RadioSouvenirsFM

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vendredi 23 octobre 2009



Deux questions à Philippe Lemaire, Directeur de Scala France & Afrique. Il revient sur la dernière mise à jour de son offre logicielle et nous livre son appréciation du marché français, qui après des mois calmes, retrouve de la vigueur.

Nous relations récemment les initiatives de Scala pour adresser le marché de masse, via notamment la sortie de votre Release 5 Scala 5. Pouvez-vous nous en dire plus ?

La Release 5 Scala5 est, en effet, une mise à jour majeure, qui enrichit notre offre en termes de fonctionnalités et de possibilités.

Elle nous permet avant tout d’adresser un plus grand nombre d’usages.

Scala 5 reposait jusqu’alors sur des PCs aux performances exigeantes et coûteuses. Ce coût représentait une réelle barrière à l’entrée pour certains projets, que nous avons souhaitée abaisser. La Release 5 est désormais compatible avec des équipements bons marchés, comme les PCs ultra low cost, les cadres photos (cf notre accord avec IADEA), et ce sur une base linux.

Une autre amélioration apportée par la Release 5 est la possibilité de gérer l’ambiance sonore. L’audio était un secteur sur lesquels nous n’étions pas réellement présents. Il n’est pourtant, souvent, qu’une première étape dans l’animation d’un point de vente et débouche, fréquemment, sur un projet d’affichage dynamique.

Nous offrons désormais, à nos partenaires intégrateurs une solution son performante, à même d’évoluer, le moment venu, pour gérer un projet d’affichage dynamique. Plus besoin, pour leurs clients finaux, de modifier toute leur infrastructure.

Continuons par un baromètre du secteur. Quelle est votre appréciation du marché français actuellement ?

Nous observons deux grandes tendances : un nombre de projets plus important et une réduction du cycle de vente même sur les projets d’envergure.

L’affichage dynamique en France passe, actuellement, d’un mode pilote à un mode industriel, avec la réalisation de larges déploiements. C’est le cas particulièrement des secteurs de l’automobile, de la banque, de l’assurance, des télécoms, pour lesquels l’essai a été transformé.

D’autre part, les projets se réalisent aujourd’hui plus rapidement. C’est le fait notamment d’une meilleure appréhension du marché par les clients finaux, à la fois dans la définition de leur proposition marketing, mais également dans leur compréhension technique. Le temps entre l’appel d’offres et le déploiement s’en trouve ainsi raccourci.

Cela nécessite d’être réactifs et d’avoir une force de frappe importante et solide. A ce titre, notre modèle de distribution indirecte (la solution Scala est commercialisée via des partenaires prescripteurs certifiés) nous permet de répondre efficacement aux enjeux industriels que nous propose ce marché de la CAD.

Source : OOH-TV

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