RadioSouvenirsFM

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samedi 31 janvier 2009

Affichage Numérique_WOW ...des produits exceptionnels



UN SEUL COMMENTAIRE DE MA PART SUR LEURS PRODUITS...WOW!!!
(André Rocheleau)

Le Digital Signage en perte d'efficacité !

Cette phrase provocatrice illustre à elle seule l'orientation de See&Touch dans le monde du Digital Signage. En effet, le Digital Signage ne risque t-il pas de commettre les mêmes erreurs que les médias classiques: la surcommunication ? Avec comme conséquence une perte d'efficacité.

Considérer le Design dans la genèse d'un projet de Digital Signage, c'est la garantie d'une parfaite intégration des écrans mais aussi d'un impact augmenté.

Nous oeuvrons également pour vous proposer une série de solutions qui apporteront une réelle valeur ajoutée aux écrans. L'interactivité via tactile ou GSM confèrent une nouvelle dimension à ce média et renforce très efficacement les relations avec le public.

Avec nos solutions d'écrans outdoor capables de fonctionner un plein soleil, See&Touch vous ouvre de nouvelles perspectives.

Source : See-and-Touch.com

Technologie_Une messagerie électronique qui devine les destinataires



Taper un message électronique qui va parvenir à son destinataire même si l'on ne connaît pas son adresse: c'est l'objectif d'une équipe de chercheurs de l'Université californienne de Stanford.

«L'idée, c'est de changer la façon dont nous envoyons des courriels», explique à l'AFP le professeur d'informatique Michael Genesereth. «Ce qu'on veut quand on envoie un courriel, c'est adresser un message, pas une suites de caractères», ajoute-t-il. Le système expérimental revient à «décrire la personne à qui on écrit, plutôt que d'écrire des caractères».

La technologie «sémantique» reconnaît des expressions et les relations entre les mots, et peut exploiter des bases de données et l'internet pour y trouver des destinataires.

Une version expérimentale est déjà testée depuis plusieurs années par M. Genesereth et d'autres chercheurs, à Stanford, en Irlande et en Autriche.

L'essai se serait révélé tellement concluant que 6.000 personnes travaillant à la faculté informatique de Stanford vont y participer cette année. Ensuite l'ensemble du campus pourrait participer à l'expérience, et après ça... «qui sait?"

Plusieurs grosses sociétés se seraient déjà montrées intéressées.

Dans la pratique, si on veut envoyer un courriel au responsable d'un service, ou à des collègues d'un groupe de travail, cela apparaît dans le système de la messagerie, qui ensuite détermine tout seul les destinataires.

«En un sens, le carnet d'adresse devient obsolète» résume M. Genesereth.

«Il y a beaucoup de données sur les gens et les organisations - c'est disponible sur le web, et nos programmes doivent être capables de l'exploiter», fait-il valoir.

Dans un premier temps, la «messagerie sémantique» s'adresse aux sociétés souhaitant voir leurs employés exploiter plus efficacement les répertoires internes.

Puis quand les sociétés partageront leurs données avec des partenaires et que l'information disponible sur internet deviendra plus fiable, les messageries sémantiques devraient connaître une «croissance virale», à en croire M. Genesereth.

Le risque à première vue est le développement exponentiel de «pourriels sémantiques», mais à en croire le chercheur, il y a peu à craindre de ce côté là.

«C'est drôle mais vrai», explique M. Genesereth: «on pourrait viser spécifiquement le public qu'on recherche». En pratique, «il y aurait moins besoin d'envoyer des avalanches de pourriels dans un monde de messagerie sémantique: au lieu d'envoyer des messages à tout le monde, vous pourriez souhaiter les envoyer spécifiquement aux gens risquant effectivement d'être intéressés», estime-t-il.

En outre, la technologie pourrait inclure un filtre éliminant certains expéditeurs, de façon plus efficace qu'actuellement.

Pour l'instant, la plupart des messageries filtrent les pourriels en repérant des expéditeurs inscrits sur des listes actualisées régulièrement, mais le dispositif est facilement éludé par des «spammers» qui changent perpétuellement d'adresse internet.

«Les problèmes qui se posent avec le courriel sémantique ne sont pas différents de ceux du courriel actuel», estime M. Genesereth: «si ma messagerie sait qui m'envoie un message, je peux utiliser un filtre intelligent».

Source : CyberPresse
Par : Glenn Chapman, Agence France-Presse (San Francisco)

Pub_L'industrie de la publicité honore Céline Pilote



La présidente de Copilote, Céline Pilote, a été honorée par ses pairs, hier soir, à Toronto, lors du gala annuel de l’association des Professionnels en produits promotionnels du Canada. Copilote est une firme spécialisée dans la promotion par l’objet et les cadeaux d’entreprise. Sa présidente a été intronisée au Temple de la renommée de PPPC, un hommage rendu une fois l’an depuis 1981 à une personnalité qui est un modèle d’engagement dans la communauté, et qui a contribué de façon exceptionnelle au succès du milieu de la publicité et des communications.

Dans son allocution de remerciement, madame Pilote a proposé aux plus jeunes des publicitaires d’agir avec détermination et confiance. « Je n’ai jamais douté ni de mon talent, ni de mon succès. Même lorsque j’ai trébuché, je me suis relevée grâce à ma vision à long terme. » Elle a déclaré vouloir partager cet honneur avec tous ses clients, ses employés et sa famille. Céline Pilote avait toutes les raisons de se réjouir puisque Copilote a également remporté cinq prix, dont quatre prix d’excellence « Image ». Le prix Or a été décerné à l’entreprise pour un programme de prévention des fraudes mené par la Fédération des Caisses Desjardins du Québec, le prix Argent pour un programme de reconnaissance concernant une nouvelle molécule développée par Boehringer Ingelheim, cliente du cabinet de relations publiques National, et les deux prix Bronze pour ses clients NewAd et TVA.

Copilote s’est également mérité le prix Distributeur de l’année, région de l’Est du Canada.
Copilote a remporté rien de moins que 74 prix au cours des 16 dernières années.
Avec une croissance moyenne de 20 % depuis sa fondation, Copilote se classe parmi les 5 plus importants distributeurs de l’industrie canadienne de la promotion par l’objet. Chaque année, les prix d'excellence de la PPPC rendent hommage aux distributeurs les plus créatifs et aux fournisseurs ayant proposé les meilleurs produits. L’association des Professionnels en produits promotionnels du Canada compte 1 600 membres.

Renseignements :

Kim Leblanc
Michel Trudeau
Primacom inc.
Tél. : 450 583-2002

Source : AMPQ

Téléphonie_Nokia ou comment faire de bonnes applications et mal les vendre





Ce titre un peu racoleur à pour objectif d’attirer l’attention des utilisateurs de Nokia et plus généralement de ceux disposant d’un mobile sous Symbian sur les incroyables ressources que Nokia met à notre disposition mais qui malheureusement ont du mal à percer en dehors du milieu des geeks ou des passionnés.

Il s’agit ici plus de lancer une discussion que de faire un descriptif poussé de l’ensemble des logiciels développés par Nokia.
Quelques faits.

Nokia est certainement à l’heure actuelle le fabricant offrant à ses utilisateurs le plus de nouveautés. En dehors des simples mises à jour ou des applications, Nokia cherche à devenir non plus un simple fabricant mais une société offrant des services innovants et adaptés aux besoins sans-cesse renouvelés de ces clients.

Ainsi le fabricant à mis à disposition de la plupart, des applications et des services incroyablement innovant si on les compare à la concurrence.

Certes les détracteurs diront que Apple est bien plus dynamique avec son Apple Store et ses millions d’applications vendues. Mais si l’on regarde ce que propose vraiment l’Apple store il n’y a vraiment pas de quoi s’émerveiller. En effet les applications proposées sur l’Iphone ne sont pas pour la plupart développées par Apple et ne participent pas vraiment à l’amélioration du mobile mais permettent plutôt des montrer à tout le monde en soirée que son Iphone peut simuler l’ouverture d’une bouteille de champagne ( ICI). Super !

De son coté Nokia offre une approche totalement différente. Cette volonté d’offrir plus, passe pour Nokia par le biais de deux plateformes à la fois très proche et très distinctes.

Nokia Beta Labs

Nokia bêta labs est un site assez connu des fans qui regroupe dans une même interface l’ensemble des programmes que Nokia est en train de développer et permet à ceux qui le souhaite de les tester et d’envoyer leurs impressions en retour. Le site disponible ICI permet par exemple en ce moment des tester (dans le désordre) : Maps on Ovi, Step Counter, Enhance Calculator, Nokia Vine, Nokia Friends View, Nokia Email … Autant d’applications innovantes et mis à la disposition gratuitement de ce qui le veulent.

C’est sur cette plate forme que Nokia teste ses applications, c’est surtout pour les passionnés que nous sommes, la chance unique de se voir consulté dans le processus de validation des applications. Ce site permet aussi de donner un image plus humaine du géant Nokia. Son interface épurée et les vidéos de ses développeurs barbus en t-shirt nous donnent l’impression que l’on est sur le site d’une start-up composée de passionnés qui nous diraient “Et les gars, on a penser à ça. Ça serait cool que vous essayiez et que vous nous balanciez vos feedback en retour”. Je rappelle que Nokia est le leader mondiale de la téléphonie et que à mon avis ils ont dépassé le cadre de la Start-up bien avant la naissance de la plupart des lecteurs de ce site. Toujours est-il que la démarche basée sur l’innovation et sur le coté communautaire du web constitue pour moi une approche tout à fais originale qui à pour résultat de valoriser le consommateur .
OVI

Ovi est le grand cheval de bataille de Nokia. C’est a mes yeux le projet le plus ambitieux à l’heure actuelle parmi les constructeurs. Le postulat de base est simple : si votre téléphone vous accompagne dans tout ce que vous faites, pourquoi ne pas vous proposer une plateforme vous permettant d’accéder à tout instantanément et partout dans le monde.

Le résultat est un site ( ICI) qui vous permet d’acceder à tout : Cartes (Maps Ovi), Share (Mise en ligne de média), Contact (Agenda, Taches…), Jeux (Via N-gage)… Tout cela bien sur gratuitement (sauf quelques options)

En clair tout ce qui compose la sphère Nokia se retrouve ici. Il est fort à parier que la version actuelle est loin du projet définitif voulu par Nokia, mais le sortie prochaine de mobiles tel que le N97 devrait accélérer les choses, ce dernier sera en effet pour moi “le” mobile Ovi. Celui qui permettra à cette plateforme d’enfin percer au delà du cercle somme tout restreint des geeks et des fans.

Problème de communication

En effet malgré tous ces projets ambitieux et indubitablement innovants, Nokia ne parvient pas à les faire connaitre. Il faut en effet être abonné à au moins 15 flux RSS de spécialistes pour avoir l’immense honneur de capter parfois une bribe de news sur ces outils.

Pourquoi l’Apple Store est-il un si grand sucés en comparaison ? Simplement parce que sur votre Iphone vous avez en plein milieu de l’écran une Icône qui vous y envoi directement. Vous payez avec votre compte sans même vous en rendre compte. C’est ce que l’on pourrait appelé du Push Marketing. A l’instar des Emails, ce n’est plus à vous d’aller chercher les infos mais on vous les envoi facilement, directement et instantanément.

Certes Nokia a équipé ses téléphones les plus récents de la fameuse application Télécharger !. Super.

Super sauf que cette application est tout sauf agréable à utiliser. Il faut la mettre à jour (Via WIFI), comprendre ce que les applications font. Comprendre celles qui sont payantes et pire, comprendre à quoi ça sert. Pourquoi diable Nokia ne prends pas exemple sur Apple. Cette application devrait tout d’abord comprendre des catégories plus claires. Il est en effet assez compliqué de comprendre vraiment à quoi chaque dossier correspond. Il faut aussi impérativement enlever les icônes tels que EA Sport et autre Jamba qui font beaucoup trop publicitaires.

La solution pour moi et de créer une programme Télécharger! dynamique. Quand vous allez sur le web il se met à jour et vous indique : nouveauté disponibles … De plus il est proprement hallucinant que les applications Nokia ne soient pas présentes. Comment faire connaitre Nokia Vine, Friends View et autres si elles sont absentes de l’application Télécharger !.

Enfin concernant la plateforme OVI, la solution est plus complexe. Nokia fournie déja avec ces mobiles un joli dépliant ventant les mérites du site. Le problème est que malgré tout on ne comprends pas bien à quoi ca sert et que la mise en oeuvre du service est encore à mes yeux très (trop) compliquée.

La solution serait pour moi d’intégrer tous ses services au sein même du mobile. Avoir accès directement à des icônes Ovi dans les menus : contact, agenda, photo,dossier… Et joindre dans le mobile une jolie vidéo explicative des services en mettant en avant leurs intérêts.

Voila il ne s’agit ici qu’une d’une petite reflexion générale liée au constat clair que Nokia dispose actuellement sur le marché d’outils exceptionnels mais qui restent à mon avis réservés aux initiés.

Source : SymbianFrance.com

vendredi 30 janvier 2009

Affichage Numérique_Des élus demandent le retrait des publicités numériques du métro



Un collectif d'associations et d'élus demande la suspension du déploiement de mobilier publicitaire high tech dans le métro et envisage une action en référé.

Le réseau publicitaire numérique que la RATP veut généraliser en 2009 dans ses stations de métro et les gares inquiète. Mercredi 28 janvier, un collectif d'associations et d'élus d'Ile-de-France a demandé la suspension des panneaux publicitaires animés dans le métro parisien et annoncé une action en référé devant le tribunal administratif d'ici les prochains jours. Ils demandent l'ouverture d'un débat public sur le sujet.

Baptisés "Numéri-flash", ces panneaux à écran LCD Full HD de 70 pouces - soit 90 centimètres de largeur pour 160 de hauteur - diffuseront de la publicité animée ou fixe, ciblée en fonction des heures de la journée (lire La RATP va mesurer l'audience de ses panneaux publicitaires, du 08/12/2008). Au moyen de capteurs, les Numéri-flash pourront mesurer l'audience des publicités mais également identifier les images ou éléments qui auront retenu le plus l'attention.

Métrobus, la régie publicitaire de la RATP, assure qu'il s'agit d'un simple système de comptage et qu'aucune image ne sera enregistrée par ces capteurs. Cependant, la présidente du collectif Résistance à l'agression publicitaire (Rap), Charlotte Nenner, estime que l'implantation de ces panneaux revient à "instaurer la vidéosurveillance à des fins commerciales et une publicité intrusive via le dispositif Bluetooth", rapporte l'AFP.

Après l'inauguration de quelques écrans en décembre 2008, la RAPT prévoit d'installer 400 Numéri-flash dans le métro parisien en 2009 et 800 dans les gares d'Ile-de-France. Métrobus cherche avec ce nouveau mobilier publicitaire à adapter à l'affichage urbain les méthodes de reporting propres aux bannières publicitaires pour travailler l'efficacité et la rotation des campagnes

Source : JournalDuNet.com

Pub_Un nouveau coup fumant signé Trent Reznor



Parlez-moi d'un gars qui a compris l'essence du web et de la culture numérique. Trent Reznor, le chanteur du groupe Nine Inch Nails, un avant-gardiste qui a déjè incité ses fans à «voler» sa musique parce que les compagnies de disque traînent de la patte dans leur offre en ligne, a fait un autre coup surprenant (ça fait déjà quelques semaines, mais c'était passé un peu sous le radar).

Lors de la tournée Lights in the Sky, il semble que des fans ont filmé à l'insu de NIN trois spectacles entiers (dont un à Victoria, en Colombie-Britannique), en haute définition svp.

En tombant sur les bandes, Reznor ne s'est pas le moindrement offusqué de ce «vol» de sa propriété intellectuelle. Au contraire: il a invité son fanclub à télécharger les fichiers vidéo HD sur Bittorrent. If you can't beat them, join them, comme disent les anglais.

>>>Lire la suite sur le blogue de Tristan Péloquin

Source LaPresseAffaires
Par : Tristan Péloquin

Technologie_Sauvegarder ses données en toute sécurité avec des logiciels gratuits



Comme je travaille régulièrement sur mon ordinateur portable, souvent pendant de longues heures, j'aime bien pouvoir faire des sauvegardes quotidiennes. Un peu rebuté par la lenteur des systèmes de sauvegarde en ligne et la grosseur des disques durs externes, j'ai longtemps cherché LA solution. Qui m'a coûté 12$, soit dit en passant.

En fait, les 12$ ont servi à acheter une clé USB. Petite et rapide, elle a tous les avantages... et un gros désavantage: comme je la traîne partout, je risque de la perdre à tout moment. Mais nous y reviendrons.

Ayant toujours en tête mon objectif de trouver LA solution de sauvegarde, j'ai opté pour SyncToy, une toute petite application, d'ailleurs gratuite, développée par Microsoft. Elle fonctionne tout simplement: on choisit deux dossiers (un sur son ordinateur et l'autre sur sa clé USB, par exemple) et l'application se charge de les synchroniser. Contrairement à la bonne vieille méthode du copier-coller, l'application compare les dossiers afin de ne remplacer que les fichiers modifiés.

Les deux copies de SyncToy sont donc parfaitement utilisables. Ainsi, je peux utiliser ma clé USB pour accéder à mes fichiers sur n'importe quel ordinateur: super! Sauf lorsqu'on considère la petitesse de la chose, et les risques de perte. Oups. Je me suis donc tourné vers TrueCrypt, toujours gratuit. L'application m'a permis de créer sur ma clé USB une partition virtuelle cryptée. Ainsi, lorsque j'insère ma clé USB, j'ai deux fichiers: l'exécutable de TrueCrypt, au cas où je devais accéder à mes données sans accès Internet, et un énorme fichier de 7 gigaoctets, qui contient ma partition. Lorsque je souhaite faire une sauvegarde, deux clics dans TrueCrypt et ma partition est montée, prête à être utilisée. Je peux donc lire mes fichiers en tout temps, sans qu'ils soient accessibles par quiconque.

Évidemment, on aurait aimé que SyncToy gère le cryptage des données, mais pour 12$, je me suis bien débrouillé, non?

Plus d'informations sur SyncToy, pour la sauvegarde
Plus d'informations sur TrueCrypt, pour le cryptage

Source : Branchez Vous
Publié par Gabriel Rodrigue

Média_TV, radio, presse : les recettes pub en baisse en janvier



Jingle pub de TF1
Crédits : capture TF1

Nouvelle confirmation de la mauvaise santé du marché publicitaire français : selon TNS Media Intelligence, les investissements publicitaires ont reculé en janvier. Presque tous les indicateurs sont dans le rouge.

Les résultats relatifs à la télévision étaient très attendus après la suppression de la publicité après 20H sur France Télévisions. Selon TNS, le temps d'antenne consacré aux spots publicitaires a baissé de 13%. La baisse la plus sensible est logiquement constatée après 20 heures (- 30%). Le nombre d'annonceurs est lui aussi en baisse (- 13%).

Yacast a dressé un état des lieux chaîne par chaîne. Ainsi, les recettes publicitaires (en brut hors remise) de TF1 ont chuté de 16% entre les 5 et 25 janvier par rapport à la même période de 2008. M6 résiste un peu mieux en enregistrant une baisse de 8%. Seule Canal+ est dans le vert, boostée par son access prime time.

Du côté des stations de radio, TNS fait état d'une baisse de 15% du volume publicitaire en janvier 2009 comparée à la même période de 2008. Le bilan est encore plus sévère du côté de la presse magazine : la pagination publicitaire a fléchi de 17%. La presse quotidienne payante résiste mieux (- 5%).

Source : Ozap.com Publié par Julien Lalande

jeudi 29 janvier 2009

Affichage Numérique_Alioscopy équipe les plus grands aéroports chinois d’écrans 3D relief sans lunettes.





La société française
va équiper les plus grands aéroports chinois d’écrans 42 pouces pour la diffusion de spots publicitaires en relief sans lunettes.. Leader technologique dans le domaine des solutions d’images en relief sans lunettes, fixes ou animées, Alioscopy annonce la signature d’un accord cadre avec TCL Multimédia,
premier fabricant chinois de télévisions, afin d’équiper les aéroports chinois d’écrans relief.

La première installation a d’ores et déjà été effectuée dans l’aéroport de Shenzen où 9 écrans Alioscopy permettent aux voyageurs de visionner des spots publicitaires en relief sans lunette. Une seconde installation sera inaugurée le 15 Mars prochain à l’aéroport de Guangzhou (Canton) où 29 écrans relief seront disposés dans les différents halls.

La société Air Media,
qui détient et gère le principal réseau d’affichage dynamique dans les aéroports en Chine (plus de 2.000 écrans installés) est partie intégrante du projet. Air Media va intégrer les écrans Alioscopy dans son offre et commercialiser des espaces publicitaires relief auprès de ses annonceurs. L’offre intègre également des prestations de création de contenus et de support afin de permettre aux annonceurs chinois de créer des spots en relief.

L’objectif de l’accord est d’équiper à terme les 30 plus grands aéroports chinois, avec un marché potentiel compris entre 500 et 1000 écrans relief.

Ce contrat représente la première installation d’envergure d’écrans relief auto stéréoscopiques dans des aéroports dans le monde, couplée à une véritable offre d’achat d’espaces et de support à destination des annonceurs.

Alioscopy réaffirme ainsi son leadership sur le marché de l’affichage relief sans lunettes, tant au niveau de la qualité de son offre que du caractère novateur des applications mises en œuvre par ses clients.

Alioscopy : la seule technologie relief naturelle

Le relief est une sensation produite par le cerveau, à partir d’une vision différenciée de l’œil gauche et de l’œil droit (vision stéréoscopique). C’est pourquoi le cinéma en relief par exemple, utilise des lunettes spéciales qui permettent à chaque œil de ne voir que l'image qui lui est destinée.

La technologie mise en œuvre par Alioscopy sur ses écrans permet de s'affranchir des lunettes. Elle consiste à mélanger non plus 2 mais 8 images. Un composant optique, appelé réseau lenticulaire, est positionné très précisément sur l'écran. Les microlentilles de ce réseau agissent comme des loupes, qui agrandissent l'un des 8 points de vue de l'image, différent selon l'angle sous lequel on se place. Les deux yeux ne regardant pas l'image sous le même angle perçoivent chacun une image distincte, permettant au cerveau de restituer un parfaite sensation de relief. C'est en quelque sorte l'écran qui porte les lunettes au lieu du spectateur.

En outre, les réseaux lenticulaires offrent l'avantage de restituer toute la luminosité de l'écran. Leur extrême finesse les rend invisibles aux spectateurs. Ils n'altèrent cependant pas l'affichage d'images plates, ce qui rend les écrans Alioscopy compatibles avec tous les contenus existants.

Résultat : la technologie Alioscopy se caractérise par une image d’une grande netteté, et une amplitude exceptionnelle du relief simulé, généralement équivalente en profondeur à la diagonale de l'écran. Un écran de 42" permettra ainsi de représenter une scène d'un mètre de profondeur, voire bien davantage avec certains contenus adaptés, qui peuvent jaillir à 2 mètres au devant de l'écran, ou s'enfoncer de 3 mètres en arrière.

De l’avis de ceux qui ont pu comparer le ‘rendu’ des différentes solutions, Alioscopy est la seule technologie relief ‘naturelle’, suffisamment performante pour se faire oublier. Les spectateurs se laissent prendre par la magie de l'image et se concentrent alors sur le message visuel.

Alioscopy propose aujourd’hui des écrans de 24" et 42".

A propos de Alioscopy
Créée en 1999, Alioscopy est leader technologique dans le domaine des solutions d’images en relief sans lunettes, fixes ou animées. Elle propose notamment des écrans en relief de 24" à 42" à la vente comme à la location, des panneaux imprimés en relief, ainsi qu'une gamme de services allant de la production de contenus au support et au conseil, ainsi que des logiciels dédiés au relief. Basée à Paris, détentrice de 12 brevets internationaux, Alioscopy possède deux filiales, aux Etats Unis (San Diego) et à Singapour.

Source : Ludovia.com

Technologie_Découvrez la puissance du partage avec GlobeMeeting version 5.0



GlobeMeeting, une solution pour les conférences en ligne, annonce, en grande première, le lancement de sa version 5.0.

Le lancement de la version 5.0 symbolise l’arrivée d’une nouvelle ère de partage pour les utilisateurs de GlobeMeeting. Le nouveau module de partage de bureau est une véritable amélioration puisque les tests confirment une grande augmentation de rapidité et de fiabilité.

GlobeMeeting est l’ultime logiciel pour faire des conférences en ligne. Ce logiciel vous permet l’utilisation de technologies avancées sans le besoin d’importantes infrastructures informatiques.

En plus des fonctionnalités de voix sur IP, les utilisateurs de la version 5.0 apprécieront les nouvelles possibilités offertes par le partage de bureau. Grâce à cette nouvelle fonction, les utilisateurs pourront dorénavant profiter de nouvelles possibilités pour collaborer entre usagés, enseigner en ligne, présenter des documents et bien plus.

La version 5.0 de GlobeMeeting est optimisée pour les connexions Internet à faible débit. Il est cependant recommandé pour l’animateur d’une rencontre d’utiliser une connexion haute vitesse. Les participants bénéficieront des options de transfert qui permettent de réduire le nombre d’images par seconde ou le nombre de couleurs transférées par seconde pour maximiser l’expérience du partage de bureau.

Pour plus d’information, visitez le site de la version 5.0 à l’adresse suivante : www.globemeeting-fr.com/view_version5_partage_de_bureau

Renseignements :

GlobeMeeting
Sans frais : 1 866 632-7217

Source : AMPQ

Technologie_Sony : une imprimante tactile intelligente ?




A quoi ressemblera l'imprimante de demain ? Chez Sony, les ingénieurs parient sur un dispositif d'un nouveau genre qui n'est pas sans rappeler la technologie embarquée dans la table Surface de Microsoft. En effet, la firme japonaise a déposé un brevet décrivant un écran tactile couplé à un système d'impression. Cependant la particularité réside dans l'écran qui est capable d'afficher les clichés d'un appareil numérique lorsque ce dernier est posé sur un endroit bien précis.

Lorsque les images apparaissent à l'écran, l'utilisateur pourrait donc les visionner, les manipuler et choisir celles à imprimer. L'on imagine que cette imprimante futuriste utilisera une technologie de transfert de données sans fil (Bluetooth, RFID).

Source : Clubic.com Publiée par Guillaume

Média_Une victoire pour l'industrie des contenus interactifs



Après de longs mois d’attente et de tergiversation, le gouvernement fédéral a enfin confirmé le renouvellement du Fonds des nouveaux médias du Canada (FNMC). Dans son budget rendu public le 27 janvier, il accorde un financement au FNCM « de 28,6 M $ sur les deux prochaines années et, par la suite, de 14,3 M $ par année. »

Marc Beaudet, président du Regroupement des producteurs multimédias (RPM), se réjouit d’une telle annonce. « Il s’agit d’une victoire pour l’industrie de la production des contenus interactifs au Québec et au Canada. Nous félicitons le gouvernement canadien d’avoir agit de la sorte, malgré un contexte économique difficile. »

Dans la foulée des coupures en culture, annoncées à l’été 2008, le RPM est intervenu à quelques reprises sur la place publique, et directement auprès du ministre du Patrimoine canadien, James Moore, pour exhorter le gouvernement canadien à ne pas abolir le FNMC.
Celui-ci est le seul programme d’aide permettant aux producteurs de développer des contenus interactifs non liés à des émissions de télévision.

Pour Marc Beaudet, « Ce fonds a un effet de levier important pour le secteur et tout
particulièrement pour les contenus originaux de langue française. Cela représente au moins 10 M $ en volume de production pour nos sociétés québécoises. De quoi faire vivre des dizaines et des dizaines de créateurs et professionnels de la nouvelle économie des médias. »

Le Regroupement des producteurs multimédia (RPM), créé en 2000, représente plus de
soixante-dix producteurs actifs en production de contenu de commande, de convergence ou original sur les nouvelles plateformes. Le RPM vise notamment à créer un climat propice au développement et à la croissance de la production multimédia au Québec. En ce sens, le RPM fait des représentations actives auprès des gouvernements, gère des ententes collectives avec les syndicats d’artistes et participe à la réalisation d’études sur les réalités économiques et d’affaires du secteur.

Renseignements :

Gilbert Ouellette
Tél. : 514 813-3586

Source : AMPQ

mercredi 28 janvier 2009

Affichage Numérique_L'affichage à l'honneur



Le blogueur David Haynes sera le conférencier d'honneur de la Journée-conférences Infopresse consacrée à l'affichage traditionnel et numérique, le 11 février prochain.

Outre David Haynes, qui partagera ses réflexions sur l'avenir de l'affichage numérique, l'événement rassemblera Nicole Gervais, directrice, recherche et marketing, de CBS affichage, Marc-Olivier Thibault, analyste, recherche, de Métromédia Plus, André Allard, vice-président, ventes-marketing, d'Astral, et Vincent Leclerc, directeur de création d'Eski.

Ces spécialistes viendront démontrer que l'affichage est une valeur sûre, qu'il soit numérique ou traditionnel. Ils traiteront aussi des dernières tendances en affichage.

Nicole Gervais et Marc-Olivier Thibeault présenteront l'outil Transit, qui permet la planification web des publicités dans les transports en commun. André Allard, lui, expliquera sa vision et l'évolution du média qu'est l'affichage, en plus de parler des dernières innovations d'Astral. Vincent Leclerc présentera quant à lui les nouvelles technologies d'affichage, dont Led, une création d'Eski.

Pour plus d'information et pour vous inscrire, cliquez ici.

Source : Infopresse
par L'équipe de rédaction

Média_Endemol et Marathon lancent des séries de fiction pour le web



Les sociétés de production Endemol France et Marathon lancent chacune en janvier une série de fiction, composée d'épisodes de quelques minutes au plus et destinée uniquement au web.

Marathon a annoncé lundi le lancement sur msn.fr de «Dingo ou mytho», présentée comme la première série de fiction française diffusée sur MSN.

Cette série humouristique, coproduite par Marathon Digital (division nouveaux médias du groupe Marathon) et Kabo Productions, met en scène «deux stagiaires journalistes dans une rédaction web, avides de trouver le scoop qui leur permettra d'accéder à un vrai job», selon le communiqué.

«Dingo ou mytho», série de 15 épisodes de 2 minutes 30, sera mise en ligne à partir du 30 janvier sur MSN.fr, à raison d'un épisode tous les vendredis.

Depuis le 22 janvier, Endemol diffuse «Cell», présentée comme «la première fiction européenne produite pour une diffusion 100%" sur internet. «Cell» (qui signifie cellule de prison ou téléphone mobile) a été produite par Endemol UK et déjà diffusée en Grande-Bretagne.

En France, elle est diffusée, à raison de deux épisodes de 2 minutes par semaine, par BlogBang, un réseau publicitaire d'affiliation de médias personnels (type blogs). «Cell» est disponible gratuitement sur www.blogbang.com/cell.

Ces 20 épisodes de 2 minutes racontent l'histoire du jeune Spence, qui se réveille dans une cellule de prisonnier, sans pouvoir se souvenir de ce qui l'a amené là. Seul lien avec l'extérieur, un téléphone portable qui transmet des messages mystérieux.

Source : LaPresseAffaires via Agence France-Presse

Pub_Semaine de la pub: Montreal.ad est officiellement en ligne



Hier soir, lors du lancement de la Semaine de la publicité, a eu lieu le lancement du nouveau site web Montreal.ad.

Le projet, initié par l'Association des agences de publicité du Québec (AAPQ), souhaite être un nouvel outil de rayonnement pour l'industrie publicitaire québécoise.

Mis sur pied afin de générer de nouvelles solutions d'affaires et de positionner les firmes de communication marketing à l'échelle internationale, la plateforme veut permettre aux publicitaires d'ici d'affirmer les compétences stratégiques et créatives qui les caractérisent.

"Par cette offensive, nous voulons mettre en valeur les créatifs d'ici, mais aussi rehausser le niveau général de l'industrie en vue d'attirer de nouveaux talents et de grands annonceurs" dit Sébastien Fauré, président du conseil d'administration de l'AAPQ ainsi qu'associé principal et président de Bleublancrouge.

Au cours des prochains mois, une section sera entièrement consacrée aux partenaires créatifs de l'industrie.

Enfin, le nouvel outil vise à consolider la réunion des acteurs de l'industrie, qui doivent se mesurer aux publicitaires émergents de niveau international dans un contexte de mondialisation.

Hier soir, était aussi présentée la rétrospective "50 de pub au Québec".

Découvrez demain en exclusivité toutes les photos de l'événement sur Infopresse.com.

Source : Infopresse
par Marianne Chouinard

Technologie_Samsung BD-P2500




En attendant les modèles de l’année 2009 ultra plats et au design révolutionnaire pour ce type d’appareil, voici la dernière platine Samsung capable de lire les disques Haute Définition Blu-ray, la BD-P2500.
Issue de la quatrième génération de platine Blu-ray, la BD-P2500 est dotée de toutes les technologies nécessaires pour profiter pleinement d’un grand spectacle, chez soi. Pourtant, cette platine est malgré tout abordable puisque lancée à moins de 400 euros.
Mais est-elle performante ? Est-elle aussi équipée que cela ? Voyons toutes ces caractéristiques et impressions au cours d’un test complet.

La prise en mains
Samsung propose depuis plusieurs années maintenant un vrai effort en matière de design. La platine BD-P2500, si elle ne dénote pas à côté des platines du même type propose cependant des lignes attrayantes avec un châssis laqué. On apprécie. La façade semble légèrement bombée vers l’avant. Elle est très sombre et ne laisse apparaître que peu de boutons.

Samsung
BD-P2500 face

Il y a bien le tiroir pour le disque, un bouton pour l’éjecter, un écran LCD et un bouton contenant les quatre commandes principales : lecture/pause, stop, avance et retour.
C’est très sobre.

Les connectiques
Elles sont nombreuses pour ce type d’appareil. En effet, en plus de proposer des sorties vidéo, la platine Samsung BD-P2500 dispose également de sorties audio analogiques 7.1. Cela permet de relier directement un système d’enceintes. On apprécie. En outre, on peut compter sur une sortie HDMI 1.3 compatible Deep Colors, une triplette RCA YUV, une sortie vidéo Composante, une sortie S-Vidéo ainsi que des sorties audio analogiques stéréo et optique numérique.

Samsung BD-P2500 connectiques

Un port Ethernet permet de connecter la platine à un routeur ou un modem afin de profiter des bonus interactifs disponibles sur certains disques Blu-ray.
Une prise USB est également disponible. On pourrait croire qu’elle permet de lire les fichiers audio, vidéo et pourquoi pas photo stockée sur une clé amovible ou un disque dur externe. En fait, non. Cet emplacement permet de stocker
Les bonus interactifs se téléchargent à partir d’Internet. Certains demandent de la mémoire interne pour un stockage temporaire ou définitif. Ainsi, la platine Blu-ray Samsung BD-P2500 est dotée d’une mémoire interne d’un Go. En outre, il sera toujours possible d’étendre cette capacité avec une clé USB que l’on branche sur la prise USB.

Samsung BD-P2500 gestion stockage durable

Les menus et réglages
Les menus sont assez simples bien que complets. En effet, ils permettent de régler au mieux et au plus précis les paramètres d’images, de son, de mise en réseau et de gestion de la mémoire interne et externe.

Samsung BD-P2500 menu

Il est ainsi possible de définir la résolution d’affichage (jusqu’en 1080p), de régler le mode de trame vidéo (24 images par seconde) ou encore de régler les paramètres audio comme la taille des enceintes reliées à l’appareil via un amplificateur externe qui ne saurait pas décoder les formats audio HD ou encore le mode de décodage des bandes sonores.

Samsung BD-P2500 paramètres hp

Côté son, on peut faire transiter les bandes sonores DTS-HD Master Audio via la prise HDMI vers un amplificateur doté de décodeur de ce format.
Enfin, si on connecte la platine à un réseau informatique pour lui permettre d’accéder aux mises à jour et aux bonus disponibles sur certains disques Blu-ray, un menu spécifique sert à configurer l’appareil afin qu’il s’intègre dans le réseau. Ainsi, on choisit le mode DHCP avec attribut automatique d’une adresse IP pour plus de facilité. Cependant, les plus exigeants peuvent saisir une adresse IP fixe.

Samsung BD-P2500 dhcp

La platine Samsung BD-P2500 propose le réglage de l’image à travers deux paramètres : la précision et la réduction du bruit en DVD. Ces deux fonctions peuvent être régler sur Elevé, Moyen, Faible ou désactivé. À l’usage, nous recommandons les réglages Moyen voire Faible au risque de voir apparaître des fonds trop prononcés sur certaines séquences et des personnages qui ne sonnent pas réels.

Samsung BD-P2500 paramètres-image

La platine propose un port USB Host. On se dit alors que l’on va pouvoir profiter de la musique, des vidéos et des photos via cette connectique mais malheureusement, il n’en est rien. En effet, cette prise ne sert qu’à effectuer les mises à jour de la platine.
La BD-P2500 sait lire la musique uniquement au format CD-Audio. Les MP3 ou WMA ne sont pas acceptés. Les fichiers images ne sont pas non plus lus par la platine. Seuls les DivX, depuis l’une des dernières mises à jour, sont acceptés. La qualité vidéo obtenue n’est pas extraordinaire et dépendra de la qualité d’encodage originale. Notez que notre premier CD de test, finalisé sous Windows Vista, n’a pas été accepté par le lecteur. Il a fallut graver les fichiers grâce à Nero.

Samsung BD-P2500 lecture Divx

Les mises à jour
Elles peuvent être effectuées de trois façons différentes : via une clé USB contenant le fichier du nouveau firmware, via un CD ou un DVD ou via le réseau informatique et sa prise Ethernet.
L’opération demande environ 30 minutes. Ne prévoyez pas de la lancer juste avant de regarder un film, le soir, madame ne sera pas très contente de patienter pendant tout ce temps devant une barre de progression.

Samsung
BD-P2500 mise à jour

La mise à jour ne requiert aucune connaissance particulière. Il suffit de valider le fichier ou l’opération et quelques minutes plus tard, la platine s’éteint toute seule.
Voilà un bon moyen de garder une platine à jour sans bourse délier.

À l’usage
En lecture, les informations sur les débits, les codecs utilisés, etc. ne sont malheureusement pas légion. On apprécie sa rapidité de démarrage qui n’a rien à voir avec les précédents modèles et certaines platines concurrentes. Moins de 20 secondes sont nécessaires pour obtenir les premières images.
La platine offre la fonctionnalité BD Profile 2.0 qui s’avère intéressante. En effet, les disques Blu-ray compatibles permettent de télécharger des éléments sur le film ou de visionner du contenu en ligne. Reste que l’offre n’est pas encore très étendue et que cette fonction est un peu lourde à utiliser pour l’instant (temps de chargement, langues disponibles, clarté des menus, …). Rappelons que cette technologie n’en n’est qu’à ses balbutiements.
D’une façon générale, la navigation dans les menus et le lancement des menus du disque est très agréable car elle ne souffre d’aucun ralentissement.
Pour la partie vidéo, la mise à l’échelle ou l’upscaling des DVD est effectuée par une puce HQV (Hollywood Quality Video) Reon à la différence des précédents modèles qui embarquaient une puce de moindre performance. Ici, à l’image du label THX, l’image est éclatante et très bien traitée. Le traitement vidéo est ici haut de gamme. Les détails sont rendus fins et les images sont très dynamiques.
En Haute Définition, là aussi, l’image est de très haut vol. Les bruits sont limités et les profondeurs de champs sublimes. Les grains de peau sont magnifiques et les couleurs éclatantes. Un spectacle total si le disque original est bien pressé, car ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Les films Casino Royal et L’Age de Glace 2 bénéficient ici d’un affichage hors pair. Un sans faute.
Livrée avec deux films : Iron Man et Mr & Mrs Smith, et lancée à moins de 400 euros, cette platine Samsung BD-P2500 est actuellement notre référence qualité/prix.
À l’usage, la consommation est assez limitée. En effet, la platine Samsung BD-P2500 consomme environ 38 Watts en lecture Blu-ray et de moins de 3 Watts en veille.

La télécommande
Elle ressemble beaucoup à celle des téléviseurs de la marque. Elle est fine et grande. Elle dispose d’un bouton permettant l’éjection du tiroir de disque à distance. Toujours pratique. Les boutons de contrôle de l’image (lecture, pause, avance, retour, stop, etc.) sont phosphorescents. Elle s’avère relativement simple à utiliser. Elle peut contrôler sommairement un téléviseur grâce à des boutons de changement de chaînes, volume, coupure du son, entrée audio/vidéo et marche/arrêt.

Samsung BD-P2500 télécommande

>> Lire notre comparatif de platines Haute Définition.
On apprécie On apprécie moins
- La qualité d’image produite en SD et en HD
- Les formats audio acceptés
- La lecture DivX possible
- Les nombreuses connectiques - Manque quelques informations aux puristes
- Pas de lecture multimédia via la prise USB

Notre avis
Pour nous, c’est LA platine Blu-ray de référence en matière de rapport qualité/prix. À moins de 400 euros, elle offre tout ce que la Haute Définition audio et vidéo propose et avec des traitements audio et vidéo disponibles sur des platines plus chères et plus haut de gamme.
Les mises à jour permettent de garder une platine dans le coup. Elle permet d’obtenir une image parfaite pour les Blu-ray, une très belle image pour les DVD et de lire les DivX dans la plus belle des résolutions actuellement disponibles : 1080 lignes en mode progressif. Les plus exigeants et les plus fortunés regarderont du côté des platines Pioneer qui offrent une qualité comparable avec des composants plus audiophiles.

Fiche Technique:
Type : Lecteur HD Blu-ray
Processeur : HQV 1080p 24p
Définition : 576p, 576i, 720p, 1080i, 1080p, 1080p 24p
Connectiques : HDMI 1.3, S-Vidéo, Composite, Composante, Audio Stéréo, Audio optique numérique, 7.1, Ethernet RJ45
Décodage audio : Dolby Digital, Dolby Digital Plus, DTS, DTS HD, Dolby True HD
Compatible : DTS-HD Master Audio
Compatibilité : VC-1, MPEG-2, H.264, DivX
Conso. (marche/arrêt) : 38 W/<3 W
Dimensions (mm) : 430×59×271
Poids : 2,9 Kg

Source : LeMondeNumérique.com

mardi 27 janvier 2009

Affichage Numérique_Le tableau vert remplacé par le Smart Board




En vente au Québec depuis 2004, les tableaux interactifs Smart Board, obtiennent de plus en plus de popularité dans les écoles. Après Québec et Trois-Rivières, c'est au tour des écoles du Bas-Saint-Laurent de saluer l'arrivée de cet outil technologique informatisé. Serait-ce la fin du coup de craie sur le tableau noir qui faisait «grincer des dents» les étudiants turbulents?

Ce sont les enseignants des écoles de l'Étoile-Filante de Saint-Onésime, de l'Orée-des-Bois de Sainte-Louise et de la Marée-Montante, de Saint-Roch-des-Aulnaies, qui en profitent. «Le tableau fonctionne à partir d'un projecteur multimédia, d'un ordinateur portable et d'un logiciel d'animation pédagogique.

Celui-ci interprète le toucher comme le fonctionnement d'une souris», explique M. Guy Lavoie, de la commission scolaire Kamouraska-Rivière-du-Loup.C'est dire qu'en deux temps trois mouvements, une foule d'activités pédagogiques prennent forme au tableau, qu'elles soient auditives, visuelles ou tactiles. Le premier de ces tableaux interactifs a été installé dans la salle informatique de l'école de la Marée-Montante. Les enseignants des trois écoles ont pu l'expérimenter récemment.

«Cela se situe à des années-lumière des vieux projecteurs à transparents. L'échange entre l'enseignant et ses élèves est favorisé. L'outil interactif exploite au maximum les différentes fonctions multimédias de l'ordinateur : textes, images, présentations, extraits sonores, vidéos, sites Web, et autres», poursuit M. Lavoie.

Le directeur de ces écoles, Michel Ducharme, s'attend à ce que le tableau interactif devienne un outil fort prisé par les enseignants. «Après seulement une heure de présentation, les professeurs étaient prêts à l'utiliser. Le logiciel comporte plusieurs avantages, a aussi des fonctions d'édition, de sauvegarde et de partage de contenu», dit-il.

Par exemple, il est possible, dans l'espace de travail, de faire appel à un rapporteur d'angle virtuel et de procéder en quelques secondes à des mesures devant la classe. «Sur le tableau blanc, vous pouvez ensuite ajouter au crayon vos commentaires, puis encercler en rouge ce que vous jugez important. Il est même possible d'enregistrer l'ensemble des explications et les remettre aux élèves pour révision.

Pour le directeur, la majorité des jeunes sont pratiquement nés en même temps que le Web. «Le courrier électronique, les blogues, le clavardage, les forums, les moteurs de recherche, les sites Internet font partie de leur culture. Ce n'est pas un mystère pour eux. Avec le tableau interactif, nous avons la possibilité de les rejoindre dans leur monde, de capter leur attention. Ils peuvent participer davantage au processus d'apprentissage.»

Les Écoles de l'Étoile-Filante, de l'Orée-des-Bois et de la Marée-Montante ont acheté neuf tableaux interactifs au coût de 1500 $ l'unité. À cela s'ajoutent le projecteur et l'ordinateur, pour un total de plus de 3000 $ par ensemble. «C'est un investissement important, mais qui va porter fruit. Ce sont nos élèves qui en seront les grands bénéficiaires», conclut M. Ducharme.

La commission scolaire prévoit installer d'autres tableaux Smart Board dans ses écoles d'ici peu. Plus de 500 de ces tableaux ont déjà été installés dans les écoles de la province.

Source : LaPresseAffaires par : Marc Larouche

Technologie_Du plomb dans la musique



Qu'y a-t-il dans votre iPod? Non, non, pas ce que vous écoutez. Je veux dire, savez-vous de quoi il est constitué? Apple fait de gros efforts pour que ses produits soient le plus écologiques possible, mais il reste, par exemple, du plomb dans la pile. Imaginez s'il se retrouve au dépotoir! Heureusement, ça risque de beaucoup moins se produire d'ici peu.

Il ne s'agit pas de stigmatiser Apple. J'utilise le iPod comme exemple parce qu'à la vitesse où il évolue, sa durée de vie est limitée; parce que les prix ont chuté et parce que sa petite taille le rend plus susceptible d'être balancé à la poubelle. La compagnie a essuyé de nombreuses critiques à ce sujet, ce qui ne l'a pas laissé indifférente : un programme de recyclage gratuit a été mis en place depuis quelques semaines.Reste que les efforts écologiques de producteurs de matériel électronique varient énormément. Qui plus est, les programmes de récupération sont rarement conviviaux?: il faut parfois chercher longtemps et faire beaucoup d'efforts pour pouvoir se débarrasser adéquatement de son lecteur DVD, de son ordinateur, de sa caméra vidéo ou de son vieux téléviseur. À preuve, notre article de samedi, qui révélait qu'au Québec, 80 % des téléviseurs et environ la moitié des déchets électroniques se retrouvent au site d'enfouissement.

Or, le problème risque de s'aggraver. Par exemple, trois quarts des foyers ont maintenant un lecteur DVD, presque 100 %, au moins une télé et la moitié, un cellulaire. Ceux-ci sont truffés de produits toxiques : plomb, cadmium, béryllium, mercure, polychlorure de vinyle (PVC), ignifugeants bromurés (BFR), etc.

Dans cette optique, le nouveau règlement-cadre du gouvernement du Québec arrive à point nommé. Celui-ci obligera les producteurs de produits électroniques, mais aussi de piles, de lampes au mercure (fluocompactes et autres), d'huile et de peinture, à mettre en place un programme de récupération. Des frais environnementaux financeront le coût des programmes.

La province adopte ainsi une approche logique et cohérente, basée sur le principe du pollueur-payeur et de l'utilisateur-payeur. On évite ainsi de faire payer à l'ensemble de la communauté, par les taxes municipales, le coût de traitement de ces matières. Pourquoi quelqu'un qui se contente de peu devrait-il partager la facture de celui qui change de portable aux deux ans?

Il y a tout de même un hic. Le gouvernement Charest compte publier le règlement dans la Gazette officielle d'ici l'hiver, comme c'est son droit, et il s'appliquera graduellement selon les produits. Il a certainement de bonnes raisons de le faire, mais il soustrait ainsi au débat public des questions primordiales.

Le règlement contiendra-t-il une clause qui obligera les compagnies à garder les déchets toxiques à l'intérieur des frontières du pays? Légalement, Québec peut-il l'exiger? Il y aura peu ou pas de gains environnementaux si on expédie les déchets en Afrique ou en Asie. En raison du transport, mais aussi parce qu'on s'en débarrasse dans des pays où une armée de pauvres les démantèle sans aucune protection. L'impact écologique est catastrophique et largement documenté.

Côté financement, y aura-t-il des dispositions pour s'assurer que l'argent sert bel et bien au traitement des matières? Québec pourrait créer un organisme semblable à Éco Entreprises qui recueille auprès des entreprises les sommes qui servent à financer (en partie) la collecte sélective. Ou, au moins, adopter un modèle similaire.

Autre question : pourquoi Québec ne voulait-il pas, aux dernières nouvelles, que le coût lié aux frais environnementaux apparaisse tel quel sur la facture comme le demande l'industrie? On veut, dit-on, éviter que ce soit perçu comme une taxe. Fort bien. Mais le fait de prendre conscience des coûts liés aux impacts environnementaux est, il me semble, la meilleure façon de nous inciter à réduire notre consommation.

Et s'il faut absolument changer d'appareil, on peut aussi envisager la réutilisation, soit en le donnant, soit en lui donnant une deuxième vie. Reprenons l'exemple du iPod. Une fois mis au rancart», il peut très bien servir de disque dur externe pour enregistrer des données et effectuer des copies de sauvegarde. Pas mal, non?

Références

Les télés au dépotoir: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/200901/23/01-820418-80-des-teles-au-depotoir.php

Des idées de réutilisation du iPod: http://blog.brasseo.net/2008/12/28/5-idees-pour-recycler-votre-vieil-ipod/

Recycler votre iPod: http://www.apple.com/ca/fr/environment/recycling/ipodrecycling/

Source : LaPresseAffaires
Par : Éric Moreault

Technologie_Téléviseurs HD: toujours plus grands, plus puissants et plus minces




Les téléviseurs à écran plat ont sans doute été l'objet de convoitise par excellence des derniers mois. Effilés, élégants et performants, ils ont de quoi plaire, surtout avec la chute de leur prix de détail, l'automne dernier. Mais ce n'est pas fini: les nouveaux modèles proposent plus de nouvelles fonctions encore. Avec un peu de tape-à-l'oeil, évidemment...

LG 55LHX

Dévoilée pour la première fois il y a un mois, la série LHX de téléviseurs HD à ACL de LG Electronics incarne à elle seule tout ce qui définit la prochaine vague de nouveautés dans ce marché. Car non seulement est-elle plus mince que jamais, à 2,5 centimètres, mais elle est aussi d'une taille qui se veut la prochaine norme, si on se fie aux fabricants. Pour le prix d'un téléviseur de 32 pouces en 2007 ou d'un 42 pouces l'automne dernier, en 2009, place aux modèles de 50 pouces de diagonale! En magasin le mois prochain, le modèle 55LHX fait justement 55 pouces (d'où son nom).

Cela dit, sa minceur ne s'obtient pas au détriment de l'image. On a simplement remplacé le traditionnel rétroéclairage fait de fluorescents par une technologie à diodes électroluminescentes (DEL) beaucoup plus mince, mais davantage lumineuse. Ces DEL sont contrôlées électroniquement en 240 petites zones qui s'allument et s'éteignent séparément, afin de produire des contrastes plus prononcés. LG évalue pompeusement le rapport de contraste de ce modèle à 2 000 000:. Le résultat n'est pas parfait, mais c'est néanmoins mieux que les premières moutures de TVHD à DEL (la série LG90 introduite l'an dernier découpait l'image en 120 zones). LG inclut aussi un logiciel d'installation qui aide à ajuster les réglages en fonction de l'ambiance de la pièce.

Ce n'est pas tout. Le taux de rafraîchissement de l'image est cadencé à 240 hertz, le double des 120 Hz des modèles lancés l'automne dernier. Un lecteur de clés USB peut lire les fichiers encodés au format DivX-HD, une connexion réseau permet d'accéder au contenu stocké sur un ordinateur personnel ainsi qu'un accès direct aux sites Web de partage de contenu vidéo comme Youtube et, aux États-Unis, Netflix et CinemaNow.

Enfin, clou du spectacle, ce téléviseur est livré avec une borne de branchement sans fil, à laquelle on connecte d'autres appareils électroniques, tels un lecteur DVD ou un cinéma maison. Celle-ci transmet l'information au téléviseur par connexion sans fil sans compression de 60 GHz. Ce qui signifie que seul le câble d'alimentation se rend au téléviseur.

LG 55LHX

TVHD (1080p) à ACL de 55 pouces

Éclairage à DEL avec contrôle d'allumage de 240 zones

Rapport de contraste de 2 000 000: 1

Rafraîchissement d'image de 240 Hz

Réglage automatique de luminosité

Ports HDMI (4), USB et Ethernet (UPnP)

Borne de connexion sans fil de 60 GHz

Prix: n. d.

L'option: un chic téléviseur au plasma signé Panasonic

Conséquence de la popularité croissante de l'affichage à cristaux liquides (ACL), plusieurs pensent que la technologie au plasma pourrait lentement s'effacer du marché des téléviseurs HD. Panasonic n'est pas de cet avis, comme en témoigne la nouvelle série Viera S1 de TVHD, qu'elle mettra en marché le mois prochain. Elle est composée de trois modèles faisant respectivement 42, 46 et 50 pouces de diagonale, qui seront probablement les plus abordables de la famille Viera au plasma.

Cette série a droit à une nouvelle génération d'affichage au plasma, appelée Neo PDP, qui est à la fois plus abordable, moins énergivore et tout aussi lumineuse que la technologie utilisée précédemment par Panasonic. En prime, elle accroît le rapport de contraste de l'image à 40 000: 1, une caractéristique rehaussée par un contrôle électronique qui éteint carrément l'affichage lorsqu'il est totalement assombri. Panasonic ajoute par ailleurs que ce modèle présente un taux de rafraîchissement de l'image évalué à 600 Hz, faisant ainsi un pied de nez aux téléviseurs ACL et à la surenchère de marketing entourant cette caractéristique jugée superflue par bien des observateurs. Détail intéressant pour les cinéphiles endurcis, la qualité de l'image de ces téléviseurs est «certifiée THX», ce qui assure une résolution maximale, de même qu'une haute fidélité des couleurs et de la luminosité.

Côté connectivité, ce téléviseur est aussi en mesure de lire le contenu tiré d'un appareil photo ou d'un caméscope HD, de même que de sites Web comme Youtube ou Dailymotion.

Panasonic Viera S1

TVHD (1080p) au plasma de 42, 46 ou 50 pouces

Certification d'image THX

Rapport de contraste de 40 000: 1

Rafraîchissement d'image de 600 Hz

Ports HDMI (3), Ethernet

Prix: n. d.

Source : LaPresseAffaires Par : Alain Mc Kenna

E-Commerce_Céline Dion met en vente «l'expérience ultime du fan» sur eBay




Céline Dion met en vente sur eBay la possibilité de venir la rencontrer, elle et ses danseurs, dans les coulisses de son spectacle à San Jose, en Californie.

Les quelques milliers de dollars avancés par le plus haut enchérisseur d'ici 15h47 (heure normale de l'Est) ce lundi seront versés à la fondation de la diva québécoise.L'«Ultimate Fan Experience», qui comprend deux billets VIP pour le spectacle «Taking Chances» du 20 février, à San Jose, est proposée sur le site de vente aux enchères eBay depuis le 16 janvier.

Les enchères ont été lancées à 5000 $ US; tôt ce lundi matin, la plus haute mise était de 16 400 $ US.

Source : LaPresseAffaires

lundi 26 janvier 2009

Affichage Numérique_Etats-Unis : Le distributeur automatique tactile et vidéo de Samsung, Sapient et Coca-Cola bientôt déployé

Une des sensations du récent CES, le distributeur automatique réalisé par Samsung, Sapient et Coca-Cola, sera testé dans une vingtaine de centres commerciaux du groupe Simon.

Rappelons le dispositif décline une devanture vidéo tactile, permettant, outre d’acheter un soda, de décliner des messages commerciaux et des jeux interactifs. Il dispose également de capacité Bluetooth permettant l’envoi d’informations vers des terminaux mobiles.





Source : OOH-TV

Web_Internet haute vitesse: la population en veut-elle vraiment?



Depuis plusieurs années, le Québec tente de brancher ses régions rurales: plusieurs d'entre elles n'ont toujours aucun moyen d'accès haute vitesse. Bientôt, tous les Américains pourraient être branchés, expliquait le nouveau président, Barack Obama. Mais en veulent-ils vraiment? Non, révèle le Pew's Internet & American Life Project dans une récente étude.

En effet, l'étude révèle que même si les connexions haute vitesse étaient disponibles partout et plus abordables, seulement un tiers des internautes connectés via téléphone s'y brancheraient. Les deux tiers restants n'en voudraient donc pas.

Des 25% des internautes américains qui n'utilisent pas l'Internet régulièrement, 10% considèrent la navigation trop «difficile» et 7% disent ne pas avoir plus de temps à y consacrer.

Les internautes branchés via une connexion haute vitesse, quant à eux, semblent en vouloir toujours plus. En effet, un tiers des Américains branchés via une connexion haute vitesse ont dit être prêts à augmenter leur vitesse de connexion dès que possible.

Si l'étude était réalisée au Québec, les conclusions seraient-elles les mêmes? Difficile à dire. En attendant, voilà de quoi donner raison aux fournisseurs canadiens, qui améliorent de façon continue les réseaux des grandes villes, au détriment de régions qui n'ont souvent aucune alternative à la connexion téléphonique.

Les résultats de l'étude «Stimulating Broadband: If Obama builds it, will they log on?» sont disponibles en ligne.

Source : Branchez Vous
par Gabriel Rodrigue

Média_Les radios musicales ont-elles encore un avenir ?



Supplantées par Internet, confrontées au vieillissement de leurs auditeurs et à la baisse de leur audience, NRJ, Fun ou Virgin vont devoir rebondir. Panique on the air.

Vieilles, usées, inutiles. Ainsi donc, à croire quelques embaumeurs de cadavres, les radios musicales ne seront bientôt qu'un souvenir, témoins jaunis d'une époque florissante où, alors épanouies et conquérantes, elles se trouvaient en tête des audiences, laissant loin derrière elles les radios généralistes. Mais voilà, les années 90 sont passées et l'arthrose est venue s'installer dans les articulations de ces stations qui croyaient à leur éternelle jeunesse. Ainsi Fun, Virgin, Chérie FM, Nostalgie et NRJ – la plus emblématique d'entre elles – ont perdu de leur superbe. Depuis six ans, elles assistent à la dégringolade de leur audience. En 2002, NRJ coiffait la couronne de première radio de France avec 13,4 % d'audience et six millions d'auditeurs. Aujourd'hui, les chiffres de Médiamétrie de janvier la donnent à 10,7 %, loin derrière RTL, à peine au-dessus de France Inter... A qui la faute ? A Internet, bien sûr, qui renverse tout sur son passage. Le constat est partagé par tous. Qu'ils s'appellent Jean-Christophe Lestra, directeur des radios musicales du groupe Lagardère (Virgin Radio et RFM), Jérôme Fouqueray, responsable du pôle musical du groupe RTL (Fun et RTL2), Jean-Paul Baudecroux, président-fondateur du groupe NRJ, ou encore Pierre Bellanger, président-fondateur de Skyrock, la radio rap et R'n'B, la seule à plutôt résister à la crise.

Quel intérêt peut-on encore trouver à se brancher sur une station pour écouter de la musique, alors qu'on trouve tout sur le Net ? Pourquoi se contraindre aux choix d'une radio FM, puisque des sites comme YouTube, Dailymotion ou Deezer offrent instantanément et gratuitement des dizaines de milliers de titres ? Désormais, un clic suffit pour échanger des fichiers entre amis, podcaster chanson ou émission (y compris, dès lundi, sur le nouveau player de Télérama.fr), écouter sur son ordinateur ou son iPhone soit une station hertzienne, soit l'une des dizaines de milliers de webradios, toutes plus inventives les unes que les autres et qui se multiplient sur la Toile. Non seulement ces radios proposent toutes sortes de musiques, mais aussi offrent la possibilité de constituer son programme selon ses goûts et ses centres d'intérêt. Des sites comme pandora.com permettent en entrant un seul titre d'écouter tous ceux qui en sont proches. A l'instar de l'industrie du disque, qui se cherche un nouveau destin, les radios musicales privées traditionnelles ont perdu leur légitimité.

« L'âge d'or des radios musicales est terminé, assure Aymeric Mantoux, auteur d'une enquête sur NRJ (1). Certes, Internet remet en cause le modèle économique de la FM, comme les radios libres ont remis en cause celui des "périphériques" (2). Mais ces patrons qui avaient été visionnaires en 1981 ont complètement raté la révo­­lution numérique. Ils ne l'ont pas vue venir parce qu'ils n'y ont pas cru. NRJ, pour parler plus spécifiquement d'elle, a perdu ses repères. Voici vingt-sept ans qu'elle occupe le paysage, avec le même concept, la même direction. »

L'usure, donc. Avec leurs dirigeants uniques, leurs auditeurs vieillissants, leurs marques bien installées qui semblent ne plus offrir de surprises, ces radios sont au bout d'un cycle. « Quand vos auditeurs vieillissent comme ceux de NRJ, puisque qu'ils ont entre 25 et 70 ans, c'est le début des emmerdes. Parce que cela oblige à une programmation hybride », explique Roberto Ciurleo, ancien directeur des programmes de NRJ, parti lancer en 2007 un nouveau bouquet de radios numériques sous le titre générique de Goom Radio. Avec un budget de 50 millions d'euros et cinquante salariés, il entend bien terrasser la concurrence en profitant des possibilités immenses de la Toile. « Yacast, organisme qui analyse de près la consommation de la musique, affirme qu'entre 2000 et 2008 seule 4 % de la production musicale a été diffusée en radio-télé. Il existe cinq à six millions de titres disponibles sur iTunes et seuls 4 % du catalogue réalisent 80 % du chiffre d'affaires. » Il y a donc de la place mais pas de place pour tout le monde. Dans ce secteur extrêmement concurrentiel, seuls quelques heureux gagneront en effet le loto de cette nouvelle diffusion musicale. NRJ le sait, qui multiplie les procès contre les dirigeants de Goom Radio, accusés de copiage, pillage et concurrence déloyale. La guerre fait rage.

Contraintes de se remettre en cause, les radios ont toutes essayé de vitaminer leur grille de la rentrée de septembre en débauchant des animateurs, de célèbres DJ et même des dirigeants. Ainsi, Jean-Paul Baudecroux a fait revenir à la direction des programmes Christophe Sabot, un ancien de NRJ débauché par Lagardère. Objectif : remonter l'audience et se lancer à corps perdu sur le Net. Avec pour mots d'ordre : se montrer résolument optimistes et assener des slogans comme « Internet est le meilleur ami de la radio », « Nous voulons devenir un iPod vivant » ou « Nous sommes très confiants pour l'avenir », « Notre but est à nouveau de devancer RTL ». Un rêve certainement, une illusion plus sérieusement. Contrainte de cesser d'être autre chose qu'un déversoir de hits et une machine à fabriquer de l'argent, la radio n'a en tous les cas pas d'autres choix que de changer son image et mettre un peu de contenu là où celui-ci était quasi inexistant.

« Leur tentative de changer de stratégie, de logo ne suffira pas », prévoit Yves Malbrancke, ancien de NRJ (encore !) parti créer son entreprise de conseil. Pas gagné, en effet, le redressement souhaité, l'implantation sur le Web. Trop tard. Ou du moins très difficile. Il aurait fallu que NRJ prenne le train d'Internet dès le début comme le fit Skyrock en créant ses Skyblogs, dont le nombre ne cesse de progresser de « 30 % chaque année ». Autre atout dans la manche de la radio de Pierre Bel­langer : le maintien d'émissions de libre antenne. Grâce à Difool, son animateur vedette depuis douze ans, elle reste la première radio de France à partir de 21 heures. Avec 15,4 points d'audience, loin devant Europe 1 et ses 7,3.

Dans un texte (3) où il livre sa « vision de la radio à l'âge d'Internet », Pierre Bellanger considère que sa force et son avenir résident dans son essence même, c'est-à-dire « sonorité vivante ». « Qu'elle soit incarnée par des personnalités ; qu'elle s'exprime par l'émotion, le réel, la participation des auditeurs, la découverte ; qu'elle s'exprime aussi par le choix musical, affaire de talent, d'intuition et d'expérience, un choix qui ne suit pas, mais qui précède. » Il poursuit : « Il n'y a pas de fatalité à ce que le hérisson soit écrasé par la voiture. La chance lui est donnée de prendre le volant. La radio traditionnelle a un extraordinaire champ de possibles et un destin positif tout tracé. » Le déclin de ces radios pour jeunes ne serait pas inexorable. Alain Weill, ancien NRJ, président-fondateur de RMC Groupe, l'assure. « Il ne faut pas céder au pessimisme ambiant. Réagir est possible. Comme la voiture, la radio musicale va trouver un nouveau modèle. » A condition d'abandonner les stratégies de low cost et d'injecter une bonne dose d'inventivité.

Source : Telerama.fr
Véronique Brocard

Média_Radio Canut : Cette fois, c'est peut-être la fin



«La plus rebelle des radios», Radio Canut, a refusé de déposer son dossier de candidature pour passer au numérique. La radio autogérée des pentes de la Croix-Rousse, née dans la clandestinité à la fin des années 1970, a traversé des débats et remises en question par le passé, et aurait pu sombrer à plusieurs reprises. Mais cette fois, la solution ne dépend pas d’elle…

La plus ancienne station associative lyonnaise a refusé de postuler auprès du CSA pour obtenir une fréquence sur la future radio numérique terrestre (RNT). La date limite de dépôt des dossiers avait été fixée au 1er octobre 2008. La principale raison de ce refus est financière : «Cela nous coûterait trois fois plus cher au début, car il faudrait continuer la diffusion en analogique pendant cinq ans, et deux fois plus cher ensuite», explique Laurent, à Canut depuis plus de vingt ans, et actuellement trésorier de la station. On parle en effet d’un coût supplémentaire de 17.000 à 19.000 euros par an. Radio Canut estime également qu’elle n’y gagnerait rien en qualité sonore : «C’est une loi physique, le son analogique est plus fidèle que le son numérique. Et puis, diffuser des images en même temps, ça ne nous intéresse pas. On fait de la radio, pas de la télé ! Tout ça, c’est pour pouvoir passer plus de pub», dénonce le trésorier.

Les premières radios numériques devraient émettre à partir de septembre 2009. Pour le moment, le CSA a promis de reconduire l’autorisation de Radio Canut en 2011, ce qui voudrait dire une diffusion jusqu’en 2016. Après ce serait la fin. Ce serait la fermeture de ce studio rafistolé qui sent le vécu des luttes sans fin. C’est pourtant dans le petit hall de la radio, envahi de posters et d’autocollants, que se croisent aussi bien animateurs qu’habitants du coin qui viennent simplement emprunter des journaux ou chiper quelques tracts.

Alors, plutôt mourir que de passer au numérique ? «De toute façon, les radios associatives qui ont accepté ne pourront pas émettre pour le moment, car l’État n’a pas prévu d’augmenter la subvention en conséquence, et étant donné ce qui se passe avec la réforme sur l’audiovisuel, on préfère ne pas compter sur cette aide», se résigne Laurent. Pour lui, ce passage au numérique ne serait donc qu’un prétexte pour faire couler les radios associatives : «Ces radios sont en dehors de l’idéologie dominante, donc ce n’est pas fou de penser qu’ils veulent s’en débarrasser.»

L’épreuve de trop ?

Radio Canut n’en est pas à sa première crise. Au tout début des années 1980, une partie de l’équipe était pour l’introduction de la publicité. Résultat : certains sont partis pour monter «Radio Lyon», qui a coulé quelques années plus tard. Cela n’empêche pas les membres les plus anciens de la radio d’être lucides sur leur mode de fonctionnement : «L’autogestion, c’est un combat permanent !» avoue l’«ancien». Un combat encore plus difficile à mener dans le courant des années 1980 «lorsqu’il y avait peu de gens motivés, à cause de la montée de l’individualisme, de la crise sociale et économique». Moins d’émissions proposées, un roulement des postes difficile à assurer : «On a tenu bon, car pour nous, le professionnalisme “décitoyennise”. Une fois les capacités de base développées, chacun est capable d’être secrétaire, président ou trésorier… Se spécialiser, c’est le début de la fin, car ensuite, on se croit supérieur aux autres. Tous les collaborateurs de Radio Canut apprennent énormément en venant ici.»

La radio «la plus rebelle» de l’agglomération lyonnaise n’a pas dit son dernier mot : «Nous essayons de convaincre un maximum de radios, à travers le mouvement Radios en lutte, mais pour le moment, nous sommes peu à bouger. Beaucoup de radios associatives comptent sur une revalorisation de l’aide de l’État.» Les membres de Radio Canut restent également sceptiques sur le succès de la RNT, d’abord parce que la norme choisie par la France (DMB, Digital Mobile Broadcasting) n’est pas celle choisie par la plupart des pays européens (DAB, Digital Audio Broadcasting), et ensuite parce que la RNT impose un changement des récepteurs. Sachant que chaque famille possède en moyenne six postes de radio … pas sûr que tout le monde suive. Si le système de la RNT perce, et que l’État augmente le fond de soutien à l’expression radiophonique, Radio Canut déposera un dossier pour obtenir une fréquence. Sinon, ce sera le silence, pour de bon.

Source : LeJuraLibertaire
Par : Ilioné Schultz