RadioSouvenirsFM

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vendredi 29 février 2008

Webradio_La webradio de la semaine : lagodasse.net



Spectacles, livres, réseaux sociaux, fringues… Une dizaine de joyeux Québécois proposent un petit guide piquant de la vie pratique à Montréal. C’est ben vu. Et idéal pour trouver chaussure à son pied.

Nos cousins québécois nous surprennent souvent. C'est le cas de ces dix-là. Fans de radio, ils en avaient assez du train-train bien-pensant. En 2005, ils ont créé lagodasse.net, une webradio urbaine de Montréal anti-langue de bois. Un exemple : « Ne prenez surtout pas la tarte Tatin dans tel restau, c'est du vol infâme... D'ailleurs, n'allez pas déjeuner là-bas, c'est dégueulasse. » Même si tout est dit avec humour et bonne humeur, il faut le savoir, il peut y avoir des choses qui gênent comme « des cailloux dans la godasse ».

Les chroniqueurs passent au crible les spectacles et les livres, mais aussi les réseaux sociaux du Net, qu'ils soient affectifs, professionnels, d'affaires ou de rencontres. Et s'intéressent à toutes sortes de réalisations inédites ou anticonformistes. Ainsi, dans sa dernière émission, Chloé présentait Mon mannequin virtuel, une entreprise qui crée des silhouettes personnalisées afin que nous puissions acheter, après les avoir essayés, des vêtements sur Internet. Au Québec, La Godasse marche bien.

Source : Telerama.fr
Anne-Marie Gustave

WebRadio_D-Fuzz, la webradio qui met l'accent sur la découverte



Un petit nouveau vient de faire son apparition dans le monde des webradios. Il se prénomme D-Fuzz. Ne vous fiez pas aux apparences, il n'a rien à voir avec Deezer. Et c'est tant mieux. A l'heure où nombre de services misent sur les algorithmes informatiques pour programmer votre écoute, on a parfois tendance à se demander : mais où sont passés les programmateurs, ceux capables de vous composer des playlists avec talent et imagination ? Le Web 2.0 les a-t-il condamné à capituler sous le sacro-saint système de recommandation ?

Nous l'avions souligné lors de notre dossier consacré au sujet. Un système de recommandation, c'est sympathique mais ça ne remplacera jamais le travail d'un véritable programmateur. Un système de recommandation ne se limitera toujours qu'à combler vos lacunes sur un genre musical, le groupe à côté duquel vous n'auriez pas dû passer si vous écoutiez déjà tel ou tel artiste. En aucun cas il se ne vous dénichera ces petites pépites issues de vinyles pressés à 500 exemplaires.

L'évolution du Web avait en cela quelque chose d'assez déprimant, comme le parfum d'un diktat annoncé des lignes de code et la déshumanisation de la découverte déjà reléguée chez de nombreux acteurs au rôle d'un simple programme informatique. C'est pour cela qu'on ne peut que se réjouir du lancement de D-Fuzz. D-Fuzz, c'est une toute nouvelle webradio multi-canaux. On y propose des chaînes thématiques variées, certaines gratuites, pour vous laisser découvrir le service, d'autres payantes, afin de pouvoir assurer la rémunération des artistes sans vous inonder de publicités (5 € pour un mois, 18 € pour six mois).

L'impression que nous a laissé le portail est extrêmement bonne. Niveau technique, tout y est fluide et la qualité de son est là. Vous avez la possibilité de zapper à volonté les morceaux sans aucune attente, ce qui est plutôt appréciable ; ou de recommander un morceau en envoyant le lien à un ami. Pas de surcharge dans l'interface, tout est clair et concis.

Niveau musique, la qualité est au rendez-vous. La programmation se rapproche assez de l'esthétique que défend une autre du genre, Radio404. Quelque chose d'assez éclectique donc, qui se veut pointu mais sans pour autant donner dans cette forme d'élitisme qui vaut parfois à certains de pester contre les noms fortement médiatisés. Vous trouverez de tout. Des vieux tubes des Rolling Stones à Squarepusher ; du be-bop de Miles Davis à la folktronica de Lali Puna ; de la chanson française à la musique expérimentale. Le maître mot est la découverte. C'est ainsi qu'on peut lire à propos de la chaîne Headz "ce canal met plutôt en avant les autres, ceux qui ne sont pas beaucoup passés à la radio" en parlant de la popularisation du trip hop par des groupes comme Massive Attack ou Portishead. Ca tombe bien, c'est exactement ce que l'on attend d'une radio.

Notons aussi l'originalité dont sont conçues les chaînes. D-Fuzz n'a pas ficelé ses stations de manière trop catégorique. Les thèmes peuvent autant s'attacher à un genre musical particulier (musique classique, jazz) qu'à un esprit (pointu, oldies), une région (Tokyo, Bamako, Berlin) ou tout autre prétexte de rattachement (morceaux de batterie, morceaux contenant le mot "love" dans les paroles). "D-Fuzz n'est pas le moteur de recherche gratuit de musique à la demande gratuit mais gavé de publicité, nous effectuons le travail de recherche et de programmation que la plupart des médias ont délaissé." Et bien force est de constater que ce travail a été très bien fait, et nous ne pouvons que vous inviter à essayer au plus vite ce service de qualité.

Source : Numerama.com

Affichage Numérique_MultiSync LCD5220 : Un téléviseur Full-HD signé NEC



Le groupe NEC Display Solutions of America vient de présenter sur le marché américain un nouveau téléviseur LCD haute définition. Il s'agit du MultiSync LCD5220, un écran qui profite d'une diagonale de 52 pouces.

L'appareil est entièrement Full-HD 1080p et profite d'une épaisseur réduite à seulement 19 millimètres. Il a été présenté récemment dans le cadre du Las Vegas Convention Center à l'occasion du Digital Signage Expo 2008 qui s'y est déroulé.

Le téléviseur sera proposé aux USA à la somme de 8150 $ dès le mois d'avril prochain.

Source : HDNumérique.com

Media_La radio passe enfin au numérique



Encore plus de stations, la possibilité de diffuser du texte, des images ou de la vidéo… Mais la radio numérique sera-t-elle encore de la radio ?

Après la télé, c’est au tour de la radio de passer au numérique. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel s’apprête à lancer un premier appel d’offres pour l’attribution des fréquences disponibles. “Noël 2008 sera celui de la radio numérique”, a promis la ministre de la Culture, Christine Albanel, lors de la signature, le 5 décembre 2007, de l’arrêté fixant la norme de diffusion. Un nouveau départ pour ce média centenaire qui n’a pas beaucoup évolué depuis la généralisation de la modulation de fréquence (FM) et de la stéréo.

En passant au numérique, la radio va nous faire profiter de nombreux avantages. D’abord, on bénéficiera d’un meilleur confort d’écoute même lorsqu’on sera en déplacement ou à la limite de la zone de couverture. Ensuite, il ne sera plus nécessaire de trifouiller son poste pour trouver une station : on y accédera directement par son nom, l’ensemble des stations étant classées par ordre alphabétique ou de préférence. Et on l’écoutera sans interruption lors de ses trajets d’une région à une autre, le changement de fréquence étant transparent.
Ci-dessus, l’iRiver B20 est l’un des premiers récepteurs compatibles avec les normes de radio numérique, DAB+ et T-DMB. Il n’est pas encore disponible en France.

Lexique

* 1 DAB
Le Digital Audio Broadcasting est une norme de radiodiffusion numérique initiée en 1986 par le projet européen Eureka 147 et désormais présente dans le monde entier. Elle utilise le standard de compression sonore Mpeg-1 ou Mpeg-2 Audio couche 2 (MP2). Sa dernière évolution, le DAB+ adopté début 2007, gère le format de compression audio HE-AAC V2, plus performant.

* 3 T-DMB
Dérivé du DAB, le Terrestrial Digital Multimedia Broadcasting permet de diffuser de la vidéo au format Mpeg-4 en plus de l’audio. Il est utilisé en Corée du Sud pour la télévision numérique.

La pause devient possible

Avec un récepteur doté d’une capacité de stockage, on pourra faire une pause ou réécouter un passage avant de reprendre l’émission en cours. Plus fort encore, on profitera d’informations multimédias. La fonction RDS (Radio Data System) de la radio FM permet certes déjà d’indiquer le nom d’une station ou le titre d’une chanson. La radio numérique va plus loin avec, par exemple, la possibilité d’afficher un guide des programmes, des informations sur l’artiste, la pochette de l’album, une carte du trafic routier, de courtes séquences vidéo ou un mini-site Web.

Enfin, on devrait bénéficier d’une offre radio plus riche car le numérique permet de diffuser un ensemble de programmes formant un bloc (on parle alors de multiplexe) sur une seule fréquence avec le même émetteur. Le nombre de stations disponibles dépendant du niveau de compression et de la norme de diffusion qui sera – le gouvernement a tranché – le DRM (Digital Radio Mondiale, rien à voir avec la protection des droits numériques) pour la bande AM et le T-DMB pour la bande FM. La France est le seul pays à avoir choisi cette dernière norme pour la radio numérique, nos voisins européens et une dizaine d’États sur les autres continents ont préféré le DAB ou sa dernière mouture, le DAB+. Car les poids lourds du secteur (NRJ, RTL, RMC, Radio France…), réunis au sein du Groupement pour la radio numérique (GRN), soutiennent le T-DMB qu’ils considèrent comme la technologie la plus aboutie en la matière. Un choix contesté par les radios indépendantes et l’Association pour la radio numérique DR qui mène une expérimentation comparative des deux normes. Les premiers résultats donnent un avantage certain au DAB+, capable de loger deux fois plus de programmes (14 contre 7) dans un multiplexe que le T-DMB à qualité égale. Cette dernière doit en effet impérativement intégrer un encodeur vidéo (même si la station ne souhaite pas diffuser de vidéo) qui empiète sur la bande passante. Logique, vu que le T-DMB a été conçu pour la télévision mobile.

Les récepteurs T-DMB ne seront pas non plus compatibles avec le RDS et ne pourront donc pas basculer automatiquement d’une station analogique à sa version numérique comme l’aurait permis le DAB+. Les indépendants dénoncent un choix économique qui permettrait aux grands groupes d’être présents à la fois sur le marché des mobiles, de la radio et de la télévision.

Source : SVMleMag.fr
Écrit par : Amine Meslem.

Musique_Sept ans après, où est l'argent de Napster ?



Il y a sept ans, en 2001, le plus populaire des réseaux P2P Napster tombait dans les mains de l'industrie du disque et signait un chèque de 270 millions de dollars aux majors du disque. Depuis, et alors que plusieurs autres procès ont donné lieu à des règlements à l'amiable, les artistes attendent toujours de recevoir leur part du gâteau.

270 millions de dollars pour Napster, 30 millions pour Bearshare, 4 millions pour iMesh, 115 millions pour Kazaa, environ 15 millions pour Bolt... les sommes perçues par les grandes maisons de disques de la part des éditeurs de logiciels d'échange de fichiers sont considérables, surtout à l'heure où le marché s'effondre. Mais où vont tous ces millions de dollars perçus à titre de compensation par les labels, au nom du préjudice causé notamment à leurs artistes qui auraient vendu (pensent-ils) plus d'albums s'ils n'avaient pas été distribués gratuitement sur ces réseaux P2P ? Sept ans après la mise à mort de Napster, deux ans après celles de Kazaa et Bearshare, et un an après celle de Bolt... l'argent n'a semble-t-il toujours pas été redistribué aux artistes aux noms desquels il a été prélevé.

Le New York Post rapporte ainsi qu'un "contingent de managers d'artistes éminents prétend qu'une petite partie seulement voire rien de tout cet argent n'a filtré jusqu'à leurs clients". "Ils envisagent désormais une action judiciaire", ajoute le magazine. John Branca, qui représente notamment Korn, Don Henley et les Rolling Stones, explique que "les managers d'artistes et les avocats se sont demandés pendant des mois quand est-ce que leurs artistes verront l'argent issu des règlements à l'amiable pour violation de droit d'auteur, et comment ça sera comptabilisé". Même chose du côté de Irvin Azoff, le manager entre autres des Eagles et de Jewel. "Ils vont jouer à cache-cache, mais en bout de course ils seront bien obligés de payer quelque chose".

Du côté des maisons de disques, toutes indiquent officiellement avoir une politique de partage des revenus issus des procédures judiciaires avec leurs artistes. EMI affirme ainsi avoir commencé à partager les revenus des procès Napster et Kazaa avec les artistes et les auteurs dont les oeuvres ont été piratées, et Warner Music affirme que quasiment tout l'argent issu du procès Napster a déjà été déboursé auprès des artistes. Un avis que ne semblent pas partager les managers.

Le New York Post explique qu'en réalité les maisons de disques prétendent avoir utilisé la majorité des sommes pour recouvrir leurs frais juridiques, et qu'elles ne savent toujours pas sur quelle base partager l'argent avec les artistes. Elles prétendent que tous ne méritent pas de recevoir un chèque, et que le montant doit être calculé au regard du niveau de contrefaçon dont a été victime chacun de leurs artistes. Madonna, parce qu'elle a été beaucoup téléchargée, aurait ainsi droit à beaucoup plus d'argent que Magali Vaé.

Mais comment calculer ces bases alors même que les maisons de disques répètent à l'envi qu'aucune redistribution ne serait possible dans un système de licence globale, faute de pouvoir déterminer quels artistes sont téléchargés et lesquels ne le sont pas, et dans quelles proportions ?

Si les managers mettent leurs menaces à exécution, les labels pourraient être contraints de reconnaître devant un tribunal qu'un système de redistribution serait en fait possible sur des méthodes statistiques.

Source : Numerama.com

jeudi 28 février 2008

Affichage Numérique_La Haute Définition dans une nouvelle dimension



Future extension de la HD et prochainement implantée dans les Blu-Ray, la diffusion en 3D est promise à un avenir en or.

Longtemps attendue, elle vient de franchir une nouvelle étape.

D'après un article du site HD Numérique, la firme Samsung, qui avait présenté son premier modèle 3D-Ready au CES 2008 il y a un mois (le modèle PN42A450P pour être précis), a annoncé sa commercialisation sur le marché américain à partir du mois de mars prochain.

Pour rappel, cette dalle de type plasma dispose d'une diagonale de 50 pouces (125 cm), d'une résolution d'affichage de 1920 par 1080 pixels (1080p) et d'un taux de contraste hallucinant de 1000000:1.

Son prix n'a pas encore été dévoilé, mais il y aura fort à parier que lui aussi, de par l'ajout de cette fonction, prendra du relief !

Source : Le blog gadget

Web_L'européen Badoo en embuscade dans les réseaux sociaux



Même si la presse surexpose des acteurs américains comme MySpace ou Facebook, le vieux continent compte également quelques champions des réseaux sociaux tels que le français Skyrock, le belge NetLog ou encore le britannique Badoo.

Créé à Londres en Mai 2006 par un groupe de huit entrepreneurs qui souhaitent garder l'anonymat, Badoo revendique par exemple près de 13 millions de membres, majoritairement basés en Europe du Sud (Italie, France, Espagne) et en Amérique Latine (Mexique, Venezuela, Argentine).

«L'avenir des réseaux sociaux ne passe pas nécessairement par la langue anglaise. Notre service est aujourd'hui disponible en 7 langues et nous devrions en compter près de 20 d'ici la fin de cette année, avec notamment le russe, une langue que l'on considère comme stratégique » précise Damien Baumal, Directeur du Développement de Badoo France.

Badoo Daniela Mercury
A mi chemin entre un blog et une communauté, Badoo.com propose un service à la fois plus simple et plus clair que ceux de ses concurrents. Chaque membre peut poster sur sa page des articles mais également des photos ou des vidéos, éventuellement sous la forme d'un diaporama aux faux airs de reportage photo. La plate-forme propose également une messagerie interne, un fil d'actualités amicales, des outils de statistiques et surtout un outil pour “remonter” son profil dans les pages de réponse du moteur de recherche, moyennant l'envoi d'un SMS+ facturé 1 euro.

“Le site est gratuit et n'affiche aucune publicité. Notre modèle économique repose sur l'envoi de ces SMS, une fonctionnalité qui séduit près de 20% de nos membres chaque mois et qui leur permet d'augmenter leur visibilité sur Badoo et ainsi de multiplier les rencontres” précise Damien Baumal.

Un modèle économique original et une audience globale estimée à 5,7 millions de visiteurs uniques (comScore, Janvier 2008) qui ont en tout cas permis à Badoo de réaliser une levée de fonds record de 30,3 millions de dollars e début d'année auprès du fonds d'investissement russe Finam. Une somme qui devrait permettre à Badoo de financer son développement, notamment sur le plan technique, avec la ferme intention de rivaliser avec Microsoft, Google, MySpace ou Facebook sur ce très dynamique marché des “réseaux sociaux”.

Source : Neteco.com
Publié par Jérome Bouteiller

Affichage Numérique_Canada, Montréal, Ztélé fait de l'humour sur les panneaux de Zoom



Des panneaux numériques de Zoom Média permettent de sélectionner quatre vidéos humoristiques dans le cadre d'une campagne promotionnelle pour Ztélé.

Installées sur 25 panneaux du réseau, les vidéos font la promotion des capsules humoristiques "Les Bouche-trous", diffusées à Ztélé, une chaîne d'Astral. Les utilisateurs peuvent sélectionner la capsule de leur choix grâce aux quatre boutons situés en bas de l'écran.

Cette offensive, qui s'adresse aux hommes, utilise les réseaux Restos-bars et Sport de Zoom. Elle se poursuivra jusqu'au 30 mars prochain.

"L'emploi des panneaux interactifs de Zoom ainsi que la campagne Web sont des médias qui s'arriment parfaitement à une stratégie de communication visant une approche interactive et personnalisée", dit Dominique Gélineau, directrice des communications de Canal D et Ztélé.

Vizeum a réalisé le placement médias de cette campagne, conçue par l'équipe de création d'Astral.

Annonceur: Ztélé - Dominique Gélineau
Agence: Vizeum
Création: Les chaînes Télé Astral
Planification médias: Ève Vézina
Réalisation: Hugo Matte
Affichage: Zoom Média


Source : InfoPresse
Écrit par : par David Nathan

Pub_TNS - Recul des investissements publicitaires en radio




Selon les résultats du baromètre mensuel Adex Report publié par TNS Media, le début 2008 est
marqué par un recul des investissements publicitaires plurimédia. Une nouvelle fois, cette tendance affecte particulièrement les radios musicales. Selon TNS Media, l'année 2008 "commence bien difficilement" concernant les investissements publicitaires plurimédia. Selon le baromètre mensuel Adex Report pour le mois de janvier, les investissements publicitaires en radio accusent un recul global de 10.3%, avec à peine 200 millions d'euros d'investissement,
contre 224 millions en janvier 2007. Le média radio est surtout pénalisé par le fort recul des investissements publicitaires sur les stations musicales, en repli de 16.5%, tandis que les généralistes progressent de 2.9%, même si en durée elles reculent de 9.6%. La tendance
pour la radio est également accentuée en volume publicitaire diffusé, en recul de 14.9%.

Dans ce contexte, la presse tire néanmoins son épingle du jeu, avec une progression de 4.6% des investissements publicitaires. Le secteur est dynamisé par les magazines, qui ont vu les investissements progresser de 13.2%, tandis que les quotidiens nationaux accusent un recul de leur chiffre d'affaires publicitaire brut de 6.1%. Enfin, les investissements sur les chaînes de télévision nationale sont en recul de 7.6% à 398.2 millions d'euros en janvier 2008 contre 431.1 millions d'euros en janvier 2007. Toutefois, TNS Media indique que "la nouvelle politique tarifaire de France Télévisions empêche cette année toute comparaison valeur sur le média télévision".

Source ComfmPro

mercredi 27 février 2008

Internet_La fin de Netscape




Rideau. AOL tire un trait définitif sur Netscape, le navigateur pionnier d'Internet. Le New York Times détaille la fin par le menu. Les concepteurs n'ont pas souhaité une disparition trop brutale. Ainsi, une ultime mise à jour sera offerte aux utilisateurs.

«Les utilisateurs verront une annonce de mise à jour, il s'agira de version 9.0.0.6 de Netscape», précise Tom Drapeau, directeur de la filiale Netscape d'AOL. «Une fois la mise à jour installée et mis en route, une annonce suivante apparaîtra informant de la date de fin du support et une invitation à migrer vers Flock ou Firefox».

Rappelons que dès la fin du mois de décembre dernier, Tom Drapeau invitait les usagers à utiliser Firefox, le navigateur développé par la fondation Mozilla. Flock –basé lui aussi sur la technologie Mozilla- quant à lui est un «navigateur social» qui propose une interaction avec des sites tels que Flickr ou Facebook.

Les nostalgiques désireux de rester sur Netscape devront toutefois s'attendre à ne plus disposer de mises à jour, de correctifs et de soutien technique à la fin du mois de février.

Ainsi disparaîtra Netscape, le premier navigateur qui a rendu la Toile accessible à tous. L'histoire débute en 1994, quand Marc Andreessen, crée un navigateur appelé Mosaic. Associé plus tard à Jim Clark, Andreessen modifie le nom de son logiciel. Netscape est né.

S'ensuivront quelques mois durant lesquels le navigateur parviendra à concentrer jusqu'à 80% de part de marché. Toutefois, l'embellie sera de courte durée.

La firme de Redmond, Microsoft, lancera dès 1995 une offensive de taille contre le puissant Netscape. Son logiciel de navigation, Internet Explorer, ne cessera dès lors de grignoter des parts sur son rival. Intégré d'office à Windows, l'application n'a pas eu beaucoup de mal à s'imposer et à prendre 98% du marché.

Ni l'ouverture du code, ni le rachat de Mosaic par AOL (4,2 milliards de dollars) ne parviendront à redresser la barre : la part de marché du navigateur tombera sous les 1%.

Mais Internet Explorer, aujourd'hui indiscutable leader des moteurs de recherche, voit lui aussi un rival de taille émerger : Firefox. Développé par la fondation Mozilla, le navigateur open source, connaît un succès grandissant auprès du grand public avec une part de marché qui dépasse les 10% dans le monde. Une revanche pour Netscape, père spirituel de Firefox.

Netscape restera sans aucun doute comme un acteur qui a contribué à faire de la Toile ce qu'elle est aujourd'hui, un produit de masse.

Source : La Presse affaires

Affichage Numérique_Ingram Micro et BroadSign s'associent




Ingram Micro et BroadSign s'associent pour accroitre l'adoption de l'affichage numérique partout en Amérique du Nord

BroadSign, le fournisseur mondial de logiciels de gestion d'écrans d'affichage numériques développés à Montréal, Qc, annonce une alliance stratégique avec Ingram Micro Inc. (NYSE : IM), le premier grossiste mondial de produits technologiques. En vertu d'une entente nord-américaine, Ingram Micro rendra la suite de logiciels-services hébergés de BroadSign, opérant un réseau mondial d'écrans numériques, disponible à ses 35 000 distributeurs associés à valeur ajoutée à travers le Canada et les Etats-Unis.

Cette nouvelle alliance marque la première occasion que la solution de logiciels-services de BroadSign, en collaboration avec le réseau de services de gestion publicitaire en ligne de SeeSawNetworks, est offerte à travers une distribution à deux niveaux. Elle positionne également la division d'affichage numérique d'Ingram Micro en tant que guichet unique exclusif pour les distributeurs à valeur ajoutée qui recherchent une solution globale clé en main hébergée pour la distribution et la mesure des résultats de l'affichage numérique.

Pour aider ses partenaires à vendre et déployer avec succès la solution de BroadSign, Ingram Micro a identifié avec BroadSign plusieurs experts en affichage numérique au sein du réseau de service d'Ingram Micro qui ont les compétences pour et sont prêts à assister les autres distributeurs à valeur ajoutée qui désirent accroitre leur revenus de services.

"Nous attendions le partenaire idéal pour nous commettre à cette étape de l'évolution du domaine de la publicité", a déclaré Rick Engels, président et chef de la direction de BroadSign. "Ingram Micro est le plus grand grossiste mondial de technologies alors que BroadSign offre la principal solution logicielle pour l'affichage numérique. BroadSign et Ingram Micro bénéficient de synergies considérables et, en travaillant conjointement, pourront offrir une solution publicitaire de classe mondiale et contribuer ainsi à définir une direction pour l'industrie de l'affichage numérique."

"L'affichage numérique est un marché en forte croissance qui continue à générer des opportunités de revenus pour nos partenaires au Canada et aux Etats-Unis ", indique Kevin Prewett, vice président à la gestion des fournisseurs d'Ingram Micro U.S. "Cette alliance stratégique entre BroadSign et la division d'affichage numérique d'Ingram Micro apportera au marché la première solution clé en main pour l'affichage numérique publicitaire disponible à travers une distribution à deux niveau et facilitera, pour nos partenaires, la livraison de solutions hébergées".

Les solutions et le personnel dévoué de la division d'affichage numérique d'Ingram Micro, combinés à l'expérience technique et pratique de BroadSign, livrent aux distributeurs à valeur ajoutée et aux annonceurs la prochaine génération de produits de placement publicitaire ciblé et de ses mesures de performance. De plus, les résultats de mesures vérifiés par Arbitron permettent aux annonceurs de mesurer le succès de leurs campagnes de façon extrêmement précise et indépendante en utilisant le logiciel de BroadSign.

Source : Corus nouvelles

Affichage Numérique_Captivate Network s'implante à Montréal



Le réseau numérique Captivate Network, spécialisé en affichage dans les ascenseurs des tours à bureaux, continue son expansion canadienne en installant ses panneaux à Montréal.

Déjà présente à Toronto, Calgary et Vancouver, l'entreprise a installé au début du mois 40 panneaux dans plusieurs édifices du centre-ville de Montréal (1250 René-Lévesque Ouest, 1100 René-Lévesque Ouest et 600 de Maisonneuve Ouest).

"Dans le cadre de nos efforts d'expansion à Montréal, nous deviendrons un réseau bilingue tirant des nouvelles d'actualité de sources comme la Presse canadienne, tout en explorant la possibilité d'associations avec d'autres médias québécois, dit Mike DiFranza, président et directeur général de Captivate. Nous jugeons important de continuer d'offrir un contenu local intéressant et de qualité."

Selon l'entreprise, le contenu de ses panneaux serait visionné chaque jour ouvrable par plus de 410 000 travailleurs.

Parmi les annonceurs utilisant ce réseau, on retrouve CanWest, Volvo, Jeep, American Express et Johnson & Johnson.

Source : InfoPresse
par David Nathan, Infopresse

mardi 26 février 2008

Affichage Numérique_BroadSign et SeeSaw Networks annoncent une collaboration stratégique





BroadSign
et SeeSaw Networks annoncent une collaboration stratégique pour la mise en place et l'évaluation de campagnes publicitaires

BroadSign, le fournisseur mondial de logiciels de gestion de d'écrans d'affichage numériques développés à Montréal, Québec, et SeeSaw Networks, une compagnie de publicité offrant le plus grand réseau media numérique hors foyer, annoncent une collaboration technologique qui unira les services en ligne de gestion publicitaire de SeeSaw à la plateforme de serveurs publicitaires de BroadSign qui permet la gestion de réseaux intégrés d'affichage numérique. Le développement conjoint de services technologiques permettra une livraison directe aux annonceurs nationaux de mesures et rapports de grande fiabilité relatifs aux campagnes, tout en contribuant à établir des normes de mesures pour le marché des campagnes publicitaires numériques hors foyer.

SeeSaw et BroadSign créeront ensemble un nouveau programme ouvert d'interface qui permettra des évaluations précises et en temps réel en automatisant les mises à jour d'inventaires, l'émission de rapports de confirmation de diffusion et la livraison des commandes d'insertion. Les planificateurs publicitaires et les acheteurs pourront visualiser les inventaires de publicités disponibles, acheter de l'inventaire, exécuter des campagnes et visualiser les rapports de confirmation de diffusion à partir du service de planification publicitaire en ligne de SeeSawAds.com. A travers cette association de BroadSign et de SeeSaw, les réseaux d'affichage numérique bénéficieront d'une capacité additionnelle pour rentabiliser leurs écrans et augmenter la valeur publicitaire de leurs emplacements.

"L'intégration technologique est d'une grande importante dans cette industrie fragmentée de plusieurs centaines de réseaux d'affichage numérique et est une étape d'évolution cruciale pour la planification de campagnes nationales de publicité hors foyer pouvant offrir des éléments de mesure fiables", affirme Rick Engels, président et chef de la direction de BroadSign. "Cette association entre BroadSign et SeeSaw permettra à l'industrie de la publicité hors foyer numérique d'offrir un niveau de fiabilité et de capacité de mesures équivalent à ce qui est possible pour la publicité en ligne".

BroadSign a récemment annoncé des résultats de mesures vérifiés par Arbitron qui permettent aux annonceurs d'évaluer le succès de leurs campagnes avec une grande exactitude. La certification des rapports de confirmation de diffusion par Arbitron combinée aux services de planification de SeeSaw offriront un nouveau niveau de conformité pour les annonceurs et les agences publicitaires. En développant un programme ouvert d'interface, BroadSign et SeeSaw offriront une opportunité pour d'autres joueurs de l'industrie de tirer avantage de cet important progrès et de collaborer à l'établissement d'un standard ouvert de mesure de la publicité numérique hors foyer. BroadSign et SeeSaw sont tous deux membres de OVAB qui de consacre à l'avancement de l'industrie par des collaborations innovatrices pour développer des standards pour l'industrie.

"La publicité numérique hors foyer offre aux annonceurs nationaux un media qui rejoint l'auditoire partout où il va et à mesure que l'industrie croîtra, la livraison de mesures et de rapports en temps réel assurera des niveaux de plus en plus élevés de service à la clientèle aux agences publicitaires", déclare Peter Bowen, chef de la direction de SeeSaw Networks. "En nous associant avec BroadSign et en intégrant nos services à travers un programme ouvert d'interface, nous sommes à même d'offrir des fonctionnalités automatisées fiables, traçables et offrant des capacités d'extension pour les campagnes diffusées à travers notre considérable réseau numérique hors foyer".

A travers ses programmes de partenariat, Seesaw Networks rejoint son auditoire à travers 36 réseaux d'affichage numérique dans 25 types d'établissements incluant : cafés, universités, restaurants, bureaux de dentistes et aéroport à travers les Etats-Unis. La plateforme SaaS de BroadSign, qui peut être considérée comme le plus grand réseau connecté d'affichage numérique à travers le monde, diffuse plus de 5 millions de messages chaque jour dans 25 pays à travers plus de 100 réseaux pour plus de 100 millions de contacts par semaine.

Source : Corus/Nouvelles

Technologie_CodaSystem veut démocratiser la photo numérique



L'éditeur annonce le logiciel « Shoot & Proof », téléchargeable sur mobile. Il permet l'accès à un crédit de photos certifiées pour tous. Le concept « Shoot & Proof » est basé sur la diffusion d'un logiciel et d'un portail accessible aux professionnels et aux particuliers pour le téléchargement du logiciel sur un téléphone mobile et de crédits photos certifiées : 10 photos/25 photos/50 photos et plus selon les besoins.

CodaSystem a déjà déployé sa solution de certification de photos numériques auprès de secteurs professionnels et de grandes entreprises grande distribution, affichage, maintenance, immobilier, bâtiment ou les Collectivités. Depuis sa création en 2001, CodaSystem propose un logiciel téléchargeable sur téléphone mobile et une plate-forme de sauvegarde des photos numériques, assurant tous les niveaux de sécurité requis pour la conservation et la certification d'une photo numérique.

Avec « Shoot & Proof », CodaSystem offre un outil de création de photos numériques ayant valeur probante, mais surtout une plateforme web professionnelle de gestion des photos automatisée. D'après l'éditeur, ce système a déjà permis dans 3 applications sur 4 d'économiser des frais juridiques. Un afficheur a ainsi pu prouver à son client annonceur que sa campagne d'affichage a bien été réalisée selon les consignes contractuelles.

Source : ITRNews.com

lundi 25 février 2008

Pub_La Pub Qui Roule aux É.-U.



La Pub Qui Roule, support publicitaire véhiculé en patins à roues alignées, offre maintenant ces services dans la ville de New-York.

En effet, Marc A. Bourbonnais a conclu une entente avec Reale Rose, qui sera le nouveau directeur des opérations pour NYC. Monsieur Rose est diplômé de l'Université Concordia et finit présentement sa maîtrise à la New School University en Relations internationales.

« L'éveil plus marqué des Américains par rapport aux problèmes environnementaux s'enligne parfaitement avec le côté VERT de notre média », souligne Marc A. Bourbonnais

« En plus, la densité de la population qui se trouve dans les rues de New-York rend le média plus concurrentiel par rapport aux médias traditionnels », poursuit-il.

Média urbain, non polluant, interactif et humain, La Pub Qui Roule est en affaires depuis 2001 à Montréal.

Renseignements :

Marc A. Bourbonnais
La Pub Qui Roule

Source : AMPQ

Pub_Internet dépassera la radio avant 2009 selon l'Idate



Internet et le mobile devraient dans les années à venir, gagner leurs galons de média installé, selon l’Idate

Internet attire de plus en plus la publicité, c’est un fait. Ce média est selon la dernière analyse de l’Idate, le théâtre d’une croissance exceptionnelle (+32%). Pourtant, presse et télévision conserve encore aujourd’hui les faveurs des annonceurs, alors même que dans les journaux, la croissance s’étiole et atteint péniblement la barre des 0,8%.

De fait, il va s’avérer difficile pour les annonceurs de faire l’économie de la Toile. Avec 750 millions d’utilisateurs dans le monde connectés plus de 11heures par semaines en moyenne, Internet est une formidable vitrine. Et une cash machine en devenir. Les investissements publicitaires devraient progresser de 76% entre 2006 et 2009. Le Web devrait devenir le troisième support de communication, derrière la presse et la télévision.

Internet dispose de trois atouts. Le « search », l’affichage et le sponsoring et les petites annonces. Au sein de ce trio, le « search » apparaît sans conteste comme le plus efficace. L’exemple de Google et de ses liens sponsorisés en reste à ce jour la preuve la plus efficace.

Le Web 2.0, avec des fleurons tels que YouTube, Dailymotion ou encore Facebook, génère déjà des revenus publicitaires, même si pour le dernier d’entre eux, Facebook, l’essai reste à transformer. Néanmoins, la marge de progression reste là encore bien réelle.

Le mobile dans la ligne de mire

La publicité sur mobile se cherche encore. Plus de 3 milliards de personnes disposent d’un combiné. Les potentialités de marketing offertes sont, une fois de plus, sans commune mesure avec celle des médias traditionnels.

Aujourd’hui, le mobile demeure néanmoins plus difficilement accessible aux annonceurs. Le marché fait néanmoins saliver comme jamais. Rappelons qu’en 2007, des géants se sont jetés sur des spécialistes de la publicité sur mobile (Microsoft sur Screentonic, Publicis sur PhoneValley).

Le décollage de l’Internet haut débit mobile, appuyé par une tarification appropriée pourrait donner un véritable coup de fouet à la publicité sur mobile. Si le nombre d’acteurs sur ce secteur augmente peu à peu, la croissance future de ce marché ne laisse aucune place au doute même si'il se faudra se mettre d'accord sur les formats et les outils de mesure.

Source : Silicon.fr

Media_La radio de demain




Apple vient de déposer un brevet sur l'organisation des podcasts qui annonce ce que pourrait être la radio de demain. Si j'ai bien compris (et ce n'est pas toujours évident avec les brevets) il s'agit d'un dispositif qui permettrait à l'auditeur de constituer son propre programme à partir de podcasts trouvés sur le web. Un auditeur de radio pourrait ainsi combiner les informations d'Europe 1 (qu'il préfère à d'autres), le billet matinal de Nicolas Demorand sur ses lectures de la veille, les chroniques d'Alain Duhamel sur RTL et celles de l'excellente Isabelle Monrozier sur France Inter. Il pourrait ainsi éviter ce qui, dans le flux continu de la radio l'agace ou l'ennuie, à commencer par la publicité.

Ce n'est pour l'instant qu'un brevet, mais qui s'inscrit dans cette logique de la personnalisation qui permet à chacun de passer d'une logique du menu avec des plats imposés que l'on n'apprécie pas forcément tous (mais on écoute les chroniques économiques de Jean-Marc Sylvestre, qui agacent, parce qu'elles viennent avant…) à une logique de la carte où l'on construit son programme en fonction de ses goûts et de ses préférences. Les implications de ce plus de liberté des auditeurs sont importantes. Les radios vont devoir apprendre à devenir banques de programmes, à nouer avec leurs auditeurs des relations nouvelles et, surtout, à réinventer leur modèle économique. Si l'auditeur peut zapper la publicité (et c'est bien ce que ce dispositif permettra) comment financer? Sur fonds publics? Sur abonnements? On voit d'ailleurs sur cet exemple, comment la technologie déplace les lignes et conduit à transférer une part toujours plus importante des budgets publicitaires vers internet.

Source : Cluster21.com

WebRadio_Déjà 400 jeunes artistes sur la webradio figeacoise !



Créée par un jeune figeacois, elle diffuse sur internet des compositions originales de talents méconnus.

Elle s'appelle Webradio-Bellissima et fonctionne depuis le 1er décembre dernier. Ne la cherchez pas sur les ondes, sa particularité est d'être accessible depuis Internet.

« J'aime écouter de la musique, raconte Michaël Dabat, et j'ai eu envie que les jeunes artistes indépendants puissent se faire connaître. Voilà comment est né ce projet. J'y ai travaillé durant un an et il m'a fallu quatre mois pour composer le site disponible sur www.webradio-bellissima.com ».

Les auditeurs ont le choix, ils peuvent gratuitement s'y connecter pour écouter quatre radios de styles différents (Chanson-Pop ; rock, pop-rock, métal ou punk ; électro, DJ, Techno, Trance ; Rap, R'n'B, Reggae, world musique). Ils peuvent aussi s'inscrire pour voter pour leurs artistes préférés et encore accéder au forum ou au T'chat pour faire des suggestions ou discuter avec les artistes et personnes présentes sur le site.

« Pour les artistes indépendants, l'inscription est de 2€. Ainsi, ils peuvent envoyer trois titres musicaux, uniquement des compositions originales, qui seront diffusés et se rapprocher du partenaire abs-bellissima pour vendre leurs titres sur plusieurs plateformes de téléchargement légales. Un annuaire en ligne référence également l'ensemble des artistes de webradio-bellissima », détaille le jeune créateur.

Des artistes qui deux mois et demi après le lancement de webradio-bellissima atteignent déjà le nombre de 400. « C'est un succès inattendu », commente Michaël Dabat, un Figeacois de 21 ans qui concrétise enfin une passion.

« J'ai un parcours un peu particulier, fait-il remarquer. J'ai fait des études de cuisinier, puis différents petits boulots : d'agent de sécurité à plombier, etc. L'informatique, je l'ai appris sur le tas par envie ».

Et pourtant, la présentation et la fonctionnalité de webradio-bellissima sont dignes d'un webmaster. Mais, à vous d'en juger en vous connectant sur son site.

Contact : Michaël Dabat

Source : La dépeche.fr
Écrit par : Lae.B.

dimanche 24 février 2008

Musique_Créez votre label et produisez des artistes d’UniversalMusic avec BeProducer



Dans la famille” devenez producteurs de musique”, voici un nouveau venu: Beproducer, qui sera lancé officiellement dans quelques jours.

Ce site reprend un peu le principe, entre autres, de Spidart, MyMajorCompany, et plus récemment ProduceMyLive pour les concerts.

BeProducer vous propose de créer votre propre la bel et de promouvoir sur Internet des artistes qui vous plaisent. Mais le service possède un atout intéressant.

Frédéric Plais, un des dirigeants d’AF83, société derrière le site explique:

“Le principe est simple, il s’agit d’un jeu, permettant aux utilisateurs de devenir producteurs virtuels d’artistes connus et reconnus, tels que Just Jack, Juanes, Maroon 5, Hokus Pocus, Déportivo, Thomas Dutronc, Mary J Blige, Jay-Z… Au total, déjà près d’une cinquantaine d’artistes connus ! En faire la promotion, grâce à des outils de promo divers et variés (bannières, audio, vidéo…), et gagner jusqu’à 20 000 € grâce au succès des artistes qu’ils auront soutenus.”

Le système est donc un peu différent des autres sites existants puisque grâce au partenariat avec Universal, il est ici possible de promouvoir des albums existants et connus. “Tous les artistes proposés sont signés sur un Label prestigieux dans le monde réel et vont être ou sont déjà commercialisés en points de vente et sur Internet.”

Avec de la monnaie virtuelle (qui sera convertie en vrai argent) vous pouvez donc jouer au producteur et lancer une campagne de promotion partout sur le web via divers outils promotionnels. Les initiatives pour créer de nouveaux modèles continuent de se multiplier; à suivre de près.

Source : TechCrunch
Rédigé par Alain Eskenazi

Web_L’importance de la couleur



Si on veut s’assurer de ne pas faire d’erreur, on choisit le bleu. D’une année à l’autre, cette couleur est la préférée de tous.

Qu’ont en commun les site Internet Facebook, Myspace, Google et Youtube ? Une forte prédominance du bleu. Un hasard ? Certainement pas.

La couleur bleue arrive toujours en haut des sondages comme étant la favorite, peut importe le groupe d’âge ou le sexe des gens, y compris les adolescents. Les résultats d’une recherche de Cheskin Research et cyberteens.com démontrent que le bleu est toujours la couleur favorite des jeunes. Pour eux, elle représente le succès, la confiance, l’intelligence et ils trouvent même qu’elle est accueillante alors que le jaune représente pour eux le jeu, le vert, l’argent et le rouge, la vitesse ou la chaleur. Le noir arrive en dernier, bien qu’associé au higt-tech, cette couleur est aussi perçue comme compliqué et dépassé.

Selon différentes études, le sexe masculin préférerait le bleu vif, le sex féminin le bleu plus doux. Le violet est, quant à lui, particulièrement prisé des 18-29 ans, qui le trouvent sexy, et des adolescents. Ceux-ci affirment aimer également beaucoup l’orange et le vert. On ne se surprend donc pas de retrouver sur le marché une panoplie d’objets bleus, dans tous les domaines, même en alimentation.

On multiplie les saveurs aux bleuets ou bien, on propose simplement un produit bleu comme la slush à la framboise bleue ou de nouveaux M&M bleus (que plusieurs ont même trouvé meilleurs aux autres!). La couleur bleue est si importante que l’historien Michel Pastoureau, directeur d’études à l’École Pratique des Hautes Études à la Sorbonne, qui a écrit de nombreux livres sur l’influence des couleurs, lui a consacré un livre. Dans un article paru dans le cyberzine Pluie de sciences, il explique son importance. ”Les plus anciens sondages, datant du 19e siècle, rapportent que le bleu est la couleur préférée des Occidentaux. De 40 à 55% des répondants l’évoquent de préférence au vert, loin derrière (20%). Suivent le rouge, le blanc, le noir et le jaune. Mais c’est différent en Orient. Au Japon, par exemple, c’est le noir qui obtient la faveur populaire”. Qu’est-ce qui attire tant dans le bleu ? ”C’est une couleur consensuelle, docile, qui n’agresse personne, ajoute-t-il dans l’article. Même le mot est joli. Il a une consonace liquide. Vous noterez que, dans les librairies, d’innombrables livres pour la jeunesse portent le mot ‘bleu’ dans le titre : L’oiseau bleu, Un coin de ciel bleu, Le farfadet bleu, etc.”

Alors si on ne veut pas se tromper, on choisit le bleu!

Source : Blog du marketing jeunesse

Technologie_Le chevalet - meuble à télé



Vous trouvez que les meubles à TV sont d’une laideur constante ? Moi aussi. Mais heureusement il y a le TV easel, un chevalet transformé en meuble à télé :

Simple et efficace, j’adore. (via Swissmiss)

Source : Fred Cavazza.net

Affichage Numérique_Entrevue Minicom avec M. Barnaby Page de Screens.tv





M.Barnaby Page de Screens.tv qui est pour l'industrie une source de référence importante, est en entrevue avec Minicom.

Voir l'article complet ici (anglais)

Source Minicom Blog

samedi 23 février 2008

WebRadio_La webradio de la semaine : JaJaClub





JaJaClub ?
Euh… une station qui vante les bienfaits du pinard ? Vous n’y êtes pas du tout. Même si quelques bruitages intempestifs viennent parfois chatouiller les oreilles de l’auditeur, la seule chose qui coule de cette fréquence, c’est de la musique. Et de la bonne !

« C'était le temps d'avant, c'était 2007. On pouvait fumer jusqu'à plus soif dans les bars et les restos. [...] Maintenant on peut encore écouter de la musique, alors on écoute... » Et la musique est plutôt bonne sur la webradio JaJaClub. Lancée en 2005, elle offre une sélection musicale éclectique et quelques interviews d'artistes (SoCalled, Loïc Lantoine, Kingston Connexion...). Chaque trimestre, une quinzaine d'heures de contenus audio sont mis en ligne. Au menu, des mix soignés d'une dizaine de morceaux qui mêlent aussi parfois des dialogues de films et des bruitages.

Derrière cette initiative se cache une société de production, JaJaProd, responsable de courts métrages, clips et films publicitaires. Aurait-elle lancé le JaJaClub suite à une soirée trop arrosée ? Son créateur, François Le Nouëne, réfute l'hypothèse : « Notre station n'a pas de rapport direct avec le vin, mais plutôt avec la fête, l'amusement et la bonne humeur. »

Source : Télérama.fr
Écri par : Laurence Le Saux

WebRadio_Partenariat avec France Webradios



A compter du 5 février 2008, en partenariat avec France Webradios (Association Nationale des Webradios), TDF diffuse plusieurs webradios dans le cadre de ses expérimentations de radio numérique DMB (Digital Multimedia Broadcasting, l’équivalent de la TNT pour la radio). Celles-ci sont diffusées à la fois dans le multiplex bande III et le multiplex bande L, à Paris et en région parisienne, à partir du site de la tour Eiffel.

Ainsi, 12 web radios, habituellement diffusées sur Internet uniquement, se succéderont en alternance durant 3 semaines par tranche de 30 minutes sur un des canaux du multiplex. Parmis celles-ci, on trouvera DLV Radio Webradio, dont les programmes seront diffusés du 18 au 24 février 08. Toutes les webradios on été coventionnées par le CSA.

« Le passage de la radio au numérique ne peut se faire qu’avec l’apport de nouveaux contenus, comme cela a été fait pour la télévision avec la TNT » pense Sébastien PETIT, président de France Webradios. « Cette expérimentation est l’occasion de faire découvrir de nouveaux contenus aux auditeurs parisiens mais également de démontrer que les webradios ont une légitimité à changer de mode de diffusion ».

Lors de l’ouverture de l’appel à candidature par le CSA d’ici quelques mois, DLV Radio assure présenter 1 dossier pour l’obtention de fréquences DMB sur Bordeaux.

Le nouveau projet éditorial de la webradio prennant corp à partir de mi février 08 et qui sera évolutif dans les prochains mois. Nous allons enfin incorporer une voir deux webradios thématiques à DLV. Si nous sommes en cette nouvelle dynamique.

A partir d’aujourd’hui, nous devons trouver le financement pour assurer ce mode de diffusion en partant à la recherche de partenaires éventuelles... Nous invitons les gens interessés à nous contacter sur le projet webradio et du projet de diffusion de la DLV Radio sur le DMB à Bordeaux.

Nous sommes sur des dossiers en cour de développement avec France Webradios (régie publicitaire, subvention etc...).

A partir du mois de mars 08, on démarre une nouvelle grille de programmes et un site internet enfin terminé. Nous allons intégré un deuxième canal (ce que nous autorise la licence sacem et scpp..) : Il s'agit de la webradio "Fréquence Girondins" rejoint DLV.

De nouveaux partenaires nous rejoignent : Le Petit Futé pour des chroniques, Hesat Radio, Bordeaux Chanson rentrent en actions dans les prochains jours;

Source : Radio-Music.org

vendredi 22 février 2008

Webradio_La radio du voyage : 707 495 !



Janvier a été le meilleur des mois depuis la naissance de la Radio du Voyage : elle enregistre 707 495 auditeurs sur 31 jours avec des pointes d'écoute très fortes, en semaine, le mardi et le jeudi. La durée d'écoute moyenne dépasse les 56 minutes. Un record pour une radio ultra thématique.

Avec une nouvelle accroche : "vos oreilles n'en croiront pas leurs yeux" et un partenariat soutenu avec la radio touristique du Québec, la Radio du Voyage confirme sa place de leader dans l'univers des webradios de contenus. Animée par la rédaction de Vacances Pratiques, Vacances de Luxe, Ethisme.com et Voyage et Business, la radio produit environ 3 heures d'émissions hebdomadaires.

Au menu de ses programmes : les chroniques du Québec (produites par la Radio Touristique), Nuances du Brésil ou des reportages réalisés au bout du monde comme au coin de la rue.

Divers accords de partenariat avec les services francophones de grandes radios internationales devraient être annoncés d'ici la fin juin prochain. A noter que la Radio du Voyage déposera un dossier pour l'obtention d'une fréquence numérique sur la région parisienne et participera à l'expérimentation Wimax sur Paris.

Enfin, la mise en vente sur le site de la Radio du Voyage de postes de radio spécialement conçus pour écouter les webradios débutera fin mars. Selon l'International Broadcasting Association, ce type de matériel de reception connaîtra une explosition des ventes dès la fin 2008.

Source : VacancesPratiques.net

Web_Un poste de radio dans votre page iGoogle




iGoogle, la page personnalisable de Google, vous offre un très grand nombre de modules développés par des personnes ou des sociétés peu connues du grand public. Météo, horoscope, lecteur de flux RSS... ces gadgets gratuits retiennent parfois notre attention, surtout quand ils sont très pratiques. Cette fois-ci, nous vous proposons d'ajouter à votre iGoogle un poste de radio pour écouter simplement votre musique sur votre page personnelle...

Un poste de radio dans votre page iGoogle

Pas d'installation de logiciel ou de réglages à n'en plus finir, vous avez simplement à cliquer sur ce lien et cliquer sur le bouton bleu Ajouter à Google.

Vous ne pouvez accéder à ce type de gadgets que si vous disposez d'un compte Google (ou adresse Gmail) et d'une page personnalisée iGoogle active.

Tout cela est gratuit bien évidemment, Google oblige.

Ce module fonctionne très bien. Vous n'avez simplement qu'à cliquer sur l'un des 5 boutons beiges en bas du poste de radio pour écouter votre station préférée (Europe 2, Radio NRJ, France Inter, Hot Mix Radio ou Oui FM).

Source : Mémoclic.com

Web_Combien d'étapes pour quitter Facebook?




Ces dernières semaines, le site américain de réseautage social a été critiqué pour avoir rendu la vie difficile aux utilisateurs qui veulent quitter le site.

Des articles dans les médias ont porté sur la question. Un Québécois a également fait un tabac avec un billet sur son blogue intitulé «2504 étapes pour fermer son compte Facebook».

Le Montréalais Steven Mansour y expliquait toutes les étapes qu'il avait dû accomplir pour réussir à faire disparaître ses informations personnelles du site.

Après avoir désactivé son profil comme Facebook le recommande, il a continué à recevoir des courriels l'avisant des activités de ses «amis».

Après plusieurs échanges de courriels avec Facebook, il a finalement réussi à effacer toute trace de sa présence sur ce site.

«En tout, ça m'a pris un mois et demi pour fermer mon compte», dit-il, affirmant avoir été agacé par le fait que Facebook ne voulait pas le laisser partir.

La semaine dernière, Facebook a annoncé qu'il allait faciliter la marche à suivre pour les utilisateurs qui veulent quitter son site.

En plus d'avoir ajouté un mode d'emploi qui explique les étapes pour effacer ses informations, Facebook met maintenant à la disposition de ses membres un formulaire qu'ils doivent remplir pour se désabonner.

Une mesure qui ne satisfait pas le blogueur montréalais, qui trouve que l'entreprise américaine aurait dû en faire plus.

«Pourquoi ne peut-on pas fermer son compte simplement en appuyant sur un bouton?», demande-t-il.

Steven Mansour précise qu'il n'est pas en guerre contre Facebook, mais que ce sont les pratiques de l'entreprise qui le dérangent.

«S'ils ne nous permettent pas facilement de partir, ça doit être qu'ils font beaucoup d'argent avec nos informations», dit-il.

Ce blogueur fait une distinction claire entre les informations qu'il met sur son blogue et celles qu'il avait inscrites à son profil Facebook.

«Facebook a une façon très structurée de recueillir de l'information, avec laquelle il est facile de générer un profil psychologique. Je ne crois pas que quelqu'un se donnerait la peine de lire mon blogue pour faire de même», dit Steven Mansour, qui affirme qu'il se garde bien d'y écrire trop de détails sur sa vie personnelle.

À lire aussi:

Facebook: quelques courriels et puis s'en va

Source : Cyberpresse

Écrit par : Marie-Eve Morasse

WebRadio_Une nouvelle webradio RTBF est née.



Depuis ce 21 février, l’éventail des webradios de la RTBF s’enrichit d’une chaîne supplémentaire avec le lancement de la webradio « Mon Expo 58 ».

Cette nouvelle webradio
a pour vocation de plonger l’auditeur dans l’atmosphère musicale et radiophonique des années 50, par une programmation musicale d’époque ponctuée toutes les demi-heures de séquences d’archives. La webradio « Mon Expo 58 » est ainsi une des premières à proposer du contenu autre que seulement musical en Belgique francophone.

Un trésor d’archives radiophoniques se dévoile : il s’agit plus précisément d’une série rare de séquences radios réalisées à l’époque par l’INR, l’aïeule de la RTBF. Témoignages inédits des visiteurs et des organisateurs, émissions, flashes info, l’auditeur saura tout de l’Expo 58 comme s’il y était. Parmi ces joyaux, maintes découvertes dont l’ancêtre du radio guidage.

Dès le 17 avril, date du début des festivités organisées dans le cadre de « Bruxelles Bonheur », la webradio « Mon Expo 58 » proposera un contenu encore plus enrichi d’archives exceptionnelles et d’une programmation musicale étoffée.

On peut écouter la webradio via le site www.rtbf.be (ou www.rtbf.be/webradio). A partir du 17 avril, la webradio « Mon Expo 58 » sera également accessible au départ du site www.monexpo58.be dédié à cet anniversaire.

Source : Tuner.be
Écrit par : Fabrice Staal

Media_ Canada, Québec, Un prix international pour Les Affaires





Le journal Les Affaires
vient de remporter un prix de design international pour sa nouvelle mouture, lancée en septembre dernier.

L'hebdomadaire est en effet l'un des six journaux dans le monde à obtenir un prix de la Society for News Design (SND) pour la qualité de sa refonte. La SND avait reçu cette année 14 000 dossiers de candidature, provenant de 343 pays.

Le processus de refonte, qui s'est échelonné sur six mois, s'est notamment effectué sur la base de groupes de discussion et d'une analyse de Crop quant à l'évolution des valeurs des gens d'affaires. En plus d'offrir une maquette rajeunie, le journal s'était notamment donné pour objectif d'élargir le type des sujets traités et d'offrir plus de perspectives.

Les Affaires s'était aussi adjoint les services de Jeff Mignon, président de 5W Mignon-Media et spécialiste réputé mondialement du journalisme visuel et de la stratégie de contenu des médias imprimés.

"Cela prouve qu'il est payant pour une entreprise d'ici d'élaborer des produits avec l'objectif d'atteindre un échelon international et d'y mettre l'énergie ainsi que les moyens financiers nécessaires, dans la mesure, bien sûr, où le marché le justifie", dit Stéphane Lavallée, éditeur de Les Affaires, propriété de Médias Transcontinental.

Les Affaires est tiré à 82 000 exemplaires (selon ABC, décembre 2007).

Les autres journaux primés pour une refonte complète sont le National Post de Toronto, The Independent, de Londres, le South Chinan Morning Post, de Hong Kong, Publico du Portugal et le Virginian-Pilot, des États-Unis.

Source : InfoPresse
par Sophie Lachapelle, Infopresse

Affichage Numérique_La miniBox HD700-S Solo Edition présentée chez AGNPRO



A l'occasion du Digital Signage Expo qui se déroulera à Las Vegas du 27 au 28 février prochain, le groupe AGN professional alias AGNPRO, présentera de façon officielle une véritable box mediaplayer haute définition.

L'appareil est baptisé miniBox HD700-S-Solo Edition. Il permet d'assurer à un coût abordable une lecture complète de différents formats haute définition. L'appareil se veut en outre compatible avec les formats vidéo MPEG 1/2/4, WMV9, H.264.

Il est par ailleurs compatible avec les résolutions 720p et 1080p. La box profite aussi d'une connectique véritablement complète disposant à ce titre d'une sortie HDMI, DVI, VGA et component.

Notons également la présence d'une connectivité Ethernet, USB et RS-232.

Source : HD Numérique.com

jeudi 21 février 2008

WebRadio_RKST.org, la radio où l’on veut, quand on veut et créer ses propres programmes...



RKST.org, la radio où l’on veut, quand on veut
Cette Web radio permet aussi de créer ses propres programmes...

Jusqu’ici, les Web radios ressemblaient à des radios… en ligne. Sans toujours exploiter les possibilités de personnalisation et d’interactivité du Web. Une nouvelle génération de Web radios semble toutefois émerger, allant au-delà de la simple agrégation de titres. C’est le cas notamment de RKST.org (prononcer Aircast), un site permettant de composer ses play lists parmi un catalogue de 500.000 titres, de les exporter sur son site, mais aussi d’enregistrer et de mettre en ligne ses compositions et ses émissions. Pour les plus avertis, il est aussi possible d’enregistrer en studio.

RKST.org a passé des accords avec plusieurs maisons de disques (notamment Sony et Universal) et s’est déclaré à la Sacem. « Notre modèle économique ne fait pas peur aux ayants droit, affirme Tanguy Aubrée, responsable marketing de la société, car nous évoluons dans un univers radiophonique. De plus, nous accompagnons les artistes dans leur promotion. Notre travail ne s’arrête pas une fois le morceau mis en ligne. »

Concerts dans des trains

Exemple original de promotion des artistes : le partenariat passé avec idTGV. RKST.org organisera ainsi régulièrement des sessions d’artistes à l’intérieur des trains. Premier groupe à s’y coller : Hokus Pokus, qui jouera le 10 mars prochain dans un train Aix-en-Provence-Paris. Devraient suivre, par la suite : R One, Laurent Voulzy ou encore Mickey Green. Le partenariat avec idTGV permettra également aux passagers d’écouter la radio en Wi-Fi.

Le site se finance uniquement par la publicité. « Mais nous préférons de la publicité ciblée, ajoute Tanguy Aubrée. Si quelqu’un a une play list reggae, nous pouvons lui diffuser une pub pour un concert de reggae. Ce n’est pas de la pub intrusive. »

Objectif

RKST.org est utilisé aujourd’hui par près de 2.000 internautes par jour. L’objectif est d’atteindre un million d’auditeurs par mois en septembre.

Source : Metrofrance.com
Écrit par : Nicolas Rauline

Affichage Numérique_Le dernier mot de Nokia!

Tel que vu sur le blogue de Marketing Interactif, voici une très belle illustration de l’une des dernières innovations en matière d’affichage numérique : le billboard tactile.

Réalisé pour la promo du nouveau Nokia N81 à Londres.

Source : Expresso Interactif Blog

Technologie_ Attention, ce logiciel lit dans vos yeux!




Emotion Tool permet de sonder nos réactions émotionnelles face à une affiche publicitaire en mesurant nos pupilles! Impressionnant mais aussi...

Un tantinet déroutant! A mi-chemin entre Minority Report et Total Recall, la société danoise iMotions en partenariat avec les écossais de User Vision vient d'inventer la première technologie au monde afin d'évaluer les émotions d'un consommateur. A coup sûr une innovation technologique de haut vol, porteuse d'un véritable changement dans les politiques de communication de demain.

Alors comment ça marche? Le système du «eye tracking» n'est pas une nouveauté puisqu'il est déjà utilisé en Europe et aux USA. Il suit le regard, analyse le mouvement des yeux et permet de jauger l'intérêt porté aux images vues.
L'Emotion Tool va plus loin et propose de prendre en compte les sensations ressenties par le visionneur! Basée sur la science cognitive et neurologique, E-T analyse la dilatation des pupilles, les mouvements des paupières ainsi que l'endroit où se posent en majorité les yeux sur la publicité...

Les données captées par un eye tracking de la société écossaise sont transmises à Emotion Tool qui retranscrit les sensations ressenties après visionnage. Par exemple pour connaître l'intérêt d'une affiche publicitaire auprès des consommateurs, il suffit de solliciter Emotion qui devient par la même occasion une sorte d'audimat-sensoriel pour professionnels. La peur, l'excitation ou l'envie peuvent être analysées grâce aux pupilles et servir de repères pour les prochaines campagnes! On imagine déjà l'enthousiasme des marketers qui verront en cet outil, un instrument parfait et l'une des meilleures solutions pour comprendre le consommateur. Les émotions sont notées sur un barème allant de 1 à 10. La note 5 est déjà considérée comme positive pour les clients et les annonceurs faisant appel au logiciel. Au Danemark, Emotion a été utilisé pour une publicité avec le footballeur danois Thomas Gravesen et les résultats obtenus sont édifiants! A en croire le software, l'impact de la publicité auprès des téléspectateurs a été médiocre car les vibrations envers le joueur sont négatives. Une partie des Danois lui reproche d'avoir refusé de jouer avec la sélection nationale. Emotion est une solution des plus efficaces pour éviter de re-signer une égérie impopulaire ou «has been».

Une invention étonnante et quelque peu déroutante. La performance et l'ingéniosité ne sont pas à remettre en cause mais si nous sommes capables d'extraire des informations de nos esprits à des fins commerciales, est-il possible d'inverser le processus? Allez, continuons à faire confiance à notre prochain...

Source : Influencia
Écrit par Clouzard Gael