RadioSouvenirsFM

RadioSouvenirsFM

samedi 30 août 2008

Affichage Numérique_Etats-Unis : Arbitron étudie l´impact d´Health Media Network




Arbitron vient de publier une étude d´impact du réseau d´affichage dynamique Health Media Network auprès des patients et employés de trois hôpitaux de New York.

Le groupe y opère à la fois des supports d´affichage statique (posters) et dynamique (écrans 42″ dans les salles d´attente et de soin).

Les points saillants de l´étude sont :

- 60% des individus présents dans les trois hôpitaux ont remarqué les posters, les écrans de télévision ou les deux.

- 55% ont remarqué les écrans de télévision, 45% les posters.

- les patients ont passé 3 heures et 20 minutes en moyenne exposés aux médias (poster+TV).

- 86% d´entre eux se souviennent d´au moins une publicité affichée ou diffusée.

- les patients, qui ont prêté attention aux écrans de télévision, ont passé 1 heure et 8 minutes en moyenne à les regarder.

- 60% d´entre eux ont pu se souvenir d´au moins deux publicités, 31% d´au moins trois.

- 67% des personnes interrogées ont trouvé les contenus des posters informatifs, contre 54% pour les programmes du réseau d´affichage dynamique

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_Royaume-Uni : Neo prend le contrôle d´Avanti et a désormais accès à près de 100 000 écrans




Nous avions relaté lundi dernier l´entrée de Neo Media Group au capital d´Avanti Screenmedia. Il semble que, par cette opération, le groupe suisse ait pris le contrôle du britannique, rapporte Adrian Cotterill.

Neo a donc, à présent, accès à près de 100 000 écrans à travers ses différents réseaux européens et canadiens (bien aidé, il est vrai, par le réseau Setanta d´Avanti comptant près de 70 000 unités).

Une base qui devrait encore s´agrandir avec les entrées prévues aux Etats-Unis et en Chine.

Source : OOH-TV

Media_Bloomberg annonce la mort de Steve Jobs... puis se rétracte




L'agence de presse Bloomberg a publié par inadvertance une dépêche annonçant la mort du PDG et cofondateur d'Apple, Steve Jobs.

C'est en voulant mettre à jour la nécrologie de Steve Jobs que Bloomberg l'a par erreur envoyée sur son fil de presse.

Elle était naturellement incomplète, la cause de la mort de Steve Jobs n'étant pas indiqué, ni l'âge qu'il avait au moment du présumé décès.

Elle était précédée de personnes à contacter pour obtenir des témoignages. Le fondateur de Microsoft, Bill Gates, en faisait partie, tout comme Paul Otellini, PDG d'Intel.

Les médias ont tous en banque ce qu'il est convenu d'appeler des «viandes froides», soit des nécrologies de personnalités importantes prêtes à être publiées si une personne meurt.

Celle de Bloomberg sur Steve Jobs rappelait notamment que l'homme a «conquis l'industrie de la musique en ligne avec l'iPod, rendant les écouteurs blancs à la mode».

Rappelons que la santé de Steve Jobs a récemment fait les manchettes, après qu'il soit apparu amaigri lors d'une conférence donnée au début du mois de juin. Le patron d'Apple a été traité pour un cancer du pancréas il y a quatre ans.

Bloomberg a rapidement retiré la dépêche, puis s'est rétracté, affirmant que le texte n'aurait jamais dû être publié. Certains sites internet, dont le site Gawker, en ont toutefois publié une copie.

Source : La Presse Affaires Marie-Eve Morasse

Technologie_Sonos expose sa gamme de lecteurs sans fil




Sonos exposait à l'IFA la gamme de lecteurs musicaux sans fil qu'il avait déjà dévoilé il y a quelques temps. Cette dernière s'articule autour de trois dispositifs principaux, l'ensemble permet d'écouter de la musique dans une ou plusieurs pièces de son habitation, et ce depuis un ordinateur connecté au réseau local (l'utilisation d'un logiciel propriétaire n'est pas nécessaire), depuis un NAS ou encore depuis une webradio.

Controller
Ce dispositif est le centre névralgique du système. Il ressemble à un iPod, tant en terme d'apparence extérieure que d'interface utilisateur. Il dispose ainsi d'un écran couleur, d'une molette tactile et d'un nombre réduit de boutons, clairement identifiés, qui ont pour but d'en simplifier l'utilisation. On navigue depuis cette interface dans sa bibliothèque locale ou sur les services en ligne, et on peut choisir le morceau à écouter à partir d'une liste ou en effectuant une recherche à l'aide d'un index alphabétique ou d'un clavier virtuel, et ce par artiste, album, titre, genre, etc. Une fois le morceau choisi, on peut décider d'en lancer la lecture immédiatement, de l'ajouter à une liste de lecture ou de le mettre en attente. Le contrôleur permet également de choisir vers quelle(s) zone(s) la musique est jouée, il est en effet possible de diffuser vers plusieurs zones (le système en supporte 32 au total) et ce de façon parfaitement synchronisée d'après le fabricant, ou encore de jouer des morceaux différents dans chacune des zones.

Controller du Sonos à l IFA


ZonePlayer 90 et 120
La musique est diffusée depuis l'un de ces deux dispositifs. Tout deux peuvent être reliés à un amplificateur externe au travers de leurs sorties analogique ou numérique, le 120 quant à lui dispose d'un amplificateur intégré 2 x 55 watts auquel on peut brancher directement des enceintes passives. L'un d'entre eux doit être relié au réseau local et à Internet par le biais d'un câble réseau. Le reste de l'installation accède au réseau grâce à celui-ci, mais chacun des ZonePlayer est à la fois récepteur et émetteur, ainsi il n'est pas indispensable que tous les lecteurs soient à portée du premier, tant que l'un d'entre eux est capable de faire le relai. L'installation peut démarrer ou être étendue à l'aide d'un ZoneBridge, qui se charge de répéter le signal au sein du réseau méché SonosNet.

Gamme Sonos à l IFA

Sonos propose une solution à mi-chemin entre les SqueezeBox de Logitech et des systèmes bien plus onéreux de marques comme Bang&Olufsen. Quitte à proposer un système multi-zone, à priori destiné à de vastes habitations, il aurait été appréciable de pouvoir utiliser le réseau méché mis en place avec d'autres équipements WiFi, d'autant qu'avec ses nouvelles versions, en plus de réduire la taille des ZonePlayer et d'améliorer leur dissipation thermique, Sonos a intégré le WiFi 802.11n. Il est néanmoins possible de relier un équipement réseau, comme un point d'accès ou un ordinateur, à n'importe lequel des dispositifs par câble RJ45. Le fabricant propose un ensemble BU150, composé d'un ZonePlayer 90, d'un ZonePlayer 120 et d'un Controller au prix conseillé de 1 000 euros. Il est possible de se procurer chacun des dispositifs à l'unité, le Controller pour un prix public conseillé de 400 euros, le ZonePlayer 90 pour 350 euros, le ZonePlayer 120 pour 500 euros et le ZoneBridge pour 100 euros.

Retrouvez toute l'actualité de l'IFA 2008 dans notre zone dédiée.

Source : Clubic.com
Publiée par Romain

Technologie_PlayTV apporte la TV numérique gratuite à la Playstation 3



PlayTV apporte la TV numérique gratuite à la Playstation 3

Regardez et enregistrez des programmes TV à volonté Transformez votre PS3 en tuner TV et enregistreur vidéo pour regarder vos programmes quand vous voulez


A l'occasion du salon Games Convention, Sony Computer Entertainment Europe a annoncé aujourd'hui le lancement de PlayTV, le logiciel qui va transformer la Playstation 3 (PS3) en enregistreur numérique personnel (PVR).

PlayTV
sera distribué au R.U, en France, en Italie, en Allemagne et en Espagne début 2008, puis peu à peu sur les autres territoires PAL.
PlayTV permet de regarder, stopper et enregistrer les programmes TV d'un large éventail de chaînes gratuites et positionne la PS3 au cœur même des salons et des besoins familiaux de loisir. Enregistrez un programme pendant que vous en regardez un autre, programmer l'enregistrement d'une série complète en une seule commande ou regardez vos programmes en déplacement grâce à la lecture à distance de votre PSP (Playstation Portable)… PlayTV permet tout cela le plus simplement du monde.
« Le lancement de PlayTV constituera une nouvelle extension aux prestations de loisir déjà nombreuses qu'offre la PS3 et présente un attrait exceptionnel pour toute la famille à l'occasion de noël », souligne David Reeves, Président de Sony Computer Entertainment Europe. « PS3 permet déjà le jeu en haute définition, le visionnage de films Blu-ray, de vidéos et d'albums photo, l'écoute de musique, la navigation web et l'accès au réseau Playstation . Avec PlayTV, une offre de pointe pour visionner et enregistrer la télévision, la PS3 devient vraiment le meilleur choix pour l'équipement des salons, véritable hub pour les loisirs de toute la famille ».

PlayTV permet toute la panoplie de fonctionnalités que vous ne trouviez que dans les plus couteux des enregistreurs numériques :
Deux tuners TV HD-ready : Capables tous deux de visionner, enregistrer et lire les programmes TV en haute définition ou non.

Un guide de programme électronique2 : incroyablement facile à utiliser avec son interface couvrant sept jours, il permet la navigation dans les programmes pour l'enregistrement via PlayTV – rapide et simple à manipuler, aussi bien à l'aide de la manette sans fil SIXAXIS de la PS3 qu'avec la télécommande du lecteur Blu-ray.

Compatibilité TNT : PlayTV fonctionne avec l'offre actuelle au format télévision numérique terrestre (TNT).

Facilité d'utilisation : des commandes intuitives, un bouton d'aide unique, des tutoriaux en vidéo et une navigation simple dans les menus font de PlayTV un véritable jouet en comparaison de la complexité qui caractérise les enregistreurs classiques.

L'affichage optionnel d'une incrustation graphique offre des informations riches sur l'état de PlayTV et fourni un accès rapide aux informations sur les programmes en cours ou enregistrés et permet de commander les pauses et les enregistrements en direct.

PlayTV servira aussi d'interface pour les réglages de l'affichage, aussi bien en haute définition qu'en définition standard, pour une qualité de visionnage optimale.

De la TV portable grâce à la PSP : La connectivité continue de la PSP vous permettra de programmer les enregistrements mais aussi de visionner à distance des programmes TV en direct ou enregistrés sur votre PSP via une connexion WiFi (en utilisant les fonctionnalités de lecture à distance). Vous pourrez aussi bien sûr transférer les fichiers vidéo sur votre PSP par câble USB.

Une évolutivité garantie : PlayTV évoluera avec le temps avec l'installation possible de nouvelles fonctionnalités et de mises à jour via le réseau Playstation Network.

Playstation 3 était déjà bien plus qu'une console de jeu et elle devient maintenant, en plus, un tuner TV ! PlayTV est une raison supplémentaire pour placer la PS3 au cœur de votre salon.

Source : AFJV.com

vendredi 29 août 2008

Affichage Numérique_Norvège : Urban Média sélectionne signagelive




Urban Media, qui opérerait des réseaux de digital signage dans les bus, taxis, ferrys et autres locations de plus de 20 villes de Norvège, a choisi la solution signagelive de Remote Media.

100 players signagelive seront installés dans les prochaines semaines, qui seront contrôlés via un réseau mobile GPRS/3G.

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_Royaume-Uni : Neo prend le contrôle d´Avanti et a désormais accès à près de 100 000 écrans




Nous avions relaté lundi dernier l´entrée de Neo Media Group au capital d´Avanti Screenmedia. Il semble que, par cette opération, le groupe suisse ait pris le contrôle du britannique, rapporte Adrian Cotterill.

Neo a donc, à présent, accès à près de 100 000 écrans à travers ses différents réseaux européens et canadiens (bien aidé, il est vrai, par le réseau Setanta d´Avanti comptant près de 70 000 unités).

Une base qui devrait encore s´agrandir avec les entrées prévues aux Etats-Unis et en Chine.

Source : OOH-TV

Technologie_Le «texto» n'est pas une menace



Le français n'a rien à craindre du langage «texto», souvent utilisé par les ados pour clavarder.

C'est du moins l'avis du président du Conseil supérieur de la langue française, Conrad Ouellon. S'inscrivant contre les discours alarmistes, il affirme que cette nouvelle façon de s'exprimer au clavier représente plutôt «un signe de vitalité et d'adaptabilité de la langue».

Les parents sont souvent horrifiés lorsqu'ils jettent un coup d'oeil sur l'écran d'ordinateur de leurs enfants.

Une phrase comme «qu'est-ce que tu fais ?» peut par exemple devenir «kess tu fè?», en pleine séance de clavardage. Même principe lorsqu'il s'agit d'envoyer des messages texte (SMS) à partir d'un téléphone cellulaire.

Mais contrairement à ce qu'on pourrait penser, cette façon d'écrire ne nuit pas nécessairement à la maîtrise de la langue. Au contraire, affirme M. Ouellon.

«Les jeunes ont des ordinateurs, ils aiment produire du texte n'importe comment, alors laissons-les aller. Ils sont peut-être plus fins qu'on pense. Quand je prononce une conférence, je n'utilise pas le même niveau de langage que lorsque je vais à la pêche avec mes amis. De la même façon, les jeunes n'utiliseront pas le texto lorsqu'ils devront écrire de façon formelle» a-t-il affirmé hier au Soleil, en marge d'une conférence prononcée pour clôturer le congrès de la Fédération internationale des professeurs de français, qui s'est déroulé cette semaine à Québec.

Conrad Ouellon refuse donc de voir dans le clavardage une menace. Il va même plus loin en minimisant l'importance d'écrire sans faute.

«Il ne faut pas faire un drame avec ça (le langage texto), comme il ne faut pas faire un drame avec la faute. Qu'est-ce qui est le plus important, savoir bien structurer un texte ou de ne pas faire de fautes? Je préfère quelqu'un qui sait comment organiser sa réflexion. S'il a des fautes, ça se corrige. Il y a des outils qui peuvent t'aider.»

Le président du Conseil supérieur de la langue française considère par ailleurs que les outils informatiques ne sont pas toujours utilisés comme il se doit dans les salles de classe.

«À l'école, il va falloir accepter la présence de l'informatique et de ses produits dérivés. Je ne suis pas sûr qu'on utilise ça à bon escient. Les correcteurs d'orthographe, ça fait partie des outils d'écriture. Il y a quelque chose d'insensé à laisser des enfants jouer avec un ordinateur à longueur de semaine, alors qu'on leur fait passer un examen avec un crayon et un papier, enfermés dans une salle pendant deux heures. Il n'y a plus personne qui fait ça dans la vie.»

Selon M. Ouellon, plusieurs enseignants ne maîtrisent pas l'informatique, ce qui peut expliquer bien des réticences.

«C'est peut-être là la source du problème. Les gens qui enseignent et développent des programmes de français ne maîtrisent pas la technique que les enfants maîtrisent. C'est peut-être la première fois dans l'histoire de l'humanité que ça arrive. Je pense qu'il y a là un réflexe de protection qui m'agace.»

Selon une étude du Réseau Éducation-Médias réalisée en 2005, 94 % des jeunes de 9 à 17 ans ont accès à Internet à la maison. En cinquième secondaire, un jeune sur deux possède son propre ordinateur.

Source : La Presse Affaires Par :Daphné Dion-Viens

Media_Michel Vastel n'est plus!



Le journaliste Michel Vastel est mort d'un cancer, jeudi, à l'âge de 68 ans. Il laisse dans le deuil sa femme et ses trois enfants.

Vastel,
comme on l'appelait, aura occupé à peu près toutes les tribunes journalistiques du Québec.

Ce Français, arrivé à Montréal en 1970, a d'abord été journaliste au Devoir, puis à La Presse, au Soleil et au Droit. Il a aussi collaboré au Journal de Montréal, au magazine L'Actualité, où il avait aussi un blogue, à CKAC et à Radio-Canada.

Depuis le temps que vous attendiez que je prenne ma retraite. Voilà. On y est. Je rentre dans mes terres, cultiver mes vignes... Vous me manquerez un peu. Mais pas trop. Vous étiez bien indisciplinés parfois. Heureusement c'est Chantal Hébert qui me remplace. Je la connais depuis des années Chantal et je suis très fier que ce soit elle qui reprenne cet espace. Elle a toute la poigne qu'il faut pour vous obliger à voir plus loin que le bout de vos idées toutes faites. Allez. Je vous dis au revoir. On a tout de même fait du bon boulot ensemble! À partir du 2 septembre, c'est chez Chantal que ça va se passer.

— Dernier message posté sur le blogue de Michel Vastel, à 5 h 36, jeudi matin

Michel Vastel est né le 20 mai 1940, à Saint-Pierre-de-Cormeilles, en Normandie. Ses études ont été interrompues par le service militaire obligatoire, car il a dû participer à la guerre d'Algérie.

Il fait ses débuts journalistiques au Nord Éclair, à Tourcoing, à la section des faits divers. C'est par l'entremise des échanges franco-québécois, en 1969, qu'il est d'abord venu à Montréal. Il garde sa nationalité française, mais s'installe en permanence au Québec en 1970, l'année même de la crise d'octobre. Il travaille durant presque trois ans au ministère des Transports du Québec.

Puis il entre au journal Les Affaires, pour ensuite être embauché au Devoir en 1976, alors que Claude Ryan dirige le quotidien de la rue Saint-Sacrement.

Il devient correspondant parlementaire à Ottawa pour Le Devoir jusqu'en 1989, et change ensuite de journal pour devenir correspondant parlementaire pour La Presse, puis directeur du bureau d'Ottawa pour Le Soleil de Québec, Le Droit d'Ottawa, et Le Quotidien de Chicoutimi. Il est aussi collaborateur régulier au magazine L'Actualité depuis 1977. Il sera en poste à Ottawa pendant 17 ans, avant de s'installer à Montréal en 1995.

Affecté au bureau de Montréal du journal Le Soleil, il poursuit sa chronique sur la politique du pays, portant une attention particulière à l'actualité politique des capitales provinciales du Canada anglais.

Parallèlement à ses activités journalistiques, il est aussi auteur. Il publie en 1987 Le Neveu, un livre sur la mafia, puis successivement Trudeau le Québécois, Bourassa, Lucien Bouchard: en attendant la suite, et Landry le grand dérangeant.

En 2005, il fait une incursion dans le milieu artistique en publiant l'histoire de Nathalie Simard, victime d'abus sexuels pendant sa jeune carrière.

Jusqu'à la fin, Vastel sera demeuré journaliste, mais surtout un chroniqueur vif et provocateur. « Le rôle d'un chroniqueur, c'est de faire réagir les gens, exprimer les opinions, déclencher des réactions », a-t-il dit au journal L'Édition.

Source : RadioCanada.ca

Technologie_Adobe dévoile Lightroom 2




En bêta depuis avril, le logiciel de tri et de traitement d'images d'Adobe est désormais disponible en version finale.

L'éditeur Adobe lance officiellement la version 2 de Photoshop Lightroom, dévoilé en bêta en avril dernier. Un logiciel destiné aux photographes qui veulent trier et traiter rapidement une masse d’images numériques. Il s'agit de la première application de l'éditeur à supporter le 64 bit pour Mac OS X 10.5. Selon Tom Hogarty chef de produit Lightroom chez Adobe, la bêta a été téléchargée 130.000 fois depuis le printemps.

En plus des nouveautés (support du double écran, visualisation d'images sur plusieurs disques, amélioration des fonctions de tri, retouches sélectives, suggestion de mots clefs, intégration plus étroite à Photoshop), Lightroom arrive avec des profils - et un outil de création desdits profils - permettant un affichage plus réaliste des images au format RAW en fonction de l'appareil utilisé. 190 modèles d'appareils sont supportés et le plug-in de création de profils est fourni avec Lightroom 2.

Ce logiciel concurrent du Aperture d'Apple coûte environ 300 euros (120 pour une mise à jour). Contre 300 et 100 dollars aux Etats-Unis. Encore un éditeur américain qui a oublié de répercuter la dépréciation du dollar sur ses consommateurs européens !

Source : PCWorld.fr
Par : Reynald FLECHAUX

jeudi 28 août 2008

Affichage Numérique_ Japon : Du e-paper comme support de digital signage dans le métro de Tokyo




Bridgestone Corp
et The Mainichi Newspapers Co Ltd testent actuellement, dans le métro de Tokyo, des installations d´affichage dynamique, reposant sur une technologie d´e-paper, rapporte TechOn.

Deux dispositifs, intégrant un écran d´e-paper couleur format A3, un écran monochrome, un PC compact et un terminal mobile, ont été disposés dans deux stations.

Ils reprennent les informations du titre de presse (actualisées via un réseau mobile) et de la publicité.

Les expérimentations seront menées jusqu´à la fin du mois de mars 2009.

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_Etats-Unis : The Sports Retail Networks lève des fonds et lance le déploiement à grande échelle de The Golf Network




The Sports Retail Networks
annonce avoir bouclé un premier tour de table mené par Red Eagle Ventures.

La somme levée servira au développement du réseau The Golf Network qui sera déployé sur 100 magasins ces deux prochains mois. Le groupe souhaite atteindre 400 sites début 2009 et 1000 sites en 2010.

L´offre, qui intègre des fonctionnalités RFID et SMS permettant l´interaction avec les écrans installés, est actuellement testée au sein de boutiques Dunham’s Sporting Goods, Golf Etc., Golf USA, Pro Golf, ParMasters.

Source : OOH-TV

Media_Canada, Québec, Les stations CHRL la Radio du Lac St-Jean et CHVD Émotion Rock deviennent Planète 99,5 et Planète 100,3




Les stations jeannoises CHRL la Radio du Lac St-Jean et CHVD Émotion Rock FM porteront les noms de Planète 99,5 et Planète 100,3, en plus d’arborer de nouvelles couleurs ainsi qu’un nouveau logo.

« Le nom Planète donne un prestige à nos stations et il soutient leur statut de chefs de file dans leurs marchés respectifs pour ce qui est de la proximité avec l’auditoire et le milieu », explique Marc-André Lévesque, président et chef de l’exploitation de RNC MEDIA au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Le dirigeant ajoute que le nom Planète évoque l’univers personnel de chaque auditeur, « d’autant plus que Planète 99,5 et Planète 100,3 proposent un contenu qui demeure à 100% local ». Planète, c’est un monde, une bulle à soi où l’on aime être pour entendre le style musical qui nous convient. Cela se reflète d’ailleurs parfaitement dans la signature des stations, « Mon univers musical ».

Ce virage s’inscrit dans une stratégie déployée par RNC MEDIA, propriétaire de Planète 99,5 et Planète 100,3, qui lance le 1er septembre la famille Planète Radio, regroupant sept stations réparties sur le territoire québécois.

À l’occasion de la naissance de Planète Radio, la nouvelle adresse PlaneteRadio.ca regroupera les sites Internet des sept stations membres de la famille, dont Planète 99,5 et Planète 100,3. Les internautes pourront donc écouter en intégralité la programmation en profitant d’une qualité sonore exceptionnelle, qui fera la joie des amateurs de musique. De plus, ils pourront y entrer en contact avec les animateurs et autres artisans.

RNC MEDIA est une entreprise de radiodiffusion présente à Montréal, Québec, en Outaouais, en Abitibi-Témiscamingue, au Saguenay-Lac-Saint-Jean-Chibougamau ainsi que dans l’Est de l’Ontario. Elle exploite seize stations de radio et cinq stations de télévision.

Renseignements :
Marc Giguère
Vice-président, opérations, ventes et marketing, RNC MEDIA

Marc-André Lévesque
Président et chef de l’exploitation de RNC MÉDIA au Saguenay-Lac-St-Jean

Source : LBR.ca

Pub_Pub interactive : le futur, c'est déjà demain



Au passage d’Ed Witwer, devant l’entrée du magasin GAP, le visage d’une hôtesse accorte apparaît sur un grand écran plasma. "Bonjour Monsieur Yakamoto, dit-elle d’une voix suave (le système de reconnaissance d’iris se trompe car Witner s’est fait implanter d’autres yeux), avez vous apprécié les trois débardeurs que vous avez achetés chez nous la dernière fois ? "

En 2002, cette publicité futuriste avait amusé les spectateurs de "Minority Report", le film de Spielberg. Six ans plus tard, fini de rire : la publicité interactive débarque pour de vrai, et bien avant 2054. C’est dans votre quartier que vous risquez de revoir bientôt des scènes de ce genre (certes sans Tom Cruise et sans reconnaissance biométrique). Les écrans interactifs sont en effet en passe d’intégrer totalement notre quotidien. Bientôt, il suffira de passer devant un écran publicitaire pour recevoir des promotions sur son portable, télécharger une sonnerie ou une bande annonce, via Bluetooth. Intrusion dans notre vie ? Les associations dénoncent, les publicitaires assument.

L’air du tout interactif est arrivé. Le concept est simple : intégrer à l’écran un boîtier Bluetooth qui pourra communiquer avec le téléphone portable des usagers à proximité des panneaux publicitaires. Les riverains pourront télécharger des sonneries, des bandes annonces de film, ou encore des offres promotionnelles. Ce qui révolte les associations antipub. Charlotte Nenner, présidente de l’association Résistance à l’agression publicitaire (RAP) juge cette nouvelle technologie "inutile, intrusive et insupportable" :

"Le but est de s’imposer dans notre quotidien. Le caractère intrusif est inclus dans cette technologie. Il n’y aucune démarche volontaire de la part de l’utilisateur. 77% des Français considèrent la pub trop envahissante et cette technologie vient s’ajouter à la saturation publicitaire. Cette évolution technologique ne correspond pas aux besoins de la société. C’est inutile".

L’agence publicitaire Clear Channel va plus loin dans l’innovation et compte développer la technologie du "sans contact" dans la ville de Bordeaux. En 2009, 2 000 panneaux interactifs, équipés d’une "puce sans contact" investiront la ville. Etienne Reignoux, directeur marketing et stratégie de l’agence explique ce projet :

"L’objectif est de déployer un service de portail mobile où les passants recevront à la fois des offres promotionnelles, mais aussi des informations sur la ville de Bordeaux. Cela aura un but publicitaire, mais aussi informatif."

La technologie "sans contact", avenir du Bluetooth

Grâce à ces puces sans contact, vous serez sollicité sur votre téléphone mobile, pour recevoir des offres promotionnelles, télécharger une bande annonce… Une forme d’intrusion ? Mung Ki Woo, directeur du service "mobile sans contact" chez Orange insiste sur la "fonction de validation" en préambule à tout téléchargement :

"Il faut approcher son portable très près du panneau publicitaire, à quelques centimètres. Puis une fonction de validation s’affiche sur votre portable pour demander à l’utilisateur son accord pour télécharger un contenu publicitaire."

Et l’interactivité ne s’arrête pas là. Cette fois-ci, le caractère intrusif ne pourra pas être mis en cause. L’usager pourra prendre en photo avec son téléphone portable un logo, un code barre, un mot… sur une affiche publicitaire, puis l’envoyer au numéro de téléphone indiqué.

Ce qui lui permettra de recevoir un lien vers un contenu publicitaire. Pour se défendre de toute intrusion, Etienne Reignoux, de Clear Channel, met en avant "l’acte volontaire" du consommateur.

"Cette technologie représente un relais pour activer l’information. Notre vocation n’est pas de nous imposer. L’utilisateur doit faire un acte volontaire pour se connecter. C’est lui qui décide ou non de faire cette démarche."

Le numérique au détriment de l’affichage papier ?

L’affichage interactif comme avenir de la publicité ? C’est en tout cas l’avis d’Etienne Reignoux de Clear Channel :

"Pour l’instant cette technologie reste encore trop avant-gardiste pour nombre d’annonceurs. Mais à long terme, les écrans remplaceront le papier. On va vers une interactivité totale."

Une idée également partagée par Stéphane Dottelonde, président du syndicat de l’Union de la publicité extérieure :

"Les médias sont forcément amenés à moderniser leur offre. L’objectif est de privilégier la qualité (dispositifs, affichages…) à la quantité. L’avenir de la publicité sera dans l’affichage interactif et l’affichage digital."

Un constat qui ne fait pas l’unanimité auprès des agences de publicité. Pour Norbert Maire, directeur de l’innovation chez MetroBus, "aucune technologie ne pourra remplacer le papier. C’est la complémentarité des médias, qui permet une efficacité totale."

"Aujourd’hui, on n’a pas trouvé moins cher et plus efficace que l’affichage papier. Il faut jouer sur la complémentarité des univers et des différents médias pour arriver à une efficacité optimale. Le papier fait un travail d’interpellation. Le numérique apporte une dimension publicitaire plus réactive, plus qualitative".

Pour Michel Blain, président de l’association Paysages de France, qui lutte contre la pollution visuelle, l’arrivée du numérique reste "insupportable sur le plan paysager" :

"C’est une animation supplémentaire, qui distrait le regard de l’usager. C’est un facteur supplémentaire de dégradation du paysage urbain".

Si l’interactivité publicité- téléphone portable parait aujourd’hui novatrice, notre fidèle téléphone mobile se dotera prochainement de fonctions multiples, à tel point qu’il pourrait devenir le seul objet pratique indispensable à notre quotidien : téléphone, moyens de paiement, ticket de transport…

Orange est en pleine phase d’expérimentation sur ce projet. Déjà testé dans les villes de Caen et Strasbourg, l’opérateur promet un développement important de la technologie sans contact sur le long terme.

Photo : Publicité à Milan (Stefano Rellandini/Reuters).

Source : Rue89.com Par Caroline Vigoureux | Etudiante en journalisme

Technologie_ Kodak se prend une grosse claque, la fin d'une marque ?




Kodak a été une des plus belles marques du siècle passé, un nom universellement connu et aimé. Mais le colosse de Rochester (Etats-Unis), qui vient une nouvelle fois de décevoir les analystes financiers, avait finalement des pieds d’argile... comme tous les géants industriels qui se croient éternels. Pourquoi et comment l’éléphant Kodak va peut-être finir au cimetière des marques.

1 - Le temps des visionnaires

George Eastman
(1854-1932) fut un des pionniers de l’ère industrielle, inventeur des plaques photographiques sèches mais aussi un patron en avance sur son temps qui a inventé la distribution de primes sur objectifs pour ses employés. Ce fut également un grand philanthrope qui a distribué la moitié de sa considérable fortune de son vivant, principalement à l’université de Rochester et au MIT. Cet homme qui, mordante ironie, ne supportait pas qu’on le photographie afin de pouvoir continuer à se promener anonymement dans la rue, s’est suicidé alors qu’il était atteint d’une maladie incurable et particulièrement douloureuse. Il a laissé une note disant : “Chers amis, mon oeuvre est accomplie. Pourquoi attendre ?”.

C’est en 1881 qu’il a fondé l’entreprise qui porte encore son nom, la Eastman Kodak Company (à l’origine Eastman Dry Plate Company). Le mot Kodak lui-même fut choisi quelques années plus tard parce qu’il se prononçait facilement dans toutes les langues et ne signifiait rien d’offensant dans aucune.

Ce choix d’un nom “vendeur” illustre d’ailleurs bien un autre des talents d’Eastman : celui d’un des plus brillants publicitaires de son temps. Pour le lancement du premier appareil compact dont la pellicule doit être renvoyée dans ses laboratoires pour être développée, il invente un slogan passé à la postérité aux Etats-Unis : “Vous appuyez sur le bouton, Kodak s’occupe du reste”. Le premier aussi, il va utiliser des panneaux d’affichage gigantesques aux couleurs de sa marque, jusqu’à Trafalgar Square à Londres. Enfin il met au point le principe de la “Kodak Girl”, une jolie fille apparaissant dans toutes ses pubs et tenant toujours à la main l’appareil dernier cri de la maison.

2 - Le temps des boutiquiers

C’est que la marque est à l’origine de la démocratisation de la photographie. Et ce mouvement enclenché, il a fait boule de neige, l’entreprise en a été la première bénéficiaire. Dans le monde entier, le nom de Kodak est devenu synonyme de photos de famille, d’instants de bonheur partagés.

Mais tout a une fin, comme l’illustre la progressive calcification publicitaire, à l’exception de la France des années 80 qui résiste avec la saga des Kodakettes. Mais partout ailleurs, l’entreprise préfère la mièvrerie, la fadeur, de campagnes visant “les familles”. Mais ces familles ont changé et le géant de Rochester n’a rien vu venir.

Un premier indice de cette autarcie peut se lire dans le gigantesque procès contre Polaroïd. Pendant des années, jusqu’à sa condamnation à payer 1 milliard de dollars d’amende, Goliath s’épuise dans un long combat juridique contre David à qui il a “emprunté” le principe de l’appareil à photos instantanées. Croyant disposer d’un monopole de droit divin sur la photographie grand public, il s’est arrogé celui de freiner l’innovation chez ses concurrents à coups d’avocats et d’injonctions. La bureaucratie des comptables et des financiers a pris le pas sur la recherche et le développement. Pourquoi innover et aller de l’avant quand on dispose d’une rente de situation éternelle ? Justement parce qu’aucune rente n’est éternelle...

Aveugles à tout ce qui n’était pas leur combat titanesque, Kodak et Polaroïd n’ont pas réalisé qu’ils se battaient pour un concept dépassé : instantanée ou pas, la photo argentique était de toute façon condamnée. Déjà, le numérique se profilait à l’horizon.

Aujourd’hui, Polaroïd a fait faillite et Kodak s’est “allégé” d’un quart de ses effectifs mondiaux (à terme, on parle de 60% des emplois supprimés !) et d’une bonne partie de ses réserves monétaires. Mais la marque peine néanmoins à retrouver un cash flow convenable et surtout, elle n’a plus aucune “vista”. Elle s’est recentrée sur le service aux professionnels et sur les appareils photographiques numériques où elle n’est qu’un acteur parmi d’autres... et de plus sur un marché lui aussi probablement condamné par l’émergence des téléphones mobiles dotés de bonnes capacités photo...

3 - Sic transit gloria mundi

George Eastman n’a pas fondé une “entreprise de photos”, il a inventé un moyen de simplifier la vie de ses clients dans leurs loisirs ( le fameux “Appuyez sur le bouton, Kodak se charge du reste”) et donc de leur assurer des “instants de bonheur”. Ainsi qu’il le disait : “Ce que nous faisons pendant les heures de travail détermine ce que nous avons ; ce que nous faisons pendant les heures de loisirs détermine ce que nous sommes”. Si l’entreprise qu’il a créée était restée fidèle à ce principe, elle aurait compris bien plus tôt qu’elle pouvait dépasser la problématique de ses fameuses pellicules Kodachrome et proposer d’autres services.

Il ne lui suffira donc pas de se “recentrer” sur quelques produits à haute valeur ajoutée pour les professionnels afin de retrouver son aura d’antan. J’ai souvent été en contact avec de hauts responsables de Kodak au cours de ma carrière. Ils étaient typiques de ces cadres de grands marques qui se définissent par leur produit phare. Ils me racontaient (dans les années 90) que tant que les gens prendraient des photos, ils auraient besoin de pellicules et que la notoriété spontanée de Kodak ferait toujours d’eux le numéro 1. On sait ce qu’il est advenu.

Source LePost.fr Par : Sébastien Durand

mercredi 27 août 2008

Affichage Numérique_ Pays-Bas : 1000ème écran pour MediaVT





MediaVT annonce avoir franchi la barre des 1000 écrans installés. Ces derniers, intégrés aux nouveaux distributeurs automatiques placés par Lekkerland Vending Services (cf vidéo ci-dessus), constitueraient le plus grand réseau d´affichage dynamique du Benelux.

Les terminaux, déployés dans les bars, cafés, clubs, restaurants, billards, casinos, snacks, etc. des principales villes du pays (dont Amsterdam, Rotterdam, La Haye, Utrecht et Eindhoven), touchent désormais un potentiel de plus d´1,4 millions d´individus.

Ci-dessous la chronologie du développement du réseau :

- Février : 300 écrans installés

- Mars : 600 sites couverts

- Avril : 700 sites couverts (925 000 personnes touchées)

- Mai : 1 million de personnes couvertes

- Juin : 850 sites couverts

- Juillet : 925 sites couverts

- Août : 1000 écrans installés

NOTE D'ANDRÉ ROCHELEAU:
Connaissez vous une entreprise au Québec qui croit à ce point au narrowcasting....nous sommes encore ici au balbutiement de ce média...
Pourtant la technologie y est, la population aussi......mais les médias trads...
qui contrôlent la majorité du marché....ne parle même pas de ce nouveau média...
Il va falloir...un jour....reprendre ce temps perdu.
Il faut aussi une épuration des vendeurs de boites de plastiques avec leur logiciels maisons et leurs contenus archis déficients...sans parler de leurs prix ridiculement cher .....pour absolument aucune raison

Source ; OOH-TV

Affichage Numérique_ Royaume-Uni : Avanti Screenmedia lève (encore) des fonds auprès de Neo Media Group




Avanti Screenmedia Group annonce avoir levé 240 000£ auprès du groupe suisse Neo Media Group (qui chapeaute Neo Advertising). Ce dernier a souscrit 17,64 millions d´actions nouvelles du groupe britannique, au prix d´1,375 pence chacune.

Par cette opération, les deux compagnies renforcent encore leurs liens. Rappelons qu´en juillet dernier, Neo avait déjà apporté à Avanti 300 000£ sous la forme de prêts convertibles.

Les deux groupes agissent depuis en tant que partenaires commerciaux.

Source : OOH-TV

Media_Le CSA désavoué, Radio Gazelle espère récupérer sa fréquence




Virée de sa fréquence en février par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), la radio associative marseillaise a gagné tous ses recours devant le Conseil d’Etat. Début août, le CSA a enjoint France Maghreb 2, qui avait récupéré la fréquence 98.00 mHz, de cesser d’émettre « dans les plus brefs délais ».

Dans les locaux de Radio Gazelle, on n’a pas sorti le champagne, mais le coeur y est. Le porte-parole du comité de soutien à la radio associative marseillaise, Jacques Soncin, a entre les mains une lettre du CSA envoyée à l’avocat de la radio. La haute autorité y confirme qu’il a bien demandé à France Maghreb 2 de cesser « dans les plus brefs délais » d’émettre sur la fréquence de 98 mHz que la radio parisienne occupait en lieu et place de sa consoeur marseillaise. Jacques Soncin se réjouit.

« En juillet dernier, le Conseil d’état a annulé toutes les décisions du CSA concernant Radio Gazelle. C’est la troisième fois que l’on gagne contre l’autorité de régulation. Le Conseil d’Etat les a même condamnés à nous verser 4 000 euros de dommages et intérêts. L’instance de régulation a trois mois pour réexaminer notre candidature à l’exploitation de cette fréquence à compter du 11 juillet.

« Nous voulons revenir à l’antenne le plus vite possible, notamment en prévision du ramadan début septembre. Si la décision du CSA devait trop tarder, on demandera une autorisation provisoire d’émission pour satisfaire les attentes des auditeurs pendant cette période. »

Cela fait sept mois qu’on attendait ça et nos auditeurs aussi. »

Du côté du CSA, on confirme avoir enjoint à France Maghreb 2 de cesser d’émettre imédiatement:

« Suite à la décision du Conseil d’Etat, elle n’a plus le droit de le faire. Pour l’heure, France Maghreb n’a pas donné suite à cette injonction. »

Quant à l’examen de la candidature de Radio Gazelle et sa demande d’antenne provisoire, cela devrait attendre la rentrée et le retour de vacances des membres du Conseils. Le directeur des programmes de Radio Gazelle, Toumi Hamadi a des fourmis dans le micro :

« Nous sommes prêts à travailler dès demain. Cela fait sept mois qu’on attendait ça et, croyez-moi, nos auditeurs aussi. »

En attendant, sur le 98.00 mHz, à Marseille, France Maghreb 2 continue de diffuser du raï doucereux.

► Rectifié le 22/8 à 15h06. Titre modifié : Radio Gazelle n’est pas encore assurée de récupérer sa fréquence.

Source : Rue89.com Par : Benoît Gilles

Musique_ 8tracks : Muxtape en moins bien grâce à la RIAA



Nous vous indiquions la semaine dernière que le site Muxtape qui permettait la création de playlists en ligne à partir de MP3 uploadés sur le site par les membres a fermé ses portes, au moins provisoirement. Ses créateurs blâment la RIAA, le lobbys des grandes maisons de disques aux Etats-Unis, pour les conditions contractuelles démesurées qu'elle exige. Incapable de les respecter pour le moment, Muxtape a préféré mettre le rideau avant qu'un procès lui tombe dessus.

Sans surprise, la fermeture de Muxtape a créé un appel d'air pour de nouveaux candidats. 8Tracks propose ainsi de prendre le relai, avec un site qui lui aussi permet aux internautes de choisir des MP3 parmi ceux envoyés par la communauté, ou d'envoyer leurs propres MP3, pour créer une playlist qui pourra être écoutée par tous les internautes.

Mais pour ne pas avoir de problèmes avec la RIAA et avec la justice, 8Tracks a préféré limiter les fonctionnalités de son service pour qu'elles cadrent avec les termes de la licence obligatoire permise par le DMCA, la loi américaine sur le droit d'auteur. Au moins, les labels ne peuvent rien faire pour s'opposer au site. Mais du coup, les internautes utilisateurs du service ne peuvent plus passer d'un morceau à l'autre dans la playlist, ou même savoir quels morceaux sont programmés. La licence obligatoire prévue par la loi s'impose en effet aux seules radiodiffusions numériques "non interactives", qui ne doivent pas permettre l'écoute à la demande. Chaque mix est en fait considéré comme une webradio, avec ses règles strictes.

Un bon exemple de la créativité bridée par un droit d'auteur censée la favoriser. Mais la RIAA devrait surtout se dire que lorsque ses propres règles empêchent la création de valeur sur ses propres contenus, en limitant l'attractivité des services qui exploitent la musique, elle a un sérieux problème à régler, bien avant celui du piratage.

Source : Numerama.com Par : Guillaume Champeau

Technologie_Hitachi entre dans l’ère du téra




Hitachi entre dans l’ère du téra en lançant son nouveau disque dur à haute capacité et faible consommation énergétique, dédié au stockage de contenus vidéo

Hitachi Global Storage Technologies (Hitachi) annonce aujourd’hui le lancement de deux nouveaux disques durs CinemaStar™, optimisés pour les décodeurs et les enregistreurs vidéo-numériques (DVR). Le CinemaStar™ 7K1000.B se décline dans des capacités culminant à un téraoctet (1 To), tandis que le CinemaStar 5K320 offre des capacités de stockage pouvant atteindre 320 Go et intègre la nouvelle technologie CoolSpin™ d’Hitachi. Grâce à la technologie CoolSpin, la vitesse de rotation du disque est optimisée pour réduire la consommation d’énergie et le niveau acoustique.

Hitachi peut ainsi se targuer d’offrir les disques durs 3,5 pouces les plus silencieux et les plus sobres du marché. La technologie CoolSpin d’Hitachi ouvre la voie à une nouvelle génération de DVR et de décodeurs, capables de stocker un plus grand nombre d’heures de vidéo, de fonctionner plus silencieusement et de consommer moins d’énergie.Parmi les fonctionnalités proposées par les nouveaux disques durs CinemaStar d’Hitachi, on peut notamment mentionner les suivantes : mécanisme du disque conçu pour assurer un fonctionnement en continu, 24h/24 et 7j/7 ; technologie SilentSeek minimisant le niveau acoustique et garantissant un fonctionnement quasiment inaudible ; trois modes de mise en veille pour une utilisation optimale de l’énergie et un dégagement thermique minimal ;echnologies SCT (Smart Command Transport) et SmoothStream assurant la continuité du flux vidéo et de la qualité de son ; plage élargie de températures prises en charge, autorisant des environnements d’utilisation à température élevée comme les DVR sans ventilateur ; dispositif de rampe de charge/décharge des têtes pour accroître la résistance aux chocs et les économies d’énergie ; technologie TFC intégrant une sonde thermique au disque pour en améliorer la fiabilité lors de l’encodage/du décodage de séquences vidéo longues ; fonctionnalité BDE (Optional Bulk Data Encryption) – proposée en option – permettant d’accroître la protection du disque face aux risques de perte de données ; technologie éprouvée d’enregistrement magnétique perpendiculaire (PMR), assurant un niveau maximal de stabilité, de fiabilité et d’intégrité des données.

CinemaStar 7K1000.BLe CinemaStar 7K1000.B constitue la deuxième génération de la gamme de disques durs d’un téraoctet à 7 200 tr/mn, récemment lancée par le constructeur. Proposés dans des capacités allant de 160 Go à 1 To, les nouveaux disques durs de 3,5 pouces capitalisent sur la technologie Hitachi de gestion de l’alimentation – qui en est déjà à la septième génération – pour afficher des performances optimales en termes de sobriété énergétique et de dégagement thermique. Pour accroître l’efficacité énergétique de son nouveau disque, Hitachi s’est appuyé sur la technologie HiVERT, inaugurée sur les disques Travelstar 2,5 pouces. Le CinemaStar 7K1000.B donne ainsi aux fabricants de DVR les moyens de développer des solutions fonctionnant à plus basse température et plus économes en énergie, avec à la clé une plus grande longévité de leurs produits.Pour offrir un niveau acoustique optimal, tous les disques CinemaStar intègrent la technologie SilentSeek. Ils sont également dotés du dispositif breveté d’Hitachi de rampe de charge/décharge des têtes qui prévient l’usure du disque et le protège en phase d’arrêt. Pour un maximum de stabilité, de fiabilité et d’intégrité des données, le CinemaStar 7K1000.B embarque également la technologie d’enregistrement magnétique perpendiculaire (PMR) – la plus fiable du marché.Les disques durs CinemaStar d’un téraoctet peuvent stocker jusqu’à 247 heures de vidéo1 haute définition encodée en MPEG-4 et peuvent prendre en charge jusqu’à 10 flux de données en simultané.CinemaStar 5K320Offrant jusqu’à 320 Go de capacité et doté de la nouvelle technologie CoolSpin, le CinemaStar 5K320 apporte aux applications vidéo numériques des performances sans précédent en termes d’efficacité énergétique et de niveau acoustique. La technologie CoolSpin présente l’avantage d’optimiser la vitesse de rotation du disque pour trouver le juste équilibre entre performances, consommation énergétique et niveau acoustique.

Afin d’optimiser la durée de vie de leurs dispositifs hôtes, les deux nouveaux disques CinemaStar affichent un temps d’utilisation visé entre deux pannes (MTBF) 3 de 1,2 million d’heures ainsi qu’une plage élargie de températures de fonctionnement. Avec une puissance d’alimentation en veille de 3,1W, le CinemaStar 5K320 satisfait aux contraintes de basse consommation propres aux appareils d’électronique grand public, permettant par la même occasion aux consommateurs de réaliser des économies d’énergie.Le marché des enregistreurs vidéo-numériques poursuit sa forte croissance. Selon IDC, les commandes de disques durs pour applications d’enregistrement vidéo-numérique devraient enregistrer une croissance annuelle de 14 % sur la période 2007-20122. « D’une génération à l’autre, notre technologie de gestion d’alimentation d’Hitachi a connu de spectaculaires avancées et plus particulièrement, notre gamme de produits CoolSpin établit une nouvelle norme sur le marché des disques durs à faible consommation énergétique pour applications vidéo », déclare Larry Swezey, directeur du marketing et de la stratégie au sein de la division Consumer & Commercial HDD d’Hitachi Global Storage Technologies. « Les disques durs CinemaStar d’Hitachi sont idéalement adaptés aux enregistreurs vidéo-numériques et autres décodeurs, où la température de fonctionnement, le niveau acoustique et l’efficacité énergétique globale sont d’une importance capitale. »Hitachi Global Storage Technologies développe des technologies avancées de disques durs, dédiée au stockage et à la conservation des données. Fondée par les pionniers du disque dur, Hitachi GST fait rentrer l’utilisateur dans l’ère du numérique en lui offrant des solutions de stockage haute capacité, adaptées pour une utilisation privée, professionnelle, sédentaire ou mobile.

Dotée d’infrastructures de production, de conception et de recherche intégrées à tous les niveaux de l’organisation, la société fait référence sur le marché mondial des disques durs pour la qualité de ses solutions et son avance technologique.Employant environ 33000 employés à travers le monde, Hitachi GST offre une gamme complète de disques durs pour les ordinateurs de bureau, les serveurs hautes performances, les ordinateurs portables et les produits grand public. Pour plus d'informations sur Hitachi GST, consultez le site.

Source : PubliNews.fr

Web_Firefox 3.1 se fait plus rapide, IE8 plus sûr





Microsoft
et la fondation Mozilla annoncent de nouvelles versions pour la fin de l'année. Les prémisses des fonctions en cours de développemement laissent entrevoir une meilleure gestion du Javascript et une navigation anonyme.

La bataille des navigateurs continue, et Microsoft et la fondation Mozilla aiguisent leurs produits, Internet Explorer et Firefox, autours de deux thématiques sensibles de l'Internet, à savoir d'une part la sécurité et d'autre part la rapidité de navigation.

Sécurité du côté de Microsoft, avec l'annonce toute récente de l'ajout de nouvelles fonctionnalités dans la prochaine version de Internet Explorer, la huitième, concernant la protection des données des internautes.

La seconde version bêta d'Internet Explorer 8, qui devrait être disponible dans quelques jours, devrait inclure une nouvelle fonctionnalité : les modules " Cleartracks " et "InPrivate". Ces modules permettront à l'utilisateur de maîtriser totalement les paramètres de respect de sa vie privée au cours de sa navigation mais aussi une fois que la session de navigation aura été achevée.

D'une part, l'option InPrivate Blocking devrait empêcher les serveurs Web de récupérer des informations personnelles via des bannières publicitaires ou des widgets pendant la navigation de l'internaute.
L'utilisateur devrait pouvoir régler les paramètres de navigation pour éviter de voir les informations glanées sur Internet être conservée en local sur la machine.

Par ailleurs, l'utilisateur devrait pouvoir régler les paramètres de navigation de manière à éviter de voir les informations glanées sur Internet être conservée en local sur la machine utilisée (historique, cache, témoin, documents récents, fichiers temporaires).

Ce réglage pourra être effectué de manière fine, permettant de vider l'historique de navigation en conservant uniquement les informations liées aux sites référencés dans les favoris. Microsoft explique en toute candeur que cette option peut être très utile si un internaute souhaite par exemple acheter un cadeau a un de ses proches, et qu'il ne veut pas que ce dernier ait accès aux informations relatives à l'achat en ligne effectué.

Pour rappel, il faut signaler que deux fonctionnalités de IE8 ont déjà été présentées ces derniers mois, à savoir " Activities " et " Webslices ". La première fonctionnalité permettra d'interagir de façon dynamique avec le texte d'une page web en sélectionnant un mot, un nom ou des termes. Il sera ainsi possible d'accéder à un menu contextuel avec différentes options. L'autre module, " Webslices ", permet de reconnaître automatiquement le contenu dynamique affiché dans une page, de l'ajouter dans sa barre d'outils IE pour le consulter n'importe quand.

Microsoft annonce que la version définitive de Internet Explorer 8 devrait être officiellement disponible vers la fin de 2008.

Quant à lui, la nouvelle version définitive du navigateur de la fondation Mozilla, Firefox 3.1, est elle aussi annoncée pour la fin de l'année. Une version alpha est disponible pour les développeurs depuis juillet dernier. L'amélioration majeure de cette nouvelle mouture devrait être plus de rapidité pour faire fonctionner les applications Web créées en Javascript. Et les applications web qui fonctionnent avec Javascript sont nombreuses : webmails, Netvibes,..

Pour ce faire, Firefox disposera d'un nouveau moteur, baptisé TraceMonkey, qui décodera à la volée les instructions des pages en cours d'affichage (comme le fait aujourd'hui son moteur SpiderMonkey) mais devrait surtout accélérer l'exécution de certaines parties de code, dont celles qui reviennent le plus souvent.

La fondation Mozilla assure que en fonction des cas, le gain de rapidité par rapport à Firefox 3.0 pourrait être de 20 à 40 fois plus rapides.

Par ailleurs, Firefox 3.1 devrait supporter nativement les formats Ogg Vorbis (audio) et Ogg Theora (vidéo).

Internet Explorer reste le navigateur dominant mais ses concurrents tels Opera, Firefox ou encore Safari progressent de mois en mois. Le combat entre ces acteurs pour une meilleure visibilité du web continue

Guillaume Serries, Journal du Net

mardi 26 août 2008

Affichage Numérique_DGK développe Dynapub




Le futur est à nos portes et, dans un avenir rapproché, plusieurs des affiches qui ornent les salles d'attente, l'arrière des comptoirs de magasins et le dessus des urinoirs feront place à Dynapub, un nouvel outil marketing moins dispendieux et combien plus efficace.

En effet, DGK a développé un nouveau concept permettant de substituer les affiches statiques par des téléviseurs LCD qui diffuseront les publicités dynamiques de non pas une, mais plusieurs entités différentes, et ce, à moindre coût.

"Puisqu'il n'y a ni impression ni déplacement, la conception d'une publicité qui sera diffusée sur un écran de télévision sera moins dispendieuse à produire et beaucoup plus écologique qu'une affiche", a expliqué le responsable du projet, Jonathan Boucher.

Afin de bâtir son réseau de diffusion, l'entreprise victoriavilloise proposera aux propriétaires d'endroits publics la possibilité d'installer un téléviseur gratuitement et de façon stratégique dans leur établissement.

Par endroits stratégiques, DGK cible spécialement les salles d'attente, les salles de bain et les files d'attente des commerces et restaurants. On aimerait d'ailleurs que le téléviseur succède aux étalages de cigarettes qui ont disparu au cours des derniers mois.

En plus d'améliorer la qualité d'attente de leur clientèle, DGK offrira aux entreprises qui accepteront de constituer le réseau une ristourne proportionnelle au nombre de publicités diffusées dans leur établissement. Les publicités seront par ailleurs cotées et réparties selon la clientèle.

"Nous allons trier le type de publicités afin d'obtenir un meilleur placement. Il n'y aurait pas d'intérêt à mettre une publicité pour le Festival jeunesse dans un foyer pour personnes âgées par exemple", a ajouté M. Boucher.

Un réseau autogéré

Le concept Dynapub sera aussi offert aux propriétaires de chaînes de magasins ou aux regroupements qui désireraient diffuser de la publicité dans l'ensemble de leurs succursales.

Dynapub permet aux administrateurs de gérer tout le système de diffusion de façon rapide et sécuritaire par le biais d'internet, réduisant ainsi de façon significative le principe d'éloignement entre les points de vente.

Le système permet d'ajouter ou de retirer une publicité à distance et même de fixer la plage horaire de diffusion d'un spot. "Un restaurant pourrait faire la promotion de son menu du midi en début de journée, puis du type de bière qu'il offre en soirée", a suggéré Jonathan Boucher.

Selon une étude menée par DGK, une publicité vidéo aurait 40 % plus d'impact sur la clientèle qu'une affiche statique.

Note d'André Rocheleau:
C'est la première fois...au Québec que je vois une idée aussi dynamique et GÉNIALE....enfin des gens qui sont prêt...et qui acceptent d'investir (entre autre pour l'achat des écrans) pour moi il est clair que ce sont des entrepreneurs qui CROIENT au narrowcasting....BRAVO!!!

Source : La Presse Affaires

Affichage Numérique_CrossMediaPub, une régie publicitaire qui innove…




CrossMediaPub,
régie publicitaire récemment arrivée sur le marché, développe un nouveau media qui devrait en intéresser plus d’un…

Afin d’en savoir plus, nous sommes allés à la rencontre des deux piliers de ce concept novateur, Pier-Alain Genouille et Pierre-Olivier Gernigon.

L.V. : Ce nouveau support de communication, c’est quoi exactement ?

P.O.G. : Vous l’avez très bien dit, c’est un nouveau support de communication. Je parlerais même d’un nouveau media à part entière… Il s’agit d’écrans plats 42 pouces que nous implantons dans les golfs associatifs et commerciaux de la France entière et qui nous permettent, entre autre, de diffuser de la publicité bien ciblée.

L.V. : En quoi ces écrans sont-ils différents des media traditionnels actuels ?

P.A.G. : Nos écrans plats représentent le media de communication audiovisuelle dynamique de référence dans les golfs et sur les CSP+ et CSP++. Grâce à des caméras intégrées et une technologie très avancée, entièrement gérée par Internet, nous disposons d’un niveau de mesure d’audience inédit.

L.V. : Comment fonctionnent ces caméras ? N’est-ce pas une atteinte à la vie privée que de filmer les gens sans les en informer ?

P.A.G. : Là est toute la subtilité. Ces caméras n’enregistrent pas. Elles ne sont donc en aucun cas une atteinte à la vie privée. Notre système a d’ailleurs été validé par la CNIL et par Médiamétrie. Il s’agit d’un système de reconnaissance faciale qui nous permet de déterminer le nombre de personnes regardant chacun des spots, pendant combien de temps, leur sexe et bientôt la tranche d’âge à laquelle elles appartiennent…

L.V. : Ces écrans ne diffusent que de la publicité ?

P.O.G. : Non, bien évidemment. L’objectif premier étant d’apporter de l’information qualitative aux golfeurs, un maximum de 30% du contenu diffusé sur nos écrans concerne la publicité.

L.V. : Qu’en est-il du reste ?

P.O.G. : En dehors de la publicité, il y a 3 grands contenus : des reportages golfiques (notamment des leçons de professionnels, les résultats des différents trophées etc.), de l’information généraliste (à savoir la météo nationale et locale, l’infotraffic etc.) pouvant être parrainée, et pour finir, la communication interne de chaque golf. La mise à jour du contenu est quasi-quotidienne.

P.A.G. : Il faut savoir que notre système permet à chaque golf de gérer individuellement une partie des émissions de leur(s) écran(s). 25% du contenu est en effet dédié uniquement à leur communication interne, à savoir les horaires d’ouverture et de fermeture, les tarifs, les événements etc. De plus, nous disposons de partenaires spécialisés dans le golf (Journaldugolf.fr, Golftechnic.fr, Golf-zone.com) qui nous assurent un contenu qualitatif pour intéresser les golfeurs et mettre en valeur les annonceurs.

L.V. : Selon vous, qui est susceptible de s’intéresser à vos écrans ?

P.O.G. : Il s’agit d’une offre à double sens. D’un coté nous offrons aux directeurs de golfs un moyen gratuit d’attirer de nouveaux membres, de dynamiser leur club et d’un autre coté nous proposons aux annonceurs nationaux et locaux, notamment dans le domaine du luxe, de l’automobile, du tourisme, de l’équipement golfiques etc., de cibler une catégorie socio professionnelle élevée et de mesurer précisément l’impact de leur communication sur cette même cible.

L.V. : Aujourd’hui, combien de golfs sont déjà équipés de vos écrans ?

P.A.G. : Nous avons déjà implanté nos écrans dans 10 golfs de France et nous comptons en implanter 10 nouveaux dans les 2 mois qui viennent et ainsi de suite…

L.V. : Avez-vous pensé à un déploiement à l’international ?

P.A.G. : C’est en effet dans nos projets… Ceci pourrait d’ailleurs arriver bien plus tôt que prévu…

Interview : Laura VACCARINO

Pour toutes informations supplémentaires ou contacts :
www.crossmediapub.com

Source : LesNewsduNet.com

Media_Montréal, hôtesse de l'International des médias



Les 25 et 26 septembre prochains, le Centre des sciences de Montréal sera l'hôte de la première édition de l'International des médias de Montréal, destiné aux professionnels en communication-marketing.

Organisé par Radio-Canada/CBC, en collaboration avec l'AMM-PCM et Association of television and radio sales houses, l'événement réunira 300 professionnels en communication-marketing provenant de 19 pays d'Europe et d'Amérique. L'accent sera mis sur les nouvelles tendances multiplateformes dans le monde et les défis auxquels sont confrontés les publicitaires.

Parmi les invités internationaux, on retrouve Jacques Deregnaucourt, directeur général adjoint de TF1 Publicité France, Heikki Rotko, vice-président exécutif de MTV Oy Finlande, et Andréa Malgara, directeur général de Seven One Media, en Allemagne.

Parmi les conférenciers canadiens, on note Sunni Boot de ZenithOptimedia, François Lacoursière de Sid Lee et Dale Hooper de Pepsico.

La rencontre est réservée aux membres de l'AMM-PCM. Pour inscription ou pour plus de détails, cliquez ici.

Source : Infopresse par Vanessa Quintal

Media_Canada, Québec, RDS lance son réseau social




Avec "Le Grand Club", dévoilé hier, RDS affirme avoir créé le premier réseau social francophone sur le web entièrement consacré au sport.

Bien qu'il soit trop tôt pour fournir des données sur l'achalandage, RDS espère inciter ses 400 000 membres du site RDS.ca à se joindre à sa nouvelle communauté en ligne. Le site compte également un million de visiteurs uniques chaque mois.

Sur Le Grand Club, les internautes pourront créer leur profil et s'exprimer sur leur page personnelle. Ils pourront aussi produire leur propre blogue, participer aux discussions, insérer des images et des vidéos, en plus de pouvoir importer des statistiques, classements et nouvelles du site RDS.ca.

La marque Aveo, de Chevrolet, s'est jointe à RDS pour la période de lancement. "Elle voulait une clientèle jeune et proactive", explique Michel Gagnon, vice-président, marketing, de RDS.

Ce dernier souligne toutefois que les publicités sur les pages personnelles devront être plus sobres que les promotions commerciales ainsi que mieux destinées à la télévision et aux sites traditionnels.

Source : Infopresse
par Patrick Bellerose