiés à la téléphonie mobile, « .museum » pour les sites de musées, etc.) et la question ouverte d’élargir ce protocole à l’ensemble des langues de la planète. Ce fut là le premier âge documentaire du web.

Puis vint le World Live Web. Un web instantané, un web donnant en temps réel l’état des dernières informations publiées. Le service Google News fut à ce titre l’un des pionniers de ce deuxième âge documentaire, mais celui-ci permet également de désigner ce que l’on appelle des micro-contenus (billets de blogs par exemple). Le critère de pertinence utilisé par les moteurs reste naturellement essentiel, mais un second critère tout aussi important vient s’y ajouter, celui de la capacité à rendre compte en temps réel de l’évolution des documents publiés sur le web, et ce quelle que soit leur « granularité ». Là où les moteurs de recherche classiques n’indexaient que des « pages », le moteur de recherche de la blogosphère se mettent à indexer des « billets », comme autant de fragments documentaires sitôt publiés, sitôt indexés, sitôt accessibles.

Nous sommes depuis quelques temps, notamment avec l’essor extraordinaire des « réseaux sociaux » (Facebook, MySpace) et celui des mondes virtuels (Second Life), entrés dans un troisième âge documentaire : celui du World Life Web. Après l’adressage des documents, après leur niveau de granularité (de plus en plus fin), la principale question que pose ce nouvel âge est celle de la sociabilité et du caractère indexable, remixable de notre identité numérique et des traces qu’elle laisse sur le réseau. Dans ces mondes et ces réseaux virtuels, chacun peut donner les informations qu’il souhaite. Et ces informations peuvent indistinctement relever de notre sphère publique (notre métier par exemple), de notre sphère privée (nos relations, nos amis), enfin et surtout de notre sphère intime (nos préférences politiques, sexuelles ou religieuses).

De plus en plus de sites de réseaux sociaux « ouvrent » l’immense catalogue des individualités humaines qui les composent à l’indexation par les moteurs de recherche. Ce qui pose nécessairement la question de la pertinence des profils humains. Une question qui n’en est encore qu’à ses balbutiements, mais dont l’étendue des problèmes posés peut à juste titre faire frémir. Il est en effet établi que chacun des utilisateurs de ces systèmes, loin de disposer d’un profil unique librement consenti et ne contenant que des informations à caractère public (un peu à la manière de nos « cartes d’identités »), dispose de plusieurs profils différents, sur différents sites, dans différentes sphères (publiques, privées ou intimes). Que beaucoup d’utilisateurs "entrent" dans ces réseaux sociaux sous la forme de pseudonymats (pseudonymes masquant l’identité réelle) ou d’avatars, s’inventant ainsi des identités parfois ludiques, parfois recomposées, parfois mensongères, souvent idéalisées, toujours fragmentaires. La politique de confidentialité des sites récoltant ces informations, généralement de manière librement consentie, a déjà fait l’objet de nombreuses critiques, mobilisant institutions et associations sur le créneau de la défense d’un droit à l’oubli numérique. Or s’il est possible de sensibiliser les gens à la logique d’industrialisation de l’intime qui sous-tend ces univers, s’il est possible d’en appeler à leur vigilance et à leur responsabilité, il demeure impossible de contrôler ce que deviendra le remixage de l’ensemble de ces traces, une fois affiché, par exemple, dans un moteur de recherche.

La question qui se pose donc aujourd’hui est celle du caractère indexable de l’être humain. Celle de savoir si l’homme est, ou non, un document comme les autres. La question enfin, pour chacun d’entre nous, de se voir doté d’une identité numérique globale et non maîtrisée. Cette identité sera définie (elle l’est déjà pour une large part) via mes parcours sur le net, mes actes d’achat, les expressions (maîtrisées ou non) de mon affichage identitaire, ainsi que par le reflet de l’ensemble tel qu’il apparaîtra « remixé » dans les moteurs de recherche, les réseaux sociaux ou les mondes virtuels. L’urgence de cette question en appelle une autre : celle du pourquoi ? Les documents, les mots-clés ont acquis une dimension marchande. Ils se vendent et s’achètent sur la grande place de marché d’internet, que régule pour une large part le seul moteur Google. Nos traces identitaires numériques seront-elles demain également marchandisables ? Bienvenue dans le World Life Web.

Source : AgoraVox

Musique_QuebecTorrent.com dans le pétrin



L'étau se resserre autour de QuébecTorrent.com. Alors que le site se prépare à combattre une poursuite de 200 000$ intentée par une trentaine de producteurs de musique, de films et de télévision québécois qui l'accusent de piratage, la Division des enquêtes fédérales de la GRC mène sa propre enquête.

Les agents du corps policier fédéral cherchent entre autres à déterminer avec certitude l'identité de l'administrateur de QuebecTorrent, qui répond au pseudonyme de Doditz. Son véritable nom est Sébastien Brulotte, copropriétaire de Dream-Concept, entreprise d'hébergement de sites web.

QuebecTorrent est, dans le jargon des pirates, un «tracker», ou pisteur de torrents, un site utilisant le protocole Bittorrent, idéal pour télécharger rapidement des contenus lourds comme des films ou de la musique. Le site se targue d'avoir permis à ses 50 000 membres de télécharger collectivement plus de 1000 terra-octets de données, soit l'équivalent de 17 millions d'albums musicaux, depuis son ouverture il y a un peu plus d'un an.

La poursuite de 200 000$ en dommages exemplaires intentée en Cour supérieure contre M. Brulotte, son entreprise et ses deux associés a connu un premier revers vendredi. Le groupe de producteurs qui mène la charge, composé notamment de Zone 3, de l'Équipe Spectra, de Sony BMG Music, des disques Audiogramme et d'EMI, a tenté en vain d'obtenir une injonction interlocutoire forçant la fermeture immédiate du site. «Nous avons perdu cette première manche, mais il n'est pas question pour nous de baisser les bras, explique Me Julie Martineau, du cabinet Fasken-Martineau mandatée par l'industrie. Le juge a estimé que nos clients subissent un préjudice irréparable, mais qu'il n'y avait pas de caractère urgent à notre demande. Le recours va donc suivre son cours normal.»

Pendant ce temps, l'administrateur QuebecTorrent multiplie les requêtes de dons auprès des membres du site pour assurer sa défense advenant une poursuite judiciaire de longue haleine. Un système de transfert bancaire par carte de débit a été mis sur pied sur le QuebecTorrent et des appels à l'aide ont été lancés sur des sites internationaux très populaires (TorrentFreak.com et Digg.com, notamment) auprès des utilisateurs de réseaux Bittorrent. «Il est maintenant claire (sic) que l'industrie attaque le system (sic) «peer to peer» au canada. Il est aussi claire (sic) que QuebecTorrent.com Inc devra aller se défendre devant les tribunaux. Il est important de comprendre que cette cause touche TOUS les sites torrent au canada, car si QuebecTorrent perd ou gagne, cela va crée (sic) jurisprudence et pourra nuire ou aider TOUS les «tracker» du Canada», pouvait-on lire hier sur la page d'accueil de QuebecTorrent.

Si la poursuite intentée par l'industrie devait aller jusqu'au bout, il s'agirait effectivement d'une première du genre au Canada, confirme Pierre Trudel, du Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal. «Jusqu'à maintenant, les tribunaux se sont uniquement prononcés sur l'obligation des fournisseurs d'accès à l'internet (comme Sympatico ou Vidéotron) de fournir le nom des clients soupçonnés de piratage.» L'industrie du disque a alors été déboutée et, depuis, aucune autre poursuite n'a été intentée au Canada contre des administrateurs de sites pirates.

Depuis que QuebecTorrent a fait l'objet d'une première vague de mises en demeure à la mi-octobre, ses administrateurs affirment avoir changé sa vocation, le transformant en un site spécialisé dans l'échange de fichiers non protégés par des droits d'auteurs. «Un filtre a été mis en place pour éliminer à mesure que les membres les mettent en ligne plus de 10 000 titres (québécois) protégés par des droits d'auteur», explique Me Alain Lecours, avocat de QuebecTorrent.

Lors d'une rapide visite hier, La Presse a constaté que des centaines de films et albums américains protégés par des droits d'auteur sont toujours disponibles sur QuebecTorrent, mais que les contenus québécois sont effectivement nettement plus rares qu'avant. Il a toutefois été possible de télécharger facilement le film québécois Les 3 p'tits cochons, l'album éponyme de Pierre Lapointe et Le Dôme, de Jean Leloup.

À lire aussi :

- QuebecTorrent.com est toujours en ligne
- L'industrie du disque vise QuebecTorrent
- Le culte des «power seeders»
- QuebecTorrent.com: une éthique variable

Source : La Presse Affaires
Tristan Péloquin

Technologie_Vista: deux fois plus lent que XP



Le nouveau système d'exploitation de Microsoft est loin de rivaliser en vitesse avec son prédécesseur XP, selon des essais comparatifs.

Même le très attendu Pack 1 de Windows Vista, qui sortira l'an prochain, n'arrive pas à concurrencer son aîné XP.

Les chercheurs de la firme de développement informatique Devil Mountain Software ont comparé les différents systèmes d'exploitation dans leur laboratoire de Floride. Pour tester la vitesse de Vista, ils ont utilisé une version bêta du Service Pack 1.

Équipé ou non du Service Pack 1, Vista a été plus lent que le Service Pack 3 de XP. Le dernier rejeton de la famille Windows a mis plus de 80 secondes pour satisfaire au test, contre 35 secondes pour XP.

Le Pack 1 permet d'améliorer la performance de Vista de seulement 2 secondes.

Le test consistait en une série de tâches réalisées sous Microsoft Office 2007. La machine utilisée était un ordinateur Dell XPS M1710, pourvu d'un microprocesseur Core 2 Duo de 2 Ghz et de 1 Gb de mémoire vive.

Un porte-parole de Microsoft a réagi en précisant que le Pack 1 de Vista est «encore en développement», et continuera à évoluer d'ici à sa sortie.

Si Vista n'obtenait pas de meilleures performances, il s'agirait d'un nouveau revers pour Vista, alors que de nombreuses entreprises attendent le prochain Pack 1 pour adopter le nouveau système d'exploitation.

Un an après son lancement, seules 13% d'entre elles sont passées à Vista. Microsoft a récemment admis que le lancement n'a pas été aussi bon qu'escompté. L'un des vice-présidents de la firme de Redmond a ainsi affirmé que le monde n'était pas prêt à 100% pour Windows Vista.

Six mois après son lancement, les ventes de Vista sont près de 60% en-dessous de celles de XP à ses débuts. Microsoft affirme que son nouveau système d'exploitation se vend de mieux en mieux.

Microsoft achèvera la commercialisation de XP en juin 2008, alors qu'elle comptait arrêter les ventes dès janvier. La pression exercée par les clients a persuadé Microsoft de reporter l'opération.

À lire aussi:

Microsoft a vendu 130 millions de Vista

Vista : le SP1, version d'évaluation en ligne

Source : La Presse Affaires D'après CNET News

mardi 27 novembre 2007

Media_2,4 millions d'abonnés HSDPA et 6,5 millions de consommateurs pour la TV sur mobile



L'IDATE publie son analyse sur le développement du Broadband Mobile en Corée du Sud. Surtout connu pour être à l'avant-garde du déploiement des réseaux à très haut débit fixes, le pays dispose aussi, avec un total de 48 millions d'habitants, d'un marché mobile très dynamique qui par certains aspects constitue un véritable laboratoire des normes et services d'internet mobile.

2,4 millions d'abonnés HSDPA en août 07
La Corée du Sud fut longtemps considérée comme le temple du CDMA, la famille de normes rivales du WCDMA (retenue notamment en Europe pour l'UMTS 3G). Toutefois les choses basculèrent quand KTF décida au printemps 2006 d'opter pour le HSDPA (évolution à 1.8 Mbps et même 3.6 Mbps du WCDMA) en lançant le service sur Seoul et son agglomération. Aujourd'hui les services HSDPA, fournis également par le n°1 SKT, sont disponibles auprès de 99% de la population, et comptent près de 2,5 millions d’abonnés à fin août. En juillet, KTF a annoncé que 50% de ses abonnés auraient basculé en HSDPA à la fin 2008 et 100% en 2012. Dans le même temps, les débits offerts passeraient à 7,2Mbs puis 14,4Mbs…

Les débuts difficiles du service WiBro
Non contents de promouvoir un marché de l'internet mobile (3.5G) à partir de deux familles de normes, les deux principaux opérateurs sud-coréens sont aussi à l'initiative en déployant le Wibro, déclinaison coréenne du WiMax mobile. Le débit atteint aujourd'hui est de 3Mbps en voie descendante et de 1.2 Mbps en voie remontante, mais il devrait doubler d'ici la fin de l'année. Ce débit, combiné aux efforts marketing de KT beaucoup plus actif que SKT et à un tarif attractif (de l'ordre de 19 800 wons pour un service illimité), ont permis d'atteindre plus de 21 000 abonnés en juin dernier.
L'objectif de KT est désormais d'atteindre au moins 20 000 abonnés d'ici la fin de l'année et 3.1 millions d'abonnés d'ici 2010.

6,5 millions de consommateurs pour la TV sur mobile avec encore des questions sur la rentabilité des deux systèmes
Enfin, la Corée du Sud est aussi la référence en matière de TV mobile. Deux systèmes coexistent. Le SDMB lancé en mai 2005 par TuMedia, filiale de SKT, et la TDMB lancée par les chaînes de TV hertziennes en décembre 2005. En mai 2007, on dénombrait respectivement 1,1 et 5,3 millions d'abonnés pour ces services. Cette différence s'explique d'abord par le fait que la TDMB est financée par la publicité tandis que la SDMB nécessite un abonnement mensuel de 11 EUR. On retrouve aussi sur la TDMB les programmes populaires des chaînes hertziennes. Enfin, une part importante de l'audience de la TDMB est assurée par les écrans TV (GPS) des voitures. Aucun de ces deux modèles n'est toutefois assuré d'atteindre la rentabilité.

Source : Mobiris

Pub_Les leaders de l'industrie en panne d'inspiration devant les réseaux sociaux



Les gestionnaires de l'industrie reconnaissent l'importance des réseaux sociaux, mais ne savent pas comment en tirer profit, dévoile une étude parue aujourd'hui.

Le rapport a été réalisé par Pollara Strategic Insights pour Com.Motion, un site créé par Veritas Communications pour guider les professionnels de la publicité dans les réseaux sociaux. Les résultats sont disponibles sur le site Web de Veritas.

"Nous avons été surpris de constater que, alors que beaucoup de gestionnaires ont conscience de l'importance de l'outil que représentent les réseaux sociaux, la plupart ne sont pas réellement capables de le maîtriser", explique Robert Hutton, vice-président exécutif de Pollara.

Selon les résultats de l'enquête, réalisée auprès de 444 entreprises et chefs de file de l'industrie, près de la moitié d'entre eux pensent que les réseaux sociaux représentent un support plus important que la télévision, la radio, les journaux et les magazines.

Pourtant, un tiers des gestionnaires seniors se disent moins familiarisés avec les réseaux sociaux que ne le sont leurs clients, et 28% refusent tout simplement d'investir dans ce secteur.

"Beaucoup de leaders de l'industrie se trompent de cible lorsqu'ils utilisent ces outils, dit Robert Hutton. Ils ne comprennent pas qu'ils ont affaire à des consommateurs qui communiquent entre eux."

L'exemple de la dernière campagne Molson illustre, selon le spécialiste, cette incompréhension. Le brasseur a dû mettre fin à une opération lancée sur Facebook en fin de semaine dernière. L'initiative, qui invitait les jeunes à mettre en ligne leurs photos et vidéos de party, s'était révélée problématique pour l'image de la marque.

"Ils ont fait une mauvaise utilisation du média. Ils n'ont pas assez bien analysé leur cible et ont perdu de vue leur message. Une entreprise de cette taille devrait avoir pris le temps de s'assurer de la viabilité d'une telle opération avant de la donner en pâture aux médias."

Source : InfoPresse

par Aurore Lehmann, Infopresse

Web_Un "Black Friday" exceptionnel pour le commerce en ligne



Les achats en ligne lors de la Thanksgiving américaine ont connu une hausse de près de 30% par rapport à l'année dernière, ce qui laisse présager un fort achalandage pour les fêtes, selon la firme comScore.

Pour la période du 1er au 23 novembre, 9,3 milliards$US ont été dépensés en ligne sur le marché américain, une hausse de 17% sur l'année précédente. Le jour de la Thanksgiving, 272 millions$US ont changé de mains (29% de plus que l'an dernier), alors que le Black Friday (le vendredi suivant la Thanksgiving, célèbre pour son achalandage commercial) a connu une hausse de 22% du chiffre d'affaires.

"Historiquement, les dépenses en ligne du Black Friday ont été un signe avant-coureur pour le reste de la saison", affirme Gian Fulgoni, président du conseil d'administration de comScore.

La catégorie la plus populaire demeure celle des jeux vidéo, avec une hausse des achats de 134% par rapport à l'an dernier. Les électroménagers et l'ameublement ont pour leur part connu une progression de 36%, tandis que les ventes d'appareils électroniques sont en croissance de 21%.

Source : InfoPresse
par Patrick Bellerose, Éditions Infopresse

lundi 26 novembre 2007

Web_ Les recherches sur Internet ont progressé de 6% depuis le 1er trimestre 2007



Les recherches sur Internet ont progressé de 6% depuis le 1er trimestre 2007
En septembre, L’IAB France et comScore ont publié conjointement les premiers chiffres sur le Search en France. Pour cette deuxième publication, ces deux partenaires présentent l’évolution du Search au cours des 3 premiers trimestres 2007, mettant ainsi en exergue la forte progression de cette activité depuis janvier.

Une forte progression du Search depuis le 1er trimestre 2007


L’activité du Search a connu une forte croissance entre janvier et septembre 2007. On observe que 2,3 milliards de recherches ont été effectuées en France et 3,1 milliards de pages de résultats de requêtes ont été consultées au troisième trimestre, soit un léger recul par rapport au deuxième trimestre, mais une forte progression par rapport au 1er trimestre. En effet, le nombre de requêtes a augmenté de 6% entre le premier et le troisième trimestre 2007.
Parmi ces 2,3 milliards de recherches, une majorité a été réalisée via la navigation (2 milliards) et le reste via les barres de recherche (262 millions).


* Une progression constante du nombre de chercheurs


Ainsi, le nombre de chercheurs s’est sans cesse accru au cours des 3 trimestres pour atteindre les 24 millions soit une augmentation de 10% entre juillet et septembre malgré la période estivale.

* Les plus gros chercheurs : les 15/24 ans


Comme nous l’avions observé lors de la dernière publication, les résultats de cette étude confirment que ce sont les 15/24 ans les plus gros chercheurs tout sexe confondus.

* Google domine le marché


Les résultats publiés aujourd’hui démontrent que les sites Google ont enregistré une progression de 2 points dans ce domaine entre janvier et septembre 2007. Google domine le marché avec 86% du total des recherches menées en France. Yahoo ! arrive en deuxième position avec une part de marché de 3,5% suivi par Microsoft qui détient 3,1% de parts de marché. eBay et France Telecom suivent avec respectivement 2,4% et 2% de parts de marché.

Source : MassMedia.fr

Affichage Numérique_La première étude qualitative mondiale sur l'affichage numérique



Lancement du site Web sur le guide de référence sur l'affichage numérique de POPAI DS

POPAI, The Global
Association for Marketing at-Retail, mène actuellement un sondage
approfondi et indépendant sur le marché mondial de l'affichage
numérique au point de vente / point d'intérêt. Selon l'industrie
mondiale des médias, l'affichage numérique sera le média vedette du
futur, celui qui rapportera plusieurs milliards de dollars. L'étude
est menée par l'un des leaders des instituts d'études du marché en
Europe et utilise un processus en quatre étapes pour recueillir des
données auprès de plus de 1 000 initiés et experts en provenance de
tous les continents. Les renseignements et les détails complets
concernant la marche à suivre pour commander une copie du rapport
(plus de 500 pages, reliure en tissu d'allure professionnelle) avant
la date prévue de publication, qui sera vers la fin de l'année, sont
maintenant disponibles sur le site plurilingue
http://www.PopaiDS.org. Des versions destinées à la formation et aux
membres POPAI sont disponibles. Toutes les commandes effectuées et
payées d'ici le 31 décembre 2007 se verront accorder un rabais de
commande anticipée de 10 %.

Ce sondage sur l'affichage numérique diffère de la panoplie
d'autres rapports de recherche en quatre points :

(1) Sondage mondial effectué selon une méthode et une approche
intégrées

(2) Étude qualitative de tous les groupes de parties intéressées
gravitant autour des médias numériques

(3) Non influencé par les fournisseurs ou du lobbying

(4) Donne un livre de référence de plus de 500 pages sur
l'affichage numérique

Les participants au sondage en ligne et aux entrevues personnelles
approfondies sont des représentants de l'industrie, des détaillants,
des représentants du marché, des médias et des fournisseurs. Parmi
les sujets abordés, on retrouve la situation et les perspectives des
marchés locaux, régionaux et mondiaux, les perceptions et le
potentiel, les options à la portée des parties intéressées, les
programmes actuels, les concepts, les ventes de médias, la gestion de
projet et la recherche, le contenu, la technologie et les modèles
d'entreprise.

L'étude est actuellement en cours ; toutefois, la date limite pour
y ajouter vos opinions approche rapidement. Si vous souhaitez jeter
un coup d'oeil à la méthodologie qui a motivé les questions de
l'étude, veuillez consulter le site plurilingue :
http://www.GlobalDigitalSignageResearch.org. Nous vous donnons
l'occasion de prendre part au tout premier programme de recherche
mondial et indépendant sur l'affichage numérique.

Fabian Keller, vice-président de l'affichage numérique pour POPAI,
a déclaré : " Il s'agit de la toute première fois que nous pourrons
tous réellement comprendre la croissance de l'industrie des médias
numériques. Je crois que les médias numériques sont à deux pas de
quelque chose de fantastique et nous tenons à demeurer à la fine
pointe de ce phénomène. Cette étude nous donnera un tout nouvel
aperçu du marché et le rapport sera un outil essentiel à toute
personne qui planifie/étudie/exploite l'affichage numérique. Les
premières présentations des résultats que nous avons effectuées à New
York, Sydney, Moscou et Zurich ont donné lieu à des commentaires
fantastiques. Sans la compréhension approfondie des consommateurs,
des marques et du marché mondial du détail que nous ont offert le Dr
Stephan Telschow et son équipe, nous n'aurions pas été en mesure de
nous rendre où nous sommes actuellement. "

Participez maintenant au
http://www.GlobalDigitalSignageResearch.org

Commandez à l'avance un exemplaire du rapport final au
http://www.Popaids.org

Pour de plus amples renseignements ou pour discuter avec M. Fabian
Keller ou le Dr Stephan Telschow, veuillez contacter :

Nicolas Loose, GIM, Tél. : +49(6221)8328-511, n.loose@g-i-m.com.

À propos de POPAI, The Global Association for Marketing at-Retail

POPAI est l'unique association sans but lucratif au service de
l'industrie mondiale du commerce de détail. Fondée en 1936, POPAI a
des bureaux dans plus de 19 pays. Pour de plus amples renseignements
sur POPAI et sur l'étude, veuillez contacter : Fabian Keller,
vice-président de l'affichage numérique, fabiankeller@popai.de ou
consultez le http://www.popai.com.

À propos de GIM, the Gesellschaft für Innovative Marktforschung
mbH

GIM, Gesellschaft für Innovative Marktforschung, compte parmi les
leaders des instituts allemands d'études du marché qui préconisent
une approche qualitative. Le réseau mondial de GIM s'étend à tous les
continents. La mission principale de GIM est de comprendre les
consommateurs. Pour de plus amples renseignements sur GIM et GIM POS,
veuillez contacter : Dr Stephan Telschow, s.telschow@g-i-m.com ou
consulter le http://www.g-i-m.com.

ots Originaltext: POPAI
Internet: www.presseportal.ch/fr

Contact:

Pour de plus amples renseignements ou pour discuter avec M. Fabian
Keller ou le Dr Stephan Telschow:
Nicolas Loose, GIM
Tél.: +49/(6221)/8328-511

Pour des renseignements sur POPAI et sur l'étude:
Fabian Keller, vice-président de l'affichage numérique

Pour de plus amples renseignements sur GIM et GIM POS:
Dr Stephan Telschow

Source : PressPortal

dimanche 25 novembre 2007

Affichage Numérique_Showbizz pour que publicité rime avec proximité



Le réseau d’écrans répartis à travers l’île sera contrôlé à partir de Riche-Terre où est située Showbizz Entertainment.
Le réseau d’écrans répartis à travers l’île sera contrôlé à partir de Riche-Terre où est située Showbizz Entertainment.
Un concept novateur, basé sur la publicité de proximité avec le concours de la technologie. Showbizz Entertainment Ltd est une filiale du groupe La Sentinelle. Il a procédé au lancement de son réseau d’affichage dynamique, hier soir, à La Bâtisse, hôtel Le Suffren, à Port-Louis.

Le réseau Showbizz Hyper se compose de 133 écrans plats LCD et plasma de 42 et 60 pouces répartis sur un peu plus d’une quarantaine de sites à travers l’île. Supermarchés et hypermarchés en sont équipés pour la diffusion de spots publicitaires afin «d’influencer les clients sur les points de vente au moment de l’achat».

«L’idée, à la base, est d’offrir une publicité de proximité avec le consommateur, explique Audrey Kelly, Content Editor chez Showbizz Entertainment Ltd., et ce réseau offre une proximité qu’aucun autre support ne donne. Il ne s’agit pas uniquement de diffuser de la pub en boucle mais de proposer un contenu, comme les petites astuces de bricolage ou de cuisine, l’horoscope, la météo et les nouvelles sportives grâce à un accord avec Euronews, entre autres.»

Impact visuel

La technologie utilisée sur ces supports (panneaux d’affichage dynamique) repose sur un logiciel permettant la diffusion à distance des contenus sur des écrans de haute résolution. Les données sont envoyées et contrôlées depuis la société basée à Riche-Terre sur le réseau qui les retransmet sur les écrans plats, accroissant ainsi l’impact visuel.

D’autres projets sont en cours de réalisation notamment le Showbizz Mall qui permettra la diffusion de pub dans les centres commerciaux. La totalité des écrans sera opérationnelle dès décembre alors que Showbizz Hyper le sera dès demain.

Grâce à Showbizz Hyper, l’entreprise désirant faire la promotion de son produit ou service peut s’attendre à ce que sa publicité reçoive jusqu’à 3,5 millions de visites par mois car bien souvent le client revient faire ses achats en grande surface plus d’une fois par semaine, visionnant ainsi plus d’une fois la pub.

Le coût moyen d’une pub de 30 secondes sur une campagne de quatre semaines consécutives peut revenir à Re 1,31 à l’annonceur.

Source : L'express.mu

Media_Contre les mensonges médiatiques, Radio Venezuela en Vivo



Vivez en direct et en français le referendum populaire sur la Reforme Constitutionnelle au Venezuela.

Qu’est-ce que Radio Venezuela en Vivo ?

Radio Venezuela en Vivo est une radio qui émet par Internet. Elle a été créée à l’initiative d’un groupe d’internationalistes basés à Caracas et dans les grandes villes du Venezuela, dans le but d’offrir une information objective continue sur la situation réelle du Venezuela pendant la période du Référendum sur la Réforme Constitutionnelle. Radio Venezuela en Vivo émettra principalement en français et en anglais, s’enrichissant aussi d’émissions en arabe et en portugais.

Pourquoi lancer Radio Venezuela en Vivo ?

En tant qu’observateurs internationaux du processus démocratique en cours au Venezuela, les membres de Radio Venezuela en Vivo, ont pu voir comment ces derniers temps les mensonges médiatiques sur la situation que nous vivons tous les jours ont pu s’intensifier dans les media internationaux. Pour tenter de contrer une situation de Coup d’Etat médiatique, comme ce fut le cas en Avril 2002, Radio Venezuela en Vivo informera la communauté internationale 24h/24h des évènements qui entourent le référendum sur la Réforme constitutionnelle.

Où et Comment écouter Radio Venezuela en Vivo ?

Sur Internet, en cliquant sur l’icône radio : http://radiovenezuelaenvivo.blogspot.com
La publication de notre programmation vous permettra de sélectionner les horaires correspondants à la langue de votre choix.

Quand écouter Radio Venezuela en Vivo ?

Nous commencerons à émettre dans la journée du jeudi 29 novembre 2007. Nous proposerons divers programmes d’analyses et de reportages de la part des présentateurs et des correspondants que nous comptons dans tout le Venezuela. A partir du samedi 1 décembre, nous proposerons un suivi continu 24h/24h de la situation réelle au Venezuela.

Pouvons nous participer à Radio Venezuela en Vivo ?

Oui. Le forum que nous installerons sur le site Internet vous permettra de dialoguer avec nos présentateurs et de leur poser vos questions. De plus, si vous êtes observateurs des élections à l’ambassade du Venezuela dans votre pays, faites le nous savoir, nous vous appellerons. Votre témoignage est précieux. Si vous êtes animateurs d’une radio, n’hésitez pas à réutiliser nos émissions. N’oubliez pas votre participation à tous est essentielle pour faire connaître l’existence de cette radio.

Contre les mensonges médiatiques, écoutez et faites connaître Radio Venezuela En Vivo

Source : Le grand soir

mercredi 21 novembre 2007

Affichage Numérique_Neo Advertising s'empare de la néerlandaise POSTV



La société Neo Advertising continue d'étendre sa toile. La PME genevoise, active dans l'affichage numérique (écrans plasma dans les gares, postes, stations-service, etc.) vient d'acquérir l'entreprise néerlandaise POSTV, leader dans son pays. Si le montant de l'opération n'a pas été dévoilé, il s'élevrait à environ 10 millions de francs, selon nos sources.

«Cette acquisition nous donne accès à un pays où nous étions encore absents. POSTV compte 8780 écrans plats sur 205 sites dans la grande distribution notamment et touche 6 millions de consommateurs par mois», a révélé mardi au Temps Christian Vaglio-Giors, cofondateur et directeur de la société Neo Advertising. POSTV dispose d'écrans dans les enseignes de Vodafone, Tfor Telecom ou encore MediaMarkt. Canon (7739.T), Gillette, Heineken, Nokia, Samsung et Unilever font appel à ses services. Elle emploie 25 collaborateurs pour un chiffre d'affaires annuel de 3 millions d'euros.

Neo Advertising épingle ainsi un nouveau pays, après la Suisse, l'Allemagne, l'Espagne, la Belgique, le Canada et les Etats-Unis. D'autres devraient suivre bientôt. «Nous sommes à bout touchant sur plusieurs opérations dont une en République tchèque.» La petite entreprise, qui a vu le jour en 2003, ne cesse de grandir. Cette année elle devrait plus que doubler son chiffres d'affaires à 12 millions de francs, contre 5 millions l'an passé. Pour 2008, notamment grâce à l'impact de POSTV, les ventes consolidées devraient s'élever à 25 millions de francs.

Convoitises japonaises

Ce succès ne passe pas inaperçu. «Nous avons failli céder aux chants de sirènes d'un groupe japonais, mais avons renoncé au dernier moment. Il reste tant à faire dans ce secteur que c'est l'indépendance qui nous sied le mieux.» Neo Advertising, qui emploie dans le monde 75 collaborateurs, ambitionne de devenir un acteur paneuropéen. Une bonne partie du challenge a donc déjà été relevée en quatre ans. «Comme le secteur est en pleine consolidation, nous avons encore beaucoup d'opportunité à saisir.» Pour 2008, les gourous de la pub tablent sur un montant de 100 millions de francs en Suisse de dépenses dans ce segment. La société genevoise entend bien se tailler une part appétissante de ce gâteau. Dans toute l'Europe d'ailleurs.

Source : Le Temps.ch
Par Bastien Buss

Media_Radio Dzaïr, première station musicale en ligne



Radio Dzaïr est née en juin 2006 à l’initiative de Fréquence Sud, une boite de communication spécialisée dans les nouvelles technologies et les sites web.

Elle doit plus exactement son existence à un professionnel chevronné du monde des médias, un ancien de la radio algérienne : Samy Slimani. On dit de lui que c’est un virtuose des NTIC. D’ailleurs, il a animé pendant quatre ans « Génération internet » sur les ondes de la radio hertzienne. Radio Dzaïr rappelle d’une certaine manière la première formule de radio El Bahdja - à la création de laquelle d’ailleurs Samy Slimani n’est pas étranger -, soit une radio dédiée totalement à la musique. Un autre grand professionnel de la radio, Aziz Farès pour ne pas le nommer, ancienne voix de référence sur Alger Chaîne III, s’est joint à l’aventure et de ce tandem de choc allait naître donc cette aventure radiophonique unique en son genre. On le disait : il s’agit ni plus ni moins que de la première radio algérienne en ligne. " Depuis plus d’une année, Radio Dzaïr, première radio algérienne privée, diffuse 24h/24h, 7/7, ses programmes sur le web en proposant un programme varié axé sur la musique algérienne et a su se tailler une place honorable dans un paysage médiatique national et international particulièrement concurrentiel ", dit Aziz Farès et par ailleurs vice-président de Radio Dzaïr. " Le besoin exprimé par un auditoire de plus en plus large grâce à la technologie offerte par internet nous a incités à diversifier nos programmes afin de répondre aux nombreuses attentes du public ", poursuit Aziz Farès. Radio Dzaïr se veut le plus près possible des goûts de ses auditeurs. Aussi ont-ils le choix entre plusieurs créneaux : musique andalouse, chaâbi, raï, kabyle, sahraoui, chaoui, souligne l’ancien animateur de " Légendes Urbaines " sur la III. Diffusée donc via le net, Radio Dzaïr inaugure une ère nouvelle de radios alternatives qui, déjouant l’écueil structurel du verrouillage des ondes dans un champ obstinément fermé aux radios libres au moment où un pays comme le Mali en compte par dizaines, seront appelées à investir un terrain aux possibilités infinies. " La qualité de diffusion sur internet est d’ores et déjà maîtrisée et notre auditoire peut être recensé sur l’ensemble de la planète ", dit Aziz Farès. " Même si l’idée de création d’une radio musicale sur internet n’est pas d’aujourd’hui, les évolutions techniques nous ont permis de réaliser notre projet. Notre motivation première est de créer une passerelle entre les Algériens établis à l’étranger et leur pays. C’est surtout une radio musicale pour les passionnés de la musique algérienne, dans toute sa richesse. C’est également une radio qui fait la promotion de la musique algérienne sur internet, là où elle ne trouvait pas une grande place ", explique Samy Slimani dans une interview accordée à notre journal (El Watan du 13 novembre 2006) avant de poursuivre : " Notre qualité de son n’a rien à envier à une radio FM et pourtant nous diffusons sur internet. Prochainement, nous diffuserons en 32kbps. Ce qui permettra à tous les Algériens, même avec un débit minimum tel qu’avec un modem de 56 kbps, d’écouter Radio Dzaïr toujours avec cette même qualité de son. C’est là l’innovation majeure. L’autre est que nous pouvons transmettre un signal audio compatible avec la téléphonie mobile de la dernière génération. " Samy Slimani révèle ainsi la potion magique de sa webradio en misant sur le pack " mobile-radio-internet ". Maintenant, Radio Dzaïr entend s’assurer des parts d’audience et de marché autrement plus consistantes en ciblant un public de plus en plus large. " Nos objectifs sont ambitieux et nous remercions le public qui nous fait déjà confiance à travers le monde en souhaitant que de nouveaux auditeurs et partenaires se joignent à nous dans le but de promouvoir la culture algérienne en nous appuyant sur un outil performant de communication ", conclut Aziz Farès.

Source : El Watan

Mustapha Benfodil

Web_Un moteur de recherche plus durable



Dans la jungle des moteurs de recherche où règne Google, Veosearch se démarque en reversant 50% de ses revenus publicitaires à des projets de développement durable.

L'idée de Veosearch vient de deux étudiants français âgés de 24 ans, Arthur Saint-Père et Guillaume Heintz, qui ont eux-mêmes participé à des projets humanitaires en Inde et au Pérou.

Les deux compères ont lancé le moteur de recherche «solidaire» au mois d'août. En octobre, il comptait 60 000 visiteurs uniques.

L'internaute peut choisir les projets qui profiteront de ses clics sur la base du principe «une recherche = un don».

Au moment où ces lignes sont publiées, un peu plus de 6 000 $ avaient été amassés pour les 17 associations humanitaires bénéficiaires.

Le moteur de recherche est cependant sur le point de se développer. Trois investisseurs, dont une importante régie publicitaire française Adverline, ont annoncé qu'ils injectaient un million de dollars dans l'entreprise.

Veosearch compte sur cet investissement pour développer ses outils de recherche et renforcer ses effectifs. La compagnie souhaite également apporter des fonds à davantage d'associations, tout en se limitant à une cinquantaine afin de ne pas disperser son aide.

Le moteur a établi un partenariat avec le site de partage en ligne Dailymotion, très populaire en France, pour diffuser les vidéos de projets qu'il soutient, qu'il s'agisse d'un programme de développement au Tadjikistan ou de la lutte contre le sida en France.

Autre partenaire du site, le ministère français de l'Écologie présente chaque jour un «éco-conseil» lié au développement durable, tel que la mise en commun d'outils de jardinage entre voisins.

Côté recherche, pas de surprise… Les résultats du moteur sont fournis par Google, Yahoo!, Ask.com et le moteur français Exalead.

Pour accéder à Veosearch.com

Source : La Presse Affaires
Par Didier Bert

Web_Internet saturé d'ici deux ans?



Une étude du Nemertes Research Group affirme qu'Internet sera saturé à partir de 2010, soit dans quelques années.

Selon la firme, Internet commencera à ralentir en 2010, en raison de la multiplication de la vidéo. Les fournisseurs d'accès à Internet seront saturés, prévoit le groupe.

Nemertes affirme être le premier à comparer la croissance prévue du trafic avec les projets envisagés pour augmenter les capacités des réseaux.

Selon le groupe, les fournisseurs d'accès Internet nord-américains devraient investir au minimum 55 milliards de dollars pour éviter que le réseau Internet ne soit ralenti.

«Même si la fibre optique et les ressources de commutation et de routage évoluent normalement pour supporter virtuellement pratiquement tout demande concevable de l'utilisateur, l'infrastructure d'accès Internet, en particulier en Amérique du nord, va probablement cesser d'être suffisante pour soutenir la demande dans les trois à cinq prochaines années», indique Nemertes.

Selon comScore, au cours des trois premiers trimestres, les internautes américains ont chacun consommé en moyenne 158 minutes de vidéo par mois. Pas moins de 8,3 milliards de vidéos ont été regardées.

En 2007, les internautes particuliers et professionnels vont créer 161 exaoctets de nouvelles données, soit 1,1 milliard de Go, ou encore 50 000 ans de vidéos en qualité DVD!

Le président de Nemertes croit que les fournisseurs d'accès à Internet ne sont pas en mesure de jauger la vitesse à laquelle la demande croît.

«Comcast ne sait pas ce qui se passe avec le réseau d'AT&T, et vice-versa. Les chercheurs se font museler. Donc personne n'obtient une connaissance globale de ce qui se passe avec Internet», dit Johna Till Johnson.

Source : La presse Affaires

mardi 20 novembre 2007

Pub_La campagne de Reversa nommée la meilleure des meilleures



Taxi Montréal a de nouveau été récompensée pour la campagne de Reversa. "Voyez les effets secondaires" a été sacrée "Best of the Best" lors du concours de l'Association canadienne du marketing (ACM), qui récompense la créativité et l'efficacité des campagnes publicitaires.

C'est la 17e fois que l'agence est primée pour cette opération. Taxi a notamment reçu deux Lions d'or à Cannes cette année et le Grand Prix Boomerang, dans la catégorie "Marketing interactif - Campagne intégrée en ligne et hors ligne".

Elle a cette fois-ci damé le pion à 705 concurrents.

Selon l'ACM, le microsite créé pour l'occasion a attiré 895 000 visiteurs. L'offensive aurait par ailleurs fait croître les ventes du produit de Dermtek Pharmaceutique de 30% dans les six mois qui ont suivi son lancement.

Une autre agence montréalaise s'est distinguée lors de la remise des prix ACM. Twist Image est la première agence à décrocher le prix de l'Innovation numérique, une nouvelle catégorie.

L'ACM a récompensé Twist pour avoir imposé "de nouveaux standards". Cet honneur vise à reconnaître "la qualité du travail dans l'interactivité". Twist a notamment été remarquée pour son travail pour Telus, la Banque Scotia, Bombardier et Unilever/Axe.

Cossette Communication-Marketing, Hamelin Martineau Marketing Design, Bos et Draftfcb ont elles aussi raflé des prix. Pour consulter la liste de tous les gagnants, cliquez ici.

Source : Info Presse
par Aurore Lehmann, I
nfopresse

lundi 19 novembre 2007

Affichage Numérique_Top 10 des villes googlant “digital signage”



Google Trends permet de connaître la popularité de certains termes de recherches selon la localisation des requérants. Depuis que j’ai fait l’exercice, soit en juillet dernier, Minneapolis (le siège social de Broadsign est en banlieue de Minneapolis) et Toronto se font damer le pion par Taipei et Singapore.

Le nouveau top 10 va comme suit :
1. Kuala Lumpur, Malaysia
2. Taipei, Taiwan
3. Singapore, Singapore
4. Toronto, Canada
5. Minneapolis, MN, USA
6. Montreal, Canada
7. Atlanta, GA, USA
8. San Francisco, CA, USA
9. Sydney, Australia
10. Melbourne, Australia

San Francisco, Singapore Sydney ont fait leur entrée alors que New York, Athènes et Melbourne se sont éclipser et que Montréal se maintient. Où est Dubai ? ;-)

En faisant de la recherche au sujet de la popularité de Facebook cettte semaine, j’ai appris que Halifax était la ville dans le monde recherchant le plus le mot “facebook”, devant Mississauga et Toronto. Des mauvaises langues m’ont suggéré que c’était parce que la population locale ne savait pas que l’adresse était www.facebook.com…Doh !

Source : Le blog de l'affichage numérique à Montréal

Media_Les syndicats craignent une mainmise étrangère sur les médias canadiens




Le Syndicat canadien des communications,
de l'énergie et du papier (SCÉP) organisait ce matin une manifestation à Gatineau, devant les locaux où se tient l'audience du CRTC concernant l'achat d'Alliance Atlantis par CanWest.

Le groupe entend inciter le CRTC à réglementer "dans l'intérêt de la population canadienne".

Le SCÉP craint une mainmise sur les médias canadiens de la part du partenaire de CanWest, la firme d'investissement américaine Goldman Sachs.

La promesse d'acquisition d'Alliance par CanWest a été annoncée en janvier, pour 2,3 milliards$. Elle doit être entérinée par le CRTC cette semaine.

Par cette entente CanWest achète les 13 chaînes spécialisées contrôlées par Alliance, dont Discovery, History Channel et Showcase. L'entreprise de Winnipeg est déjà propriétaire du réseau Global et de plusieurs quotidiens, dont The Gazette.

Goldman Sachs obtient quant à elle les droits de diffusion de la populaire série CSI, et l'un de ses partenaires canadiens contrôlera la distribution des films d'Alliance.

Source : InfoPresse
par Aurore Lehmann, Infopresse

Pub_ Les Français jugent la pub télé et Internet envahissante



Une étude réalisée par Australie et Ipsos met à jour le peu d'estime que portent les consommateurs français à la création publicitaire.

Selon cette enquête, 79% d'entre eux trouvent la publicité "envahissante" et 65% la qualifient de "banale".

Critiques, les Français sont aussi méfiants. La moitié jugent la pub "dangereuse".

Le nombre de publiphobes a d'ailleurs augmenté (30% contre 25% en 2004). Le phénomène est tempéré par Jean-Marc Lech, coprésident d'Ipsos, qui affirme dans une entrevue pour le magazine Influencia, que "ce n'est pas un phénomène militant".

La recherche révèle par ailleurs que la perception de la pub est influencée par la pratique d'Internet.

"Les gros consommateurs d'Internet sont les plus critiques (35% de publiphobes), bien qu'il soient accros de la consommation", note Vincent Leclabart, président d'Australie. Ils trouvent la pub sur le Net ennuyeuse (73%), terriblement envahissante (94%) et très agressante (77%). Seulement 20% la jugent convaincante.

Les Français sont particulièrement virulents envers la publicité télévisée. Ainsi, 90% la jugent envahissante, et 57% l'estiment banale et agressante.

Source : InfoPresse
par Aurore Lehmann, Infopresse

samedi 17 novembre 2007

Affichage Numérique_Entrevue avec Mary Davis de Border Group

Minicom nous offre cette semaine une entrevue avec Mary Davis de Border Group

Article complet ici

Pub_Le viral atteint le milliard



Les annonceurs américains ont investi 1 milliard$US dans des campagnes virales en 2006.

C'est ce que révèle une étude réalisée par la firme de recherche PQ media, dont les résultats ont été divulgués hier à l'occasion de la conférence "Word of mouth" à Las Vegas.

Cette enquête démontre que les dépenses dans ce secteur sont passées de 76 millions$ en 2001 à 981 millions$ en 2006. Elle prévoit par ailleurs qu'elles atteindront 3,7 milliards$ en 2011.

"Cette discipline est désormais reconnue comme une industrie en soi", a dit Leo Kivijarv, président de PQ media, selon ce que rapporte le magazine Advertising Age.

Si le marketing viral ne représente encore qu'une petite partie de l'activité dans les communications, sa croissance est, selon l'étude, beaucoup plus rapide que celle des autres domaines: 35,9% d'augmentation en 2006, contre 7,7% pour tous les autres secteurs confondus.

Le succès du marketing viral s'expliquerait en partie, toujours selon l'étude, par son efficacité avérée. Dans le cadre d'un sondage récent de Nielsen, réalisé auprès de 26 000 personnes, 78% des participants ont affirmé pouvoir se fier aux recommandations d'autres consommateurs.

"Quand vient le temps d'acheter un produit, la confiance qu'on place en un ami ou une personne influente représente un facteur déterminant", a dit Leo Kivijarv.

Source : InfoPresse
par Aurore Lehmann, Infopresse

Média_Bebo concurrence YouTube et Joost



L'un des sites de médias sociaux les plus populaires aux États-Unis, Bebo.com, s'est allié avec plusieurs diffuseurs majeurs américains pour offrir du contenu télévisuel sur le Web. La nouvelle plateforme Web, appelée Open Media, propose du contenu offert notamment par CBS, Turner, MTV, BBC et Sky. Chacun a sa propre section dans le site ("channel"), où il contrôle entièrement l'image et le contenu.

Ces diffuseurs auront ainsi accès aux 40 millions d'internautes du site, lequel cible prioritairement les 16-24 ans. Tous les revenus des publicités présentées dans ces canaux reviendront aux diffuseurs. Toutes les chaînes qui le désirent pourront créer librement un nouveau canal de diffusion.

Selon le magazine Advertising Age, l'annonce qui s'est faite en grande pompe en milieu de semaine, a eu lieu simultanément à New York et Londres, à l'occasion d'un événement qui a rassemblé environ 200 journalistes.

Source : Info-Presse
par Sophie Lachapelle, Infopresse

Web_Comment rentabiliser un site Web?



Je suis un passionné de finances personnelles et de consommation et je déborde d'idées à ce sujet. Avec les années, j'ai développé une certaine expertise et j'aimerais bien en faire profiter les autres dans la vie de tous les jours.

Croyez-vous que ce genre d’information peut être diffusée par un site Web et est-ce possible qu'il soit rentable?

À ce jour, plusieurs personnes et entreprises ont tenté de faire des affaires à partir d’Internet, mais très peu ont réussi. Vous dites que vous êtes passionné de finance personnelle et de consommation.

Tant mieux, car cela vous aidera énormément à persévérer lorsque vous traverserez des périodes difficiles. Vous devrez également faire preuve de beaucoup de patience, de détermination et de courage pour mener à bien un tel projet.

Dans le but de rentabiliser votre projet le plus rapidement possible, voici trois recommandations qui contribueront à augmenter vos chances de succès :

1. Spécialisez-vous: N’essayez pas d’être tout pour tout le monde, car vous ne serez rien pour personne. Ne tentez pas non plus de faire concurrence directement avec des sites établis depuis longtemps, car cela vous coûtera très cher et prendra un temps énorme avant d’atteindre le seuil de rentabilité.

Vous devez être différent, unique et spécialisé afin que votre site soit attirant pour vos visiteurs cibles et qu’il devienne rapidement une référence dans la spécialité que vous aurez développée.

2. Ayez un site EVA (Expertise-Valeur-Aide): Cette expression signifie que le contenu de votre site Web doit vous positionner comme étant un Expert dans votre spécialité, qu’il doit apporter beaucoup de Valeur à vos visiteurs et qu’il doit les Aider à prendre les meilleures décisions.

Plus vous assisterez vos lecteurs dans l’obtention de ce qu’ils désirent, et ce, efficacement et avec célérité, plus vous aurez du succès. Dû au fait que la rentabilité de votre site Web sera étroitement liée au nombre de gens qui le visiteront chaque mois, vous devez intéresser, attirer, interpeller et capter l’attention de vos visiteurs avec une information volumineuse qui nécessite des présentations sous différentes formes : des articles, des études, des expériences d’achats, des références, etc.

3. «Référencer» votre site: Vous devez également être visible par l’entremise des engins de recherche tels que Google et Yahoo! ce qui signifie que lorsqu’un visiteur tape un mot en relation avec ce que vous faites dans la barre de recherche, votre site Web doit apparaître dans les premiers résultats de recherche.

Il existe des experts en référencement qui peuvent vous aider à améliorer votre position, mais soyez vigilants, car il y a beaucoup de charlatans dans ce domaine. Faites votre choix par recommandation.

Finalement, peu importe ce que l’on vous dira, vous lancer en affaires est souvent une question de flair. Si vous croyez en être capable, alors allez-y, jetez-vous en bas de la falaise.

Vous trouverez bien une façon d’avoir des ailes avant de toucher le sol et, ensuite, de voler vers la réalisation de vos rêves.

Source La Presse Affaires
Par Jean-Pierre Lauzier

Web_Un premier pirate de films arrêté au Québec



Un premier pirate de films a été arrêté au Québec depuis l'amendement au Code criminel adopté plus tôt cette année.

TQS a appris qu'un homme de 23 ans a été pris en flagrant délit, le 26 octobre, dans un cinéma Guzzo de l'est de Montréal.

Grâce à une nouvelle technologie, l'individu a été repéré en train de filmer la nouveauté Dan In Real Life.

Réalisant la gravité de ses actes, il a avoué ses crimes et remis à Vincent Guzzo, vice-président exécutif des Cinémas Guzzo, tout son matériel et également deux autres films piratés plus tôt dans la soirée dans deux autres cinémas.

Le présumé pirate a également remis le serveur qu'il utilisait pour envoyer les films sur Internet. Le Service de police de la Ville de Montréal a procédé à son arrestation.

L'individu a également avoué avoir piraté près de 25 films. Il empochait environ 1000 $ par film.

S'il est reconnu coupable d'enregistrement d'un film dans un cinéma, l'homme pourrait être condamné à deux ans de prison.

Source : La Presse affaires

jeudi 15 novembre 2007

Web_Internet continue de faire vendre, selon le CMA



Les médias numériques généreront plus de revenus liés aux ventes directes que les autres canaux spécialisés d'ici 2011, selon une étude réalisée pour l'Association canadienne du marketing (ACM).

L'enquête, conduite par l'institut de recherche Global Insight, révèle que les revenus résultant des ventes par courriel atteindront 46,6 milliards$ en 2011. Les annonceurs canadiens devraient par ailleurs doubler leurs dépenses sur les medias numériques, pour passer de 1,4 milliard$ cette année à 3,3 milliards$ en 2011.

Selon Wally Hill, vice-président aux relations publiques et aux communications pour l'ACM, cette croissance s'explique en partie par l'amélioration des services en ligne. "La plupart des problématiques liées à la sécurité et au confort sont aujourd'hui maîtrisées", dit-il dans une entrevue au magazine Marketing.

Selon cette recherche, les dépenses publicitaires dans les médias en général vont croître fortement au cours des prochaines années, passant de 19 milliards$ en 2007 à plus de 23 milliards$ en 2011.

Cette augmentation devrait s'accompagner d'une hausse des emplois disponibles dans la publicité et le marketing de 6,8% par an dans les cinq prochaines années. Le changement devrait particulièrement se faire sentir dans le domaine des medias numériques, où le nombre d'emplois passera des 75 000 actuels à 200 000 en 2011.

Source : Info-Presse
par Aurore Lehmann, Infopresse

Affichage Numérique_Google aux pompes



3500 pompes à essence américaines seront bientot équipées d’écrans tactiles et de Google Maps. Les automobilistes pourront rechercher hôtels, restaurants, attractions touristiques et autres lieux sélectionnés par le propriétaire de la station-service. Ils pourront ensuite faire imprimer les résultats de leur recherche directement à la pompe. Les détaillants espèrent ainsi fidéliser leur clientèle en leur offrant en service utile, adapté et gratuit.

Un service plus sécuritaire que les aides de navigation pour le conducteur et plus fiable que de demander à un étranger selon la responsable du projet. Le système ne présentera pas de pub pour l’instant, mais ce ne saurait tarder. Les pompes sont fabriqués par Gilbarco Veeder-Root de Caroline du Nord qui détient 60% du marché des pompes à essence américaines.

Source : Blog de l'affichage numérique à Montréal...et ailleurs

mercredi 14 novembre 2007

Affichage Numérique_BroadSign nomme un nouveau président pour son conseil d'administration et investit 4.5 millions $ à Montréal



Le fournisseur de logiciels d'affichage numérique prévoit doubler ses
effectifs basés à Montréal au cours de la prochaine année

BroadSign Canada inc. annonce que sa
compagnie mère, le fournisseur de logiciels dédiés aux panneaux d'affichage
numériques BroadSign International Inc. ("Broadsign"), a nommé M. Richard
Boudreault, expert québécois renommé en technologies, à titre de président de
son conseil d'administration et qu'elle investira une somme additionnelle de
4.5 millions de dollars dans ses installations situées à Montréal, Québec.

BroadSign utilisera cet investissement pour agrandir son département de
recherche et développement et développer son infrastructure montréalaise de
support et service à la clientèle. La compagnie prévoit également construire
un nouveau centre d'appels à Montréal et conséquemment accroître ses effectifs
de 30 à 60 employés en 2008. Ces nouveaux emplois permettront à BroadSign de
continuer de fournir des services de support de la plus grande qualité à son
nombre grandissant de clients dans le domaine des réseaux de panneaux
d'affichage numériques.
"Montréal offre de nombreuses ressources en développement et en support,
de même qu'un environnement d'affaires avantageux pour des compagnies
technologiques comme BroadSign," a déclaré M. Rick Engels, président et chef
de la direction de Broadsign International, située au Minnesota. "Cette ville
nous a déjà offert une excellente source de talents dans le domaine de
l'affichage numériques."
Richard Boudreault, le nouveau président du conseil d'administration,
apporte à la direction de la compagnie une expérience considérable dans le
domaine du démarrage et du développement de projets technologiques. Il a
oeuvré au sein d'organisations incluant SOFINOV, une division de la Caisse de
dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de
Technologie Aérospatiale. Il a siégé sur plus de 20 conseils d'administrations
de compagnies privées et publiques.
M. Boudreault détient une maîtrise en administration des affaires (MBA)
de l'Université de Sherbrooke, une maîtrise professionnelle en ingénierie
aérospatiale de Cornell University, de même qu'un baccalauréat en physique de
l'Université de Montréal. Il est aussi membre de plusieurs associations et
académies.
"Je suis honoré de devenir le président du conseil d'administration de
BroadSign et j'ai déjà commencé à travailler avec les autres administrateurs
et l'équipe de direction de BroadSign pour accroître la part de marché de la
compagnie et consolider sa position à titre de chef de file des fournisseurs
de logiciels de l'industrie," a affirmé Richard Boudreault.
BroadSign est un chef de file mondial de l'industrie de l'affichage
numérique, reconnue pour les technologies qu'elle a développé, sa marque de
commerce et son modèle d'affaires. Le marché desservit par BroadSign est en
expansion rapide puisque les grand détaillants et annonceurs adoptent de plus
en plus l'affichage numérique comme nouveau moyen de communiquer directement
avec les consommateurs.
RocSearch, une firme indépendante d'analyse de marché, prévoit que le
marché de l'affichage numérique croitra de 2 milliards $ en 2003 à 7
milliards $ en 2008 pour atteindre 14.7 milliards en 2011.

A propos de BroadSign

BroadSign International Inc. est un fournisseur mondial de solutions
logicielles pour l'opération de réseaux de panneaux numériques de messages
publicitaires. La suite de logiciels de BroadSign(TM) répond aux défis
rencontrés par les opérateurs de réseaux de panneaux numériques de messages
publicitaires: des fonctionnalités relatives à l'ensemble des éléments des
campagnes de publicité, de la traçabilité et des possibilités d'extension. Le
logiciel permet aux spécialistes de la publicité d'identifier, de vendre ou
d'acheter du temps d'antenne et d'obtenir des rapports de performance pour
leurs campagnes de publicité. BroadSign combine une expertise considérable en
logiciels pour panneaux numériques, en publicité et en technologie de
l'information. La suite de logiciels de BroadSign(TM) est utilisée par des
réseaux d'affichage numériques dans 25 pays. Le siège social de la compagnie
est situé à Minnetonka, Minnesota (Etats-Unis).

Renseignements: BroadSign International Inc., (514) 399-1184,
www.broadsign.com; Médias: Pascale Poitras, Atomica Consultants Inc.

Source : CNW

mardi 13 novembre 2007

Pub_Publicité en ligne : "Pas assez d'argent pour tout le monde"



Malgré les bons chiffres américains, le patron de Publicis demeure circonspect et appelle à la prudence

Alors même que les chiffres record de la publicité en ligne aux États-Unis viennent d'être publiés, Maurice Lévy met en garde contre les sirènes de ce marché. Interrogé par le Financial Times, le p-dg de Publicis affirme que "bien trop de gens bâtissent des plans sur la publicité. Ils pourraient être déçus car il n'y a pas assez d'argent pour tout le monde".

Le mot peut sembler étrange pour une société qui a elle aussi investi dans ce secteur. Rappelons qu'il y a deux mois à peine, le géant français du marketing s'offrait pour un montant non communiqué WCube, une agence française spécialisée dans la publicité en ligne ainsi que Phonevalley, qui s'occupe de pub sur mobile.

Pour Maurice Lévy, qui s'exprimait en marge du Monaco Media Forum, la frénésie créée par les revenus futurs de la publicité online est proche de celle suscitée par les start-up dix ans plus tôt.

"C'est exactement la même situation que celle de la fin des années 90. Tout le monde croyait qu'en possédant un site web, il obtiendrait de la valorisation. Aujourd'hui, tous ceux qui font du Web 2.0 pensent qu'ils recevront de la publicité". La récente valorisation à 15 milliards de dollars de Facebook (dont le chiffre d'affaires est encore anecdotique) illustre clairement ce propos.

Bien que pessimiste sur le long terme et doutant que la publicité en ligne apparaisse comme le "bon moyen de communiquer", le dirigeant table sur une croissance du marketing en ligne, y compris aux dépens des autres médias.

Pour autant, il est difficile d'oublier qu'une société comme Google a construit l'ensemble de son business model sur les messages publicitaires en ligne, tout en donnant naissance à un nouvel écosystème publicitaire.

La dernière réunion de l'IAB (Interactive Advertising Bureau) tenue au Sénat prend elle aussi le contre-pied de cette réflexion. L'un des responsables d'Havas a présenté la Toile comme le prochain média d'importance pour le marketing.

Moins qu'une critique, les paroles de l'écouté dirigeant sonnent plutôt comme un appel à la plus élémentaire des prudences. Une manière pour Maurice Lévy d'éviter la création puis l'éclatement d'une bulle, phénomène fatal à beaucoup d'entreprises du Web dans les années 2000.

Source : Silicon.fr
Par Thomas Pagbe

Media_Les blogueurs font front commun face au CRTC



Deux semaines après l'évocation par le vice-président du CRTC d'une éventuelle réglementation d'Internet, l'inquiétude monte d'un cran chez les blogueurs.

Un groupe "Against CRTC regulate the Internet" a été lancé sur Facebook par le blogueur Pierre Côté, consultant Web. Il compte aujourd'hui 387 membres, issus du Québec et du Canada anglais.

Les plus virulents d'entre eux s'en prennent directement à l'Adisq. Roberto Rocha, journaliste et chroniqueur Web pour le quotidien The Gazette, fustige dans son blogue l'industrie et les créateurs québécois. Faisant référence à l'ouvrage "Qui a pris mon fromage?", le best-seller de Spencer Jonhson, il questionne la capacité des créateurs québécois à faire face au changement.

"Les consommateurs ne continueront pas infiniment d'acheter des produits simplement parce que vous les leur proposez. Internet ne changera pas pour vous. Vous devrez changer pour Internet", écrit-il.

D'autres proposent des pistes de solutions. Michel Leblanc, consultant spécialisé en commerce électronique, explique que le CRTC se trompe de cible. Il suggère à l'industrie du disque de faire pression auprès du gouvernement fédéral pour qu'il incite les banques à trouver rapidement des solutions de paiements permettant aux mineurs d'acheter leur musique en ligne.

Il écrit: "Combien de jeunes de 14 ans ont une carte de débit? (...) Le commerce électronique devrait être mieux adapté pour le consommateur, notamment en matière de débit en ligne et de micropaiements."

L'affaire en laisse d'autres incrédules. "Je n'y crois pas une seconde", dit Sylvain Carle, consultant Internet. "C'est mettre beaucoup d'argent et d'énergie dans un cul-de-sac. Tous les moyens de contrôle technique déjà utilisés ailleurs ont été contournés."

Selon lui, le problème auquel est confrontée l'industrie de la musique est le même que celui qu'a connu l'industrie du logiciel il y a quelques années. "Les grands éditeurs de logiciels d'aujourd'hui ne sont pas les mêmes qu'il y a 10 ans. Ceux qui ont prospéré sont ceux qui ont su changer leur modèle d'affaires."

Allant encore plus loin, Martin Lessard pense que le CRTC va très certainement trouver moyen de se sortir de cette impasse en se servant des audiences. "Il va devoir admettre que c'est techniquement trop complexe. Internet est un monde régi par la demande, et le CRTC veut contrôler un monde d'offre."

Source : InfoPresse
par Aurore Lehmann, Infopresse

Pub_Cossette Media a reçu le prix « Best of Show » Media Innovation Awards



Cossette Media a reçu le prix « Best of Show » Media Innovation Awards

Cossette Media a reçu le prix Best of Show pour la campagne de la gomme Mentos de son client Perfetti Van Melle.

Les Media Innovation Awards existent seulement depuis huit années et Cossette Media a remporté cinq Best of show en huit ans.

Renseignements :

Annie Jolicoeur
Optimum relations publiques

Source : AMPQ

Media_Le livre de la semaine: Pourquoi bloguer dans un contexte d'affaires



Dix communicateurs viennent de se réunir autour d'un ouvrage collectif afin d'apporter leur vision respective du phénomène des blogues dans le contexte des affaires.

"Pourquoi bloguer dans un contexte d'affaires" présente ainsi les opinions de Martin Ouellette (dirigeant de l'agence Provokat), du relationniste Marc Snyder, du journaliste Tristan Péloquin (blogueur sur Cyberpresse), du spécialiste des technologies Sylvain Carle et de plusieurs autres.

S'ils sont aussi nombreux, c'est qu'il existe de multiples réponses à la question "Pourquoi bloguer?": pour influencer, pour vendre, pour réseauter, pour provoquer, etc.

L'essentiel reste d'avoir quelque chose à dire... afin d'initier la conversation.

Pourquoi bloguer dans un contexte d'affaires, collectif dirigé par Claude Malaison, Éditions Isabelle Quentin (iQ), 2007, 150 pages, 29,95$.

Source : InfoPresse
par Francois Perreault, Infopresse

dimanche 11 novembre 2007

Web_Yahoo présente KickStart, son réseau social dédié aux universitaires



Quelques semaines après le lancement de son réseau social grand public, Mash, Yahoo vient de présenter Kickstart, son réseau communautaire dédié aux universitaires à la recherche d'un emploi et aux professionnels à la recherche d'employés.

Pour lancer cette version bêta, Yahoo a signé un partenariat avec le réseau Bebo.

Yahoo vise à mettre en relation les diplômés et le milieu du travail, en permettant aux premiers de téléverser leurs CV, et aux seconds de les consulter.

L'inscription, ouverte à tous, ne demande qu'un compte Yahoo.

Source : Branchez-Vous

samedi 10 novembre 2007

Web_Web 2.0 dans l'immobilier : bon rapport qualité/prix?



Bien que les sites Internet de vente immobilière sans agent ni courtier gagnent en popularité chez les Québécois, des représentants de l'industrie immobilière préviennent que ces services en ligne ne rendent pas leur travail inutile pour autant.

Dans un article publié récemment dans La Presse, Nicolas Bouchard, président et fondateur de DuProprio.com, indiquait que le nombre de propriétés vendues sur son site Internet est passé de 700 en 2001 à 3500 l'an dernier.

La personne qui désire vendre une propriété sur ce site Internet doit payer 399,95 $ pour qu'elle y soit affichée pendant six mois. En contrepartie, les agents immobiliers se prennent une commission moyenne de 6 % sur le total de la vente d'une propriété, ce qui équivaut à 12 000 $ pour une maison de 200 000 $.

Pour Georges Bardagi, un agent immobilier de RE/MAX du Cartier G.B., la comparaison ne tient pas la route. « C'est comparer des pommes et des oranges, explique-t-il. Les agents immobiliers sont de professionnels qui sont encadrés par l'Association des agents et courtiers immobiliers du Québec (ACAIQ). Les sites Internet comme DuProprio.com n'offrent pas le dixième de nos services », poursuit-il.

De plus, l'agent immobilier, dont le bureau est situé dans l'arrondissement d'Outremont à Montréal, soutient que les sites Internet comme DuProprio.com ou Waka.ca n'offrent pas la même protection légale aux acheteurs si des vices non déclarés sont découverts après la vente d'une propriété (Fonds d'indemnisation du courtage immobilier).

« Je n'ai rien contre le fait que ces sites Internet existent, ajoute cependant Georges Bardagi. Mais je pense qu'il est important que les consommateurs sachent que la comparaison financière soulevée par DuProprio.com n'est pas exacte, c'est de la fausse représentation. »

Francine Forget, directrice générale du Collège de l'immobilier du Québec partage l'opinion de Georges Bardagi. « Internet est un fantastique complément d'informations pour les consommateurs, souligne-t-elle. Mais les gens n'ont pas accès aux mêmes banques de données que les agents immobiliers, qui sont beaucoup plus complètes et détaillées. »

La directrice donne en exemple Matrix, le nouvel outil de recherche de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Les 9500 agents de la CIGM peuvent accéder depuis le début du mois d'octobre à ce moteur de recherche très avancé et beaucoup plus flexible que son prédécesseur, Edgar. Selon elle, aucun des sites Internet de vente immobilière sans intermédiaire n'équivaut à cet outil.

Une occasion de développement

Bien que les agents immobiliers soient sceptiques quant à la valeur réelle des sites Internet de vente immobilière sans intermédiaire, Jean-François Renaud, un consultant en nouvelles technologies de la firme Adviso, soutient qu'ils n'ont pas le choix de s'en inspirer s'ils veulent rester concurrentiels.

Lors d'une conférence qu'il donnait devant près d'une centaine d'agents immobiliers au début du mois de novembre, il a indiqué que les internautes québécois qui sont nés après 1978 effectuent maintenant toutes sortes de transactions en ligne et qu'ils apprécient fortement de pouvoir les faire seuls.

« Les sites des grandes compagnies immobilières comme RE/MAX ou Royal Lepage n'offrent que des fonctionnalités très limitées de recherche, qui ne sont pas satisfaisantes pour bon nombre d'internautes. Si ces entreprises ne se mettent pas à jour avec les nouveaux outils multimédias disponibles sur le Web, elles risquent de se faire dépasser par leurs concurrents en ligne », a-t-il expliqué.

Jean-François Renaud donne en exemple les fonctionnalités de Waka.ca, qui permet entre autres aux internautes d'ajouter des propriétés à leurs favoris ou d'en jeter d'autres à la corbeille ainsi que de savoir le prix de vente d'une maison lors des transactions précédentes.

« Je crois aussi que les agents et les courtiers immobiliers doivent démontrer aux internautes la valeur ajoutée de leurs services, notamment en se spécialisant dans des aspects qu'ils sont les seuls à offrir », dit-il. Selon lui, les blogues et les sites Internet communautaires comme Facebook peuvent être d'excellents outils promotionnels pour se faire connaître davantage sur le Web.

Pour Jean-François Renaud, les agents immobiliers doivent se saisir dès maintenant des outils qui leur sont offerts sur le Web, car les internautes ne les attendront pas.

Source: Branchez-Vous
par Christian Leduc